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qui a une réponse pour Freud ?
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Si Bachi, elle est de lui, mais dite dans un contexte particulier qui correspond à sa culture et à son temps.
Il a bcp étudié la psychologie féminine. Il suggère que la femme reste reléguée à la mère, la famille et ne s’occupe pas de culture, voire s’y oppose, Il a une version misogyne qui vient directement de ses préjugés de l’époque dans sa culture, sa tradition, voire dans sa structure. Il croit à la question d’un défaut de sublimation de la sexualité incombant aux femmes et ne pouvant égaler l’homme dans ce domaine ; ce qui fait dire à Freud que la femme « ne gagne rien à étudier » !
Hassilou, lui même ne sait pas ce qu'il veut!Passi passi werrana dipassi!
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La question n'a pas de sens. Et si on suppose qu'elle a un sens, elle aura autant de reponse qu'il y a de femmes. Il part du postulat que toutes les femmes veulent la meme chose (par rapport a quoi deja?).
Apres avoir passer 30 secondes a lire la question de Freud, je n'ai toujours pas trouve de reponse a la grande question : Que veut dire Freud par cette question?“Time takes it all, whether you want it to or not.” —Stephen King
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L'espece feminie et de toute evidence extraterrestre trop de differences avec les hommes pour etre de la meme espece, elle est arrivè sur la terre il i a quelque millainaire, et plutot que nous envahir par les armes elle le fait par assimilation, elle a comencè par ce montrer docile et soumise, puis petit a petit c'est rendu utile, pris de + en + d importance pour aujourdhuis etre notre egale et parfois superieure, la prochaine etape seras nous soumettre totalement a leurs volontè pour ensuite nous rendre leurs exclaves. Une conquete parfaitement reussieLes mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -
La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-
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merci, Frozen. Je le pensais plus intelligent
C'est certainement une boutade, il aurai mis un smailey s'il evistais a l'epoque je penseLes mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -
La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-
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La question que se pose Freud est tout à fait d’actualité. La psychologie ne change pas , ce sont les nouvelles connaissances qui augmentent la compréhension . Il n'y a pas d'age pour la psychologie.
Je poste un extrait du livre de Esther Vilar, DER DRESSIERTE MANN et comprenne qui voudra bien , chacun selon ses aspirations et ses convictions.
La MG jaune citron dérape. La jeune femme au
volant l’arrête non sans impudence, descend et
découvre que le pneu avant gauche est à plat. Sans
perdre un instant, elle prend les mesures nécessaires
pour réparer : elle ne lâche plus du regard chaque
voiture qui s’approche comme si elle attendait quel*
qu’un. A ce signal international standardisé (faible-
femme-victime-de-la-technique-masculine), une voi*
ture presque aussitôt stoppe. Le conducteur, qui
a compris, console déjà : « On va vous arranger
ça tout de suite », et pour confirmer qu’il est résolu
à tout, demande à la jeune femme son cric. Il ne lui
demande pas si elle peut elle-même changer sa
roue : elle a la trentaine, elle est vêtue à la dernière
mode, bien fardée ; il sait bien qu'elle ne le peut pas.
Comme elle ne trouve pas l'outil, il va chercher
le sien, et il apporte du coup tous ses autres.
En cinq minutes il a réglé l’affaire et arrimé la roue
accidentée à la place prévue. Ses mains sont cou*
vertes d’huile. Elle lui propose son mouchoir brodé,
mais il refuse poliment : il a toujours un vieux
chiffon dans la boîte à outils pour des cas semblables.
Elle le remercie avec effusion, s’excuse de sa gau*
cherie « typiquement féminine » : sans lui, elle
serait encore ici à la nuit tombante. Il ne répond
rien, mais referme galamment la portière sur elle
et se penche au-dessus de la vitre à demi-baissée
pour un dernier conseil : faire réparer très vite le
pneu endommagé. Elle l’assure qu’elle avisera le
jour même son pompiste habituel. Et elle démarre.
Après avoir rangé ses outils et être revenu seul à
sa voiture, l’homme commence à regretter de ne
pouvoir se laver les mains. Et ses souliers, qui ont
souffert de la glaise humide qu’il a piétinée pour
changer la roue, ne sont plus aussi propres que
l’exige sa profession — il est représentant. Et s’il
veut arriver à temps chez son prochain client, il va
falloir qu’il se presse. « Ah ! ces femmes », pense-
t-il en mettant le contact, « toutes aussi faibles les
unes que les autres ! » Sérieusement, il se demande ce
qu’elle serait devenue s’il ne s’était pas arrêté. Pour
rattraper son retard, il roule vite, imprudemment, ce
qui n’est pas dans ses habitudes. Quelques instants
plus tard, il commence à fredonner : d’une manière
ou d’une autre, il est heureux.
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