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75e anniversaire du Débarquement : Moscou dénonce une "réécriture catastrophique de l'histoire"

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  • #16
    le débarquement Anglo Américain a mobilisé 150 000 soldats (majoritairement britanniques),les Allemands 350 000 hommes dont 200 000 étaient stationnés dans le pas de calais,croyant que c'est de ce côté qu'aller s'effectuer le débarquement ,nombre de pertes coté Anglo saxon autour de 5000 hommes ,idem coté Allemand ,la guerre des Bocages qui a suivi a fait bien plus de pertes dans les deux armées .
    en comparant avec la bataille de Stalingrad,qui a quasiment sonné le glas de l'avancée de l'Armée du 3éme Reich, prés de 450 000 soldats Nazis et deux fois plus coté Russe ,les pertes cumulées des deux côtés,plus d'un millions de soldats morts,ou disparus .
    Staline voulait ce deuxième front et la combinaison des deux ne laissait plus aucune chance aux allemands mais ça aurait pu se passer autrement,si Hitler avait fait stationné ses divisions en Normandie et non pas au pas de calais .
    enfin,Honneur aux Braves qui ont combattus.
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #17
      On ne rappelle jamais assez, comme l'a fait Alibigoud,
      qu'entre août 1939 (pacte germano-soviétique)
      et le 22 juin 1941 (invasion de l'URSS par les Allemands)
      Hitler et Staline étaient des alliés, ils ont dépecé ensemble la Pologne et les Russes en ont profité pour massacrer les élites polonaises.
      L'URSS n'est donc entrée en guerre contre l'Allemagne que contrainte et forcée.
      Il faut rappeler aux communistes Français que, en octobre 1939, obéissant aux ordres de Moscou, le secrétaire général du PCF Maurice THOREZ a déserté l'armée française pour filer à Moscou.
      Pas géné, il a repris sa place en 1945, ce que De Gaulle n'aurait jamais dû accepter.
      au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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      • #18
        Il faut rappeler aux communistes Français que, en octobre 1939, obéissant aux ordres de Moscou, le secrétaire général du PCF Maurice THOREZ a déserté l'armée française pour filer à Moscou.
        Pas géné, il a repris sa place en 1945, ce que De Gaulle n'aurait jamais dû accepter.
        c'est moins grave que le gouvernement français installé à Vichy qui a totalement collaboré avec L'Allemagne dés 1940 et jusque' la libération de paris en 44 ...le FN en sait quelque chose.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #19
          bonjour

          Nous devons remercier tous les alliés ainsi que les résistants Français qui ont participé à cette victoire.

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          • #20
            Il faut surtout rappeler à l'extrême droite française sa collaboration avec les nazis. Elle a été en partie pardonnée comme Maurice Papon, et a servi à réprimer dans les colonies françaises comme les nazis.

            "Les piliers fondateurs du FN sont des nazis
            24 AVR. 2017 PAR JEAN-MARC B BLOG : LE BLOG DE JEAN-MARC B
            A faire circuler auprès de ceux, encore très nombreux, qui connaissent peu l'histoire de France.

            L'ADN idéologique du FN est une composante qu'il sera toujours impossible à effacer.........." A voir
            https://blogs.mediapart.fr/jean-marc...sont-des-nazis


            Les Etats-Unis sont aussi entrés en guerre tardivement après les attaques japonaises. Ils défendent avant tout leurs intérêts économiques et pensaient déjà à la guerre froide contre les soviétiques, au "partage du monde", étant sûrs de la défaite des nazis. Ils fournissent des armes aux soviétiques et se mettent d'accord sur la frontière du front européen entre eux.
            Ils n'ont rien fait pour éviter la shoah vu le fort antisémitisme durant les années 30 même aux Etats-unis, un peu partout dans les pays occidentaux et d'Europe de l'est. Hitler avait tout "annoncé" bien bien avant la guerre. Des juifs ont du fuir vers d'autres terres, en Palestine par exemple. D'autres ont du batailler seuls durant des décennies pour rechercher les criminels de guerre nazis et leurs complices collabos.
            Dernière modification par panshir, 06 juin 2019, 19h24.

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            • #21
              Code:
              C'est moins grave que le gouvernement français installé à Vichy qui a totalement collaboré avec L'Allemagne dés 1940 et jusque' la libération de paris en 44 ...le FN en sait quelque chose.
              On ne rappellera jamais assez que c'est la chambre du Front Populaire qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain et qu'une bonne partie des collabos vient de la Gauche.

