e changement d'allure entre les deux photos est frappant. Sur la première, un portrait datant de 2004, Mohammed Asha, un docteur jordanien, actuellement en garde à vue dans l'enquête sur les attentats déjoués de Londres et de Glasgow, arbore le visage d'un étudiant frêle et studieux. Cravaté, avec de fines lunettes, une moustache et un semblant de bouc, le jeune homme sort à cette époque de l'Université de Jordanie, auréolé d'un titre de major de promotion.OAS_AD('Middle1'); 
eux qui vous soignent vous tueront." Trois mois environ avant les attentats manqués de Londres et Glasgow, un responsable d'Al-Qaida avertissait Andrew White, vicaire anglican en visite à Amman, en Jordanie, de la possibilité d'attaques contre des cibles britanniques par des membres du corps médical."Il m'a parlé de la façon dont ils entendaient détruire des Américains et des Britanniques. Il m'a dit que les plans étaient déjà prêts et que les Britanniques seraient bientôt visés", raconte l'ecclésiastique britannique, qui administre l'unique paroisse anglicane de Bagdad, dans le Times de mercredi 4 juillet. Son interlocuteur, un homme âgé d'une quarantaine d'années venu de Syrie, qui n'a pu être identifié, a aussi expliqué à M. White que Britanniques et Américains devaient être frappés pour leur engagement en Irak.OAS_AD('Middle1'); 
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