Cinq journalistes ont écrit un livre dénonçant les conditions déplorables dans lesquelles le 20h est réalisé. Et ça fait peur !
Ces cinq journalistes se sont évidemment cachés derrière le pseudo Patrick Le Bel pour écrire ce livre,
intitulé "Madame, monsieur, Bonsoir...", à paraître jeudi aux éditions du Panama.
Un livre qui, selon Le Parisien, va "ébranler TF1". Il révèlerait les stars du JT de la chaîne sous leur vrai jour. Et ce ne serait pas vraiment glorieux. PPDA serait "colérique", et Claire Chazal ne paraît pas tellement plus sympa. Plusieurs extraits du livre ont été publiés par le quotidien.
L’un d’entre eux est particulièrement acerbe concernant PPDA : "11 heures ; 11 h 15 ; 30 ; 45, toute une rédaction, cinq cents personnes, journalistes, techniciens, administratifs, attend d'être fixée sur la teneur du 20 Heures. Un appel diffusé dans toute la tour annonce la conférence. Une trentaine de rédacteurs, assistantes, chefs d'édition, graphistes, stylo en main autour d'une table, s'apprêtent à coucher sur le papier ce qu'on appelle le conducteur (...) 11 h 50 : il n'est toujours pas là... "Un jour, il faudrait tous se lever et partir ! ", "Un jour, oui, tu as raison... Pourquoi pas tout de suite ?"
Il arrive enfin, nonchalant comme d'habitude ; son retard n'est jamais excusé, encore moins justifié ; un bonjour est déjà signe de bonne humeur, un sourire, c'est le bonheur : la journée s'annonce radieuse. "
- Selon le Parisien
Ces cinq journalistes se sont évidemment cachés derrière le pseudo Patrick Le Bel pour écrire ce livre,
intitulé "Madame, monsieur, Bonsoir...", à paraître jeudi aux éditions du Panama.
Un livre qui, selon Le Parisien, va "ébranler TF1". Il révèlerait les stars du JT de la chaîne sous leur vrai jour. Et ce ne serait pas vraiment glorieux. PPDA serait "colérique", et Claire Chazal ne paraît pas tellement plus sympa. Plusieurs extraits du livre ont été publiés par le quotidien.
L’un d’entre eux est particulièrement acerbe concernant PPDA : "11 heures ; 11 h 15 ; 30 ; 45, toute une rédaction, cinq cents personnes, journalistes, techniciens, administratifs, attend d'être fixée sur la teneur du 20 Heures. Un appel diffusé dans toute la tour annonce la conférence. Une trentaine de rédacteurs, assistantes, chefs d'édition, graphistes, stylo en main autour d'une table, s'apprêtent à coucher sur le papier ce qu'on appelle le conducteur (...) 11 h 50 : il n'est toujours pas là... "Un jour, il faudrait tous se lever et partir ! ", "Un jour, oui, tu as raison... Pourquoi pas tout de suite ?"
Il arrive enfin, nonchalant comme d'habitude ; son retard n'est jamais excusé, encore moins justifié ; un bonjour est déjà signe de bonne humeur, un sourire, c'est le bonheur : la journée s'annonce radieuse. "
- Selon le Parisien
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