Annonce

Réduire
Aucune annonce.

As tu appris ta recitation ?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    ... Lui tint à peu près ce langage
    Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
    Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau !
    Hein, comment, que dites vous ? zut j'ai perdu mon fromage
    .
    Je suis si previsible que ca

    Commentaire


    • #17
      C'est vrai, il y en a qui marque à jamais :
      En 5e, les Crépitement du feux des poêle à bois, au fond de la classe.
      Le froid dehors...

      Le dormeur du val (d'Arhur Rimbaud)

      C'est un trou de verdure où chante une rivière,
      Accrochant follement aux herbes des haillons
      D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
      Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
      Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
      Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
      Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
      Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
      Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
      Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
      Nature, berce-le chaudement : il a froid.
      Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
      Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
      Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

      Commentaire


      • #18
        Une parmi tant d'autres

        L’enfant n’a pas six ans et jamais un sourire n’éclaire si temps passant, son visage de cire. Ces yeux profond et bleu n’ont pas l’air de comprendre qu’on soit si malheureux à un age aussi tendre.

        Refrain
        C’est l’enfant de la misère que l’on vient de ramasser et qui reçoit de sa mère que des injures et des coups. On la prend on la console on l’a mets dans un lit blanc. Mais pour elle la vie s’envole pour la pauvre petite enfant.

        Un soir de février sa mère un peu plus ivre, la prend brutalement l’attache au lit de cuivre, et ce met à frapper sur le cœur qui en tremble et la petite enfant pleurniche tristement

        Refrain

        Le lendemain, un homme vêtue de blanc ce penche et lui demande "est ce ta mère qui t’a fait ça?" et l’enfant de la misère répondit tout doucement pour ne pas trahir sa mère "non ce n’est pas maman" et l’enfant de la misère répondit tout doucement avant de quitter la terre "non ce n’est pas ma maman"
        Je ne suis pas une balance gratuite, je suis simplement une balance facilement corruptible.
        J'attends vos propositions ...

        Commentaire


        • #19

          Travaillez, prenez de la peine
          C'est le fonds qui manque le moins
          Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine
          Fit venir ses enfants, leur parla sans témoin.
          Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage
          Que nous ont laisse nos parents
          Un tresor est cache dedans
          Je ne sais pas l'endroit mais un peu de courage
          Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout
          Remuez votre champ des qu'on aura fait l'out
          Creusez, fouillez, bechez , ne laissez nulle place
          Ou la main ne passe et repasse
          ............................
          Je ne me rappelle plus

          Commentaire


          • #20
            jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué

            Eh bien, ajouta-t-il, la peau de l'animal ?
            Mais que t'a-t-il dit à l'oreille ?
            Car il s'approchait de bien près,
            Te retournant avec sa serre.
            - Il m'a dit qu'il ne faut jamais.
            Vendre la peau de l'Ours qu'on ne l'ait mis par terre.


            l'ours et les deux compagnons de jean de lafontaine ( encore lui .. )

            Commentaire


            • #21
              et les giffles qui fusaient a chaque hesitation ou erreur
              On ne m'a jamais frappé pour ca! vive la France des années 90!
              Comme poesie il y en avait une tres longue!
              Je me rapelle que seule la premiere de la classe avait réussi a la réciter par coeur.Grace a cette poesie, j'ai appris de nouveaux mots: crêpe,tue-tête, tituber,...

              A l'enterrement d'une feuille morte
              Deux escargots s'en vont
              Ils ont la coquille noire
              Du crêpe autour des cornes
              Ils s'en vont dans le noir
              Un très beau soir d'automne
              Hélas quand ils arrivent
              C'est déjà le printemps
              Les feuilles qui étaient mortes
              Sont toutes ressuscitées
              Et les deux escargots
              Sont très désappointés
              Mais voilà le soleil
              Le soleil qui leur dit
              Prenez prenez la peine
              La peine de vous asseoir
              Prenez un verre de bière
              Si le coeur vous en dit
              Prenez si ça vous plaît
              L'autocar pour Paris
              Il partira ce soir
              Vous verrez du pays
              Mais ne prenez pas le deuil
              C'est moi qui vous le dis
              Ça noircit le blanc de l'oeil
              Et puis ça enlaidit
              Les histoires de cercueils
              C'est triste et pas joli
              Reprenez vos couleurs
              Les couleurs de la vie
              Alors toutes les bêtes
              Les arbres et les plantes
              Se mettent à chanter
              A chanter à tue-tête
              La vraie chanson vivante
              La chanson de l'été
              Et tout le monde de boire
              Tout le monde de trinquer
              C'est un très joli soir
              Un joli soir d'été
              Et les deux escargots
              S'en retournent chez eux
              Ils s'en vont très émus
              Ils s'en vont très heureux
              Comme ils ont beaucoup bu
              Ils titubent un petit peu
              Mais là-haut dans le ciel
              La lune veille sur eux.


