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fil spécial "moralité"

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  • fil spécial "moralité"

    Azul fellawen

    Je commence par un texte d'Abdoune sur:"le bonheur"


    Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du château voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.
    "Pour moi ce cheval n'est pas un animal, c'est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ?" demandait-il.

    Un matin, il se rend à l'étable et le cheval n'est plus là.
    Tous les villageois lui disent : "On te l'avait bien dit ! Tu aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l'a volé... quel malchance !"

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval revient, avec tout une horde de chevaux sauvages. Il s'était échappé, avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.

    "Quelle chance !" disent les villageois.

    Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe a l'entraînement.
    "Quelle malchance !" disent ses amis. "Comment vas-tu faire, toi qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut plus t'aider !"

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Quelques temps plus tard, l'armée du seigneur du pays arrive dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles.

    Tous... sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.

    "Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis à la guerre, et toi tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se faire tuer..."

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    les villageois pris de jalousie ils décidèrent de le bannir de leur village et de le dessaisir de tous ses biens , ils partagèrent ainsi ses richesses et pillèrent son patrimoine , et devenus riches du jour au lendemain ; ainsi le vieil homme et sa famille sont devenus les plus pauvres gens du villages vivant ainsi sans abris comme de malheureux mendiants dans le village natal et de s'installèrent dans une tente au bon lieux de celui ci .
    Un jour le roi de ce village se réveilla un matin après un cauchemar dans lequel il vit que le villageois le plus riche du village l'assassina lors de ses sorties en ville , comme il est superstitieux décida d'emprisonner la dite personne sur le champs, mais hélas le cauchemar ne quitta plus le roi , et il décida d'emprisonner tous les gens du village qui possèdent la moindre richesse , et comme ça la prison se remplie des villageois , qui détestèrent d'être riche et envieillir tous le vieil homme qui était épargné des injustices de leur ROI.
    Mais le roi toujours attaché à vivre et ne pouvant supporté le doute qu'il sera assassiné par l'un de ses prisonnier , il mit le feu à la prison et tua tous les villageois , le Veil homme vivat en paix tout étant pauvre mais épargné .

    "Quelle chance tu as, " lui dirent les femmes des villageois tous nos maris sont morts , toi tu es le seul à rester en vie avec ton fils..."

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Le futur nous est livré par fragments. Nous ne savons jamais ce qu'il nous réserve. Mais une expectation positive permanente nous ouvre les portes de la chance, de la créativité, et nous rend
    plus heureux.

    Cordialement

  • #2
    c'est une tres belle histoire morgane

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    • #3
      Azul à Cass

      Moi, c'est Lise. Je rappelle que le texte d'Abdoune
      Une autre du même auteur :

      C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. Un moment,
      ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce
      dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable: AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.
      Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils
      décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se
      noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une
      Pierre: AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
      Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda:
      "Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as
      écrit
      sur la pierre. Pourquoi ?" L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous
      blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon
      peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour
      nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut
      l'effacer ".

      APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES
      DANS LA PIERRE.

      Cordialement

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      • #4
        Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
        L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,et le fermier
        se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits
        devait disparaître de toute façon,ce n'était pas rentable pour lui de
        récupérer l'âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
        Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits. Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
        Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans
        le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu. Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui,l'âne faisait
        quelquechose de stupéfiant.Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal,ilse secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se
        mit à trotter !
        Conclusion : La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortesd'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant
        jamais. Ne jamais abandonner ! Secouez-vous et foncez !
        Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :
        >> > 1. Libérez votre coeur de la haine.
        >> > 2. Libérez votr e esprit des inquiétudes.
        >> > 3. Vivez simplement.
        >> > 4. Donnez plus.
        >> > 5. Attendez moins.
        >> > A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

        Texte d'Abdoune

        Commentaire


        • #5
          azul Lisebeth )

          Un jour un vieil enseignant a demandé à ses élèves comment ils pouvaient dire que la nuit était finie et le jour levé. Un élève a proposé ceci : "C'est quand on voit un animal au loin et qu'on peut dire s'il s'agit d'un chien ou d'un chat." L'enseignant a dit que ce n'était pas la bonne réponse.

          Un autre élève a proposé ceci : "C'est quand on voit un arbre au loin et qu'on peut dire s'il s'agit d'un pommier ou d'un poirier." L'enseignant a dit que ce n'était pas la bonne réponse.

          Les élèves lui ont alors demandé de leur donner la réponse. Le vieil homme a alors dit : "C'est quand vous regardez le visage d'un homme, d'une femme, d'un enfant et que vous reconnaissez qu'il s'agit bien de votre frère ou de votre soeur. Tant que vous ne voyez pas cela, c'est la nuit"
          (saha Redouane :wink: )

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          • #6
            bonjour Sheyla

            Merci pour ta participation.Je poste un poème que j'avais appris à l'école.

            Les deux diamants
            Du sein de la même carrière
            Nous sommes sortis tous les deux
            Disait un jour son confrère
            Un diamant tout raboteux
            Ma grosseur avait celle d'un autre
            Et mon prix, ce me semble bien égale le vôtre
            Cependant, nous avons un sort bien different
            Chacun, vous admire, et vous prise
            Vous attirez sur vous les regards du puissant
            Et moi, si l'on me mérpise
            On me voit tout au moins d'un oeil indifférent
            D'ou vient cette différence?
            Et tandis qu'avec vous, j'ai tant de différence
            Pourquoi surtout je suis moins loué, moins chéri !
            C'est lui dit l'autre, c'est que je suis poli...

            L'abbé Reyre

            Ar tufat

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            • #7
              APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES
              DANS LA PIERRE.


              Elle est pas mal cette citation,et c'est un bon conseil!
              Merci lizebeth!

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              • #8
                Bonjour Shérazade

                Je n'ai pas eu l'occasion de te féliciter pour tes jolies poèmes.Voici un autre texte d'Abdoune :
                Le travail et le but de la vie
                Au bord de l’eau, dans un petit village mexicain, un bateau rentre au port. Un américain qui est là, complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses prises et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.

                - " Pas très longtemps ", répond le Mexicain.

                - " Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus? " demande l’Américain.

                Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent à assurer la subsistance de sa famille.

                - L’Américain demande alors : " Mais que faites-vous le reste du temps? "

                - Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis, nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