Publié par Arris Touffan
le 05.01.2020
Il faut retenir ce nom car c'est celui d'un vrai héros. Cela fait maintenant deux ans qu'Amar Adjili, seul, ne cherchant pas à faire marcher les moulins à vent, poursuit son obstination à nettoyer les rues et les plages d'un pays qui aurait besoin, comme dirait l'autre, d'un Hirak environnemental. Au lieu d'attendre que cette conscience écologique survienne, lui, il s'en va tout seul, avec ses sacs, ramasser les détritus que les Algériens produisent, sèment. Et en plus, il n'est pas du genre à le faire savoir. C'est heureux qu'on l'ait quand même découvert.
A. T.
le 05.01.2020
Il faut retenir ce nom car c'est celui d'un vrai héros. Cela fait maintenant deux ans qu'Amar Adjili, seul, ne cherchant pas à faire marcher les moulins à vent, poursuit son obstination à nettoyer les rues et les plages d'un pays qui aurait besoin, comme dirait l'autre, d'un Hirak environnemental. Au lieu d'attendre que cette conscience écologique survienne, lui, il s'en va tout seul, avec ses sacs, ramasser les détritus que les Algériens produisent, sèment. Et en plus, il n'est pas du genre à le faire savoir. C'est heureux qu'on l'ait quand même découvert.
A. T.

Commentaire