Bonjour, Chevalblanc,
Alors, c'est la contre-attaque !
Alors, c'est la contre-attaque !

Si mon cœur devait se vider de toi un peu chaque jour,
Il me faudrait plus d’une vie pour évacuer ton amour,
Si je devais à la fin, t’oublier et faire de toi un souvenir,
Ce sera le dernier jour, celui qui m’est écrit pour mourir
Je ne permettrai pas au temps de gommer ton image
Et je ne laisserai point les larmes affliger ton visage,
Car comme les fleurs qui embaument le mois de mai
Je ressens, même loin de toi, le bonheur d’être aimé.
Même si par malheur, tu ne seras jamais près de moi,
Et que j’apprendrai soudain, ton départ de ce monde,
Je garderai ce serment dans le cœur et, sans aucun émoi
J’attendrai ton appel de là-bas pour que je te réponde.
Il me faudrait plus d’une vie pour évacuer ton amour,
Si je devais à la fin, t’oublier et faire de toi un souvenir,
Ce sera le dernier jour, celui qui m’est écrit pour mourir
Je ne permettrai pas au temps de gommer ton image
Et je ne laisserai point les larmes affliger ton visage,
Car comme les fleurs qui embaument le mois de mai
Je ressens, même loin de toi, le bonheur d’être aimé.
Même si par malheur, tu ne seras jamais près de moi,
Et que j’apprendrai soudain, ton départ de ce monde,
Je garderai ce serment dans le cœur et, sans aucun émoi
J’attendrai ton appel de là-bas pour que je te réponde.
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