LONDRES (Reuters) - Deux internautes britanniques sur trois perdent une partie considérable de leur temps à naviguer sur internet sans véritable but, montre une étude du cabinet YouGov.
Nombre d'employés se laissent distraire par l'information quasi-illimitée disponible sur le web et se laissent aller au "wilfing" en anglais, abréviation de "What Was I Looking For" (Qu'est ce que je cherchais ?).
Les "wilfers" d'outre-manche perdent quelque deux jours de travail par mois à errer sur internet, les hommes ayant une plus grande propension que les femmes à se livrer à ce type d'activité et les sites les plus visités étant ceux de commerce en ligne, indique l'étude publiée mardi.
Mais les "wilfers" ne font pas seulement perdre temps et argent à leur entreprise. Un tiers des hommes interrogés avouent que leurs visites répétées sur des sites pour adultes ont provoqué une dégradation de leur relation amoureuse.
Nombre d'employés se laissent distraire par l'information quasi-illimitée disponible sur le web et se laissent aller au "wilfing" en anglais, abréviation de "What Was I Looking For" (Qu'est ce que je cherchais ?).
Les "wilfers" d'outre-manche perdent quelque deux jours de travail par mois à errer sur internet, les hommes ayant une plus grande propension que les femmes à se livrer à ce type d'activité et les sites les plus visités étant ceux de commerce en ligne, indique l'étude publiée mardi.
Mais les "wilfers" ne font pas seulement perdre temps et argent à leur entreprise. Un tiers des hommes interrogés avouent que leurs visites répétées sur des sites pour adultes ont provoqué une dégradation de leur relation amoureuse.
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