              A l'inverse, beaucoup de ceux qui ont rejoints de Gaulle seraient classés de nos jours à droite ou à l'extrème-droite :
              Leclerc, le colonel Remi, Pierre de Benouville et bien d"autres, proches de l'Action Française avant 1940.
              J'invite ceux que cela intéresse à lire les mémoires de Daniel Cordier qui fut secrétaire de Jean Moulin. Il a rejoint Londres en juin 1940 avec un groupe de jeunes monarchistes.
              Dernière modification par scipio, 06 juin 2019, 19h40. Motif: Orthographe
              au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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              • #22
                Regardez ...

                tchek tchek tchek

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                • #23
                  C'est bien connu, comme avec la dédiabolisation du fhaine aujourd'hui: dédouaner l'extrême droite en montrant du doigt les communistes français qui sont souvent contre les guerres et qui ont été contre la colonisation.

                  Nicolas Sarkosy a fait lire en 2007 dans tous les collèges la lettre à ses parents de Guy Mocquet 17 ans jeune résistant communiste juste avant d'être fusillé par les nazis.

                  Hier Macron a lut la lettre d'Henri Fertet 16 ans à ses parents juste avant d'être fusillé par les nazis:
                  "Je meurs pour ma patrie. Je veux une France libre et des Français heureux. Non pas une France orgueilleuse et première nation du Monde, mais une France travailleuse, laborieuse et honnête. Que les Français soient heureux, voilà l'essentiel. […] Adieu, la mort m'appelle, je ne veux ni bandeau ni être attaché. Je vous embrasse tous. C'est quand même dur de mourir. Mille baisers. Vive la France.
                  Un condamné à mort de 16 ans. Henri Fertet."

                  "Moins connu "Fils d'instituteurs, Henri Fertet est né le 27 octobre 1926 à Seloncourt dans le Doubs.
                  Après des études primaires à Seloncourt où ses parents sont en poste, il entre en 1937 au Lycée Victor Hugo de Besançon.
                  Elève intelligent et appliqué, passionné d'histoire et d'archéologie, il intègre, pendant les vacances de l'été 1942, un groupe de résistance dirigé par Marcel Simon, jeune agriculteur de 19 ans et secrétaire de la Jeunesse agricole chrétienne (JAC) locale, à Larnod, à quelques kilomètres de Besançon.
                  En février 1943, constitué d'une trentaine de membres, le groupe intègre l'organisation des Franc-tireurs et Partisans (FTP) et devient le Groupe-franc "Guy Mocquet" (en hommage au plus jeune des fusillés de Châteaubriant en octobre 1941) qui s'organise rapidement dans la lutte clandestine......"
                  ordredelaliberation.fr musée


                  "Guy Môquet, né le 26 avril 1924 à Paris et mort le 22 octobre 1941 à Châteaubriant (Loire-Inférieure1), est un militant communiste, célèbre pour avoir été le plus jeune des quarante-huit otages fusillés, le 22 octobre 1941, à Châteaubriant, Nantes et Paris en représailles après la mort de Karl Hotz." wikipédia.

                  Son adolescence
                  Guy Prosper Eustache Môquet est né le 26 avril 1924 dans le 18e arrondissement de Paris8. Élève au lycée Carnot, dans la même classe que Gilles Deleuze9, il est un fervent militant des Jeunesses communistes. Le journaliste et écrivain Pierre-Louis Basse le présente comme un « titi », volontiers gouailleur tout en ne dédaignant pas d'écrire des poèmes, plaisant aux filles et doué dans les disciplines sportives. Au sprint, son seul rival au lycée est Charles Éboué, fils de Félix Éboué10.

                  Le PCF au début de la guerre
                  L'URSS ayant signé avec l'Allemagne hitlérienne un pacte de non-agression, la direction du PCF, suivant la politique de Staline, adopte une ligne d'opposition à la guerre, considérée comme une « guerre interimpérialiste »5 allant à l'encontre des intérêts de la classe ouvrière. De nombreux militants communistes, dont le père de Guy Môquet, sont arrêtés sur l'ordre du gouvernement français sous l'accusation de sabotage, démoralisation de l'armée, en un mot affaiblissement des arrières.

                  Après la défaite de la France en juin 1940, l'occupant maintient en détention les communistes incarcérés. À l'automne 1940, le PCF subit une vague de répression menée par la police française et facilitée par la politique de légalisation qui a prévalu pendant l'été 1940. Jusqu'en mars-avril 1941, la revendication nationale, anti-allemande, n'est pas prioritaire pour le PCF par rapport à la revendication sociale11 (pour plus de détails, voir Histoire du Parti communiste français – Les premiers mois de l'occupation).

                  Activité militante de Guy Môquet
                  En ce qui concerne Guy Môquet, l'arrestation de son père en octobre 1939 est un événement marquant qui renforce son ardeur militante. D'abord réfugié avec sa mère et son frère Serge dans la Manche, il revient ensuite seul à Paris et milite clandestinement au sein des Jeunesses communistes12. En novembre, il écrit une lettre à Édouard Herriot, président de la Chambre des députés, demandant la libération de son père13,14 (voir « Ses écrits »).

