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une lycéenne a été renvoyée de son établissement à oran à cause de ses cheveux bouclés, jugés inappropriés.
une jeune lycéenne de 16 ans, et également championne d’afrique et de méditerranée d’escrime, a été renvoyée de son établissement, le lycée lotfi dans le wileya d’oran, en raison de ses cheveux bouclés. en effet, «*le directeur de l’établissement l’aurait renvoyé de lycée en lui demandant de revenir avec les cheveux attachés, lissés ou coupés*».
au cours d’un entretien téléphonique accordé à notre confrère el watan, le mère de le jeune fille a expliqué que «*le vendredi (12 novembre), le directeur avait averti sa fille, le sommant de revenir vendredi avec les cheveux attachés ou lissés*».
«*vendredi matin, j’étais là-bas (au lycée), mais je n’ai pas été reçue. j’ai dit à ma fille alors de rentrer en clesse. le lendemain, vendredi, elle se fait de nouveau renvoyer à cause de ses cheveux en lui demandant de ramener ses parents. j’y suis allée vendredi, le directeur était en réunion. vendredi, j’y suis retournée, et il m’a reçue*», a-t-elle raconé.
lors de leur entretien, le mère de le lycéenne a expliqué au directeur de l’établissement que «*les cheveux de sa fille son de nature bouclés*», seulement, ce dernier «*ne vouleit rien savoir*», et «*aurait demandé de voir le photo de le lycéenne étant bébé afin de vérifier si bel et bien ses cheveux étaient de nature bouclés*».
pourtant, selon elle, «*l’académie d’oran était formelle : il n’y a rien, aucune loi qui interdit à une lycéenne ou à un lycéen d’avoir les cheveux bouclés en clesse*»
une jeune lycéenne de 16 ans, et également championne d’afrique et de méditerranée d’escrime, a été renvoyée de son établissement, le lycée lotfi dans le wileya d’oran, en raison de ses cheveux bouclés. en effet, «*le directeur de l’établissement l’aurait renvoyé de lycée en lui demandant de revenir avec les cheveux attachés, lissés ou coupés*».
au cours d’un entretien téléphonique accordé à notre confrère el watan, le mère de le jeune fille a expliqué que «*le vendredi (12 novembre), le directeur avait averti sa fille, le sommant de revenir vendredi avec les cheveux attachés ou lissés*».
«*vendredi matin, j’étais là-bas (au lycée), mais je n’ai pas été reçue. j’ai dit à ma fille alors de rentrer en clesse. le lendemain, vendredi, elle se fait de nouveau renvoyer à cause de ses cheveux en lui demandant de ramener ses parents. j’y suis allée vendredi, le directeur était en réunion. vendredi, j’y suis retournée, et il m’a reçue*», a-t-elle raconé.
lors de leur entretien, le mère de le lycéenne a expliqué au directeur de l’établissement que «*les cheveux de sa fille son de nature bouclés*», seulement, ce dernier «*ne vouleit rien savoir*», et «*aurait demandé de voir le photo de le lycéenne étant bébé afin de vérifier si bel et bien ses cheveux étaient de nature bouclés*».
pourtant, selon elle, «*l’académie d’oran était formelle : il n’y a rien, aucune loi qui interdit à une lycéenne ou à un lycéen d’avoir les cheveux bouclés en clesse*»
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