Bonjour
BRUXELLES – De nombreuses Françaises vont en Belgique pour se faire inséminer.
Certains hôpitaux belges reçoivent jusqu’à 100 coups de fil par mois de célibataires françaises qui veulent faire un enfant en solo. Cette pratique est interdite en France. Pour limiter ce rush, certaines cliniques belges ont mis en place une sélection très lourde. Age minimum de 28 ans, délai d’attente d’un an et demi pour obtenir un premier rendez-vous, entretiens musclés avec une gynécologue et un psychologue. Selon le magazine Marie-Claire, en Belgique le tourisme de la fécondation n’est pas une question de business. La consultation ne coûte que 250 euros (400 franc suisse.).
Aux Etats-Unis, l’insémination pour célibataires est autorisée. L’Association Single mother by choice (mère célibataire par choix) a vu doubler ses membres depuis 2004. Celle-ci a créé des réseaux à travers les Etats-Unis et l’Europe. Elle organise des ateliers de réflexion, propose des voyages sponsorisés. Pour répondre à cette demande, les banques du sperme américaines proposent un catalogue détaillé des donneurs. Mensurations, âge, ethnie, niveau d’études. Les options varient selon les banques et les porte-monnaie.
(gim)
BRUXELLES – De nombreuses Françaises vont en Belgique pour se faire inséminer.
Certains hôpitaux belges reçoivent jusqu’à 100 coups de fil par mois de célibataires françaises qui veulent faire un enfant en solo. Cette pratique est interdite en France. Pour limiter ce rush, certaines cliniques belges ont mis en place une sélection très lourde. Age minimum de 28 ans, délai d’attente d’un an et demi pour obtenir un premier rendez-vous, entretiens musclés avec une gynécologue et un psychologue. Selon le magazine Marie-Claire, en Belgique le tourisme de la fécondation n’est pas une question de business. La consultation ne coûte que 250 euros (400 franc suisse.).
Aux Etats-Unis, l’insémination pour célibataires est autorisée. L’Association Single mother by choice (mère célibataire par choix) a vu doubler ses membres depuis 2004. Celle-ci a créé des réseaux à travers les Etats-Unis et l’Europe. Elle organise des ateliers de réflexion, propose des voyages sponsorisés. Pour répondre à cette demande, les banques du sperme américaines proposent un catalogue détaillé des donneurs. Mensurations, âge, ethnie, niveau d’études. Les options varient selon les banques et les porte-monnaie.
(gim)
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