                  Lors de l'occupation de Paris par les Allemands et l'instauration du régime de Vichy, Guy Môquet déploie une grande ardeur militante pour coller des « papillons » et distribuer des tracts qui reflètent la ligne politique du PCF durant l'été 1940 : dans le 17e arrondissement, ces tracts demandent souvent la libération de Prosper Môquet : « Châtiment pour les responsables de la guerre ! Liberté pour les défenseurs de la paix ! Libérez Prosper Môquet. Député des Épinettes15 » ; « Libérez Prosper Môquet, jeté en prison par Daladier pour avoir voulu la paix […]15 ». Parmi les papillons retrouvés dans ce même arrondissement, on retrouve les slogans « À bas la dictature de Laval15 » ; « Châtiez les responsables [français ayant déclaré la guerre à l'Allemagne]15 » ; « Il faut un gouvernement du peuple15 » ; « Les soviets, c'est le pouvoir du peuple15 » ; « Les riches doivent payer15 » ; « Un emploi pour les jeunes qui corresponde à leurs aspirations15 » ; « Pour les chômeurs, la famine. L'opulence aux profiteurs de guerre. Chômeur, fais rendre gorge aux voleurs. Exige l'indemnité de 20 francs par jour15 ». Pierre-Louis Basse cite un autre tract distribué à Paris : « Des magnats d'industrie (Schneider, De Wendel, Michelin, Mercier […]), tous, qu'ils soient Juifs, catholiques, protestants ou francs-maçons, par esprit de lucre, par haine de la classe ouvrière, ont trahi notre pays et l'ont contraint à subir l'occupation étrangère […] De l'ouvrier de la zone, avenue de Saint-Ouen, à l'employé du quartier de l'Étoile, en passant par le fonctionnaire des Batignolles […] les jeunes, les vieux, les veuves sont tous d'accord pour lutter contre la misère […]16 ».

                  Son camarade Georges Abbachi décrit les deux modes opératoires les plus utilisés : le collage de papillons sur les réverbères ou les becs de gaz et le lancer de tracts depuis les balcons des salles de cinéma17.

                  Arrestation et incarcération
                  Guy Môquet est arrêté, sur dénonciation18, le 13 octobre 1940 (il a 16 ans)19 au métro Gare de l'Est en compagnie de René Pignard par trois inspecteurs de police française de la Brigade spéciale de répression anticommuniste (BS)18, conséquence18 d'un décret-loi d'Édouard Daladier du 26 septembre 1939 interdisant le Parti communiste, « décret-loi prorogé et utilisé par l'État français [de Vichy] dans une perspective qui n'a plus rien à voir avec la défense nationale qui l'avait justifié20 ». René Grandjean, supérieur hiérarchique de Guy dans les Jeunesses communistes est également arrêté le 13 octobre21 et Georges Grünenberger, responsable du groupe, est lui-même arrêté le 15 octobre21.

                  Les policiers n'arrivent pas à établir de façon irréfutable la participation aux distributions de tracts de Guy Môquet, qui ne passe pas aux aveux18 alors que ses camarades ont reconnu les faits et que Pignard et Granjean l'ont également mis en cause18. Il est néanmoins incarcéré à la prison de Fresnes22. Le 23 janvier 1941, la 15e chambre correctionnelle de Paris condamne René Pignard, René Grandjean et Georges Grünenberger à des peines de prison comprises entre huit et douze mois, mais « acquitte le jeune Môquet comme ayant agi sans discernement. Dit qu'il sera confié provisoirement à ses parents […]22 »23,24, une mention indique que : « rien ne s'oppose [...] à l'exécution immédiate de cette décision »24,25. Mais en vertu de la loi du 3 septembre 1940 et de la « circulaire Peyrouton » du 16 novembre 194026 qui autorisent l'internement administratif par simple décision préfectorale27,5 (alors que le décret Daladier laissait cette prérogative au seul ministre de l'Intérieur26) et « offre [la circulaire Peyrouton] à ces derniers la possibilité d'interner tous azimuts26 », le jour même de son acquittement, il est conduit au dépôt de la Préfecture de police de Paris où il reste jusqu'au 10 février 1941, pendant que le « Bureau des internés » est appelé à enquêter sur l'appartenance de Guy aux Jeunesses communistes et à se prononcer sur l'opportunité de sa libération22. Il écrit une lettre de protestation au procureur pour dénoncer ce qu'il considère comme des « actes illégaux »24. Il n'aura jamais de réponse24. Suivant l'avis de la 1re section des Renseignements généraux22 le bureau donne un avis défavorable et Guy est transféré à la maison d'arrêt de la Santé28, puis, le 27 février 1941, à la centrale de Clairvaux22.