              Si vous voulez l'écouter, allez sur ce sitehttp://www.wheatoncollege.edu/Academ...escargots.html
              "euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"

              Commentaire


              • #22
                oum ayyache elle est trop triste ta chanson!

                sinon moi aussi je me souviens du "corbeau et le renard" et de "la cigale et la fourmi"! Apparemment on est tous passes par la!...

                Je me souviens aussi vaguement d'une poesie de Prevert qui parlait d'un bonhomme de neige. Il entre dans une maison, s'approche du poele et fond, ne laissant que son chapeau "et puis sa pipe en bois".
                "un grand bonhomme de neige ... par le froid...
                voyant de la lumiere... il entre sans frapper..."

                Oh la la je suis nulle, je ne me souviens plus des vers!! que des "bouts" de vers!

                Commentaire


                • #23
                  Parisette je me souviens de cette poésie!
                  Ma niece l'apprend en maternelle!J'ai été trop surprise quand elle me l'a récité!Aaah quelle nostalgie!
                  Dans la nuit de l'hiver
                  Galope un grand homme blanc.
                  Galope un grand homme blanc.
                  C'est un bonhomme de neige
                  Avec une pipe en bois
                  Un grand bonhomme de neige
                  Poursuivi par le froid.
                  Il arrive au village
                  Il arrive au village
                  Voyant de la lumière, le voilà rassuré.
                  Dans une petite maison, il entre sans frapper.
                  Dans une petite maison, il entre sans frapper.
                  Et pour se réchauffer
                  Et pour se réchauffer
                  S'assoit sur le poêle rouge
                  Et d'un coup disparaît.
                  Ne laissant que sa pipe
                  au milieu d'une flaque d'eau
                  Ne laissant que sa pipe
                  et puis son vieux chapeau.

                  Jacques PREVERT
                  "euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"

                  Commentaire


                  • #24
                    nous on apprenait les fables de la fontaine ,moliere,corneille ..............

                    mon dieu !j'ai souffert
                    on fait avec..........

                    Commentaire


                    • #25
                      oui, merci Chun Li! c'est celle-la!... j'etais en CE1 quand je l'apprenais je crois!..
                      tu m'etonnes, quelle nostalgie...
                      mais c'est marrant, je ne me souviens plus des mots mais le rythme de la poesie m'est reste en tete.

                      Commentaire


                      • #26
                        Je me souvient de plusieurs, en autre un poème de victor Hugo, à la mémoire de sa fille.

                        Demain, dès l'aube...

                        Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
                        Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
                        J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
                        Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

                        Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
                        Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
                        Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
                        Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

                        Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
                        Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
                        Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
                        Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
                        Tu connaitras le bonheur si ton existence s'inscrit dans les limites de la volonté de Dieu.

                        Commentaire


                        • #27
                          Bonsoir Medit,

                          Moi celle que j'ai retenuec'est celle ci (4 ieme ou 5ieme année primaire), les gens de ma génération vont surement reconnaitre:

                          Il pleure dans mon coeur
                          comme il pleut sur la ville,
                          quelle est cette langueur
                          qui pénètre mon coeur

                          Ô bruit doux de la pluie
                          par terre et sur les toits !
                          pour un coeur qui s'ennuie
                          ô le chant de la pluie !

                          Il pleure sans raison
                          dans ce coeur qui s'écoeure.
                          quoi ! Nulle trahison ?
                          ce deuil est sans raison.

                          C'est bien la pire peine
                          de ne savoir pourquoi
                          sans amour et sans haine
                          mon coeur a tant de peine !


                          Paul Verlaine

                          Commentaire


                          • #28
                            Bonsoir ChevalBlanc,
                            Comment ca va ?

                            J'adore ce poeme meme si je ne l'ai pas eu a l'ecole. Je lai appris avec mes jeunes freres.

                            Commentaire

                            Chargement...
                            X