                  Enfin, le 14 mai 194122,29,30 il est transféré, en même temps que 100 autres internés communistes venant de Clairvaux22, au camp de Choisel, à Châteaubriant, où étaient détenus d'autres militants communistes généralement arrêtés entre septembre 1939 et octobre 1940. Durant le mois de mai 219 militants communistes sont transférés à Choisel22. Il est placé dans la baraque 10, celle des jeunes, où il se lie d'amitié avec Roger Sémat et Rino Scolari. Ce dernier, un peu plus âgé que lui, deviendra un des responsables FFI au moment de la Libération de Paris31.

                  Octobre 1941

                  Avis du général von Stülpnagel, Paris, 21 octobre 1941.

                  Avis paru dans L'Œuvre du 23 octobre 1941 : liste des 48 fusillés du 22 octobre 1941.
                  L'attentat de Nantes et ses conséquences
                  Le 20 octobre 1941, Karl Hotz, commandant des troupes d'occupation en Loire-Inférieure, est abattu à Nantes par un commando formé de trois communistes de l'Organisation spéciale et des Bataillons de la Jeunesse : Spartaco Guisco, Gilbert Brustlein et Marcel Bourdarias. À la suite de cet acte, qualifié de « terroriste » par les autorités allemandes d’occupation, compte tenu du grade élevé de l’officier abattu, un Avis (Bekanntmachung) du général von Stülpnagel, chef des forces d'occupation en France (le Militärbefehlshaber in Frankreich), annonce, en application de ses décisions du 19 septembre 1941 (s'octroyant le droit de faire fusiller également des détenus arrêtés par les autorités françaises)32 et du « code des otages » du 28 septembre 194132, dont il est l'auteur32, que cinquante otages seront exécutés immédiatement en représailles.


                  Les services du ministre de l'Intérieur du gouvernement de collaboration de Pétain, Pierre Pucheu, proposent une liste de 61 noms, des otages essentiellement communistes33 « pour éviter de laisser fusiller cinquante bons Français »34. Sur les 27 fusillés de Châteaubriant, les listes de Pucheu en contiennent 17. Guy Môquet n'était pas dans les listes de Pucheu, ce sont les Allemands qui l'ont rajouté en fonction de leur propre politique des otages35,36.

                  Quarante-huit otages sont fusillés : seize à Nantes, cinq au fort du Mont-Valérien et vingt-sept à Châteaubriant, dont Guy Môquet. La majorité d’entre eux sont des militants communistes36 ou syndicaux.

                  Article détaillé : Représailles après la mort de Karl Hotz.
                  Les exécutions à Châteaubriant
                  Deux jours plus tard, neuf poteaux sont dressés à la Sablière, vaste carrière à la sortie de Châteaubriant. En trois groupes, les vingt-sept otages s'y appuient, refusent qu'on leur bande les yeux et s'écrient : « Vive la France ! » devant le peloton d'exécution. Charles Michels, Jean-Pierre Timbaud et Jean Poulmarc'h avaient décidé de ne pas se révolter, car cela aurait conduit à un massacre, d'aller à l'exécution dignement, et en chantant La Marseillaise37 : « C'est ainsi, et ainsi seulement, que notre mort servira à quelque chose38. » De même, Guy Môquet avait écrit : « [...] mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est que ma mort serve à quelque chose. [...] »39.

                  Guy Môquet est le plus jeune. Selon certains récits, à commencer par celui d'Aragon dans Le Témoin des martyrs (voir le chapitre « élaboration de la mémoire »), il a un évanouissement et il est fusillé dans cet état40, mais cette version est contestée par le sous-préfet d'alors, Bernard Lecornu41. Il est abattu à 16 heures. Avant d'être fusillé, il avait écrit une lettre à ses parents.

                  Pour les nazis, l'exécution de communistes est préférable pour convaincre les Français que seuls les Juifs et les communistes sont leurs ennemis5. La sélection délibérée d'un otage si jeune sert à montrer qu'ils seront impitoyables envers tous ceux qui distribuent des tracts, quel que soit leur âge5. Mais abattre un si jeune militant a surtout pour effet de choquer la population française5. L'abbé Moyon, qui avait accepté d'assister les prisonniers avant leur exécution, rapporte que Guy Môquet lui avait fait une confidence montrant qu'il était conscient de l'émotion que sa mort allait susciter : « Je laisserai mon souvenir dans l'Histoire, car je suis le plus jeune des condamnés »42,43." wikipedia
                  Dernière modification par panshir, 06 juin 2019, 20h55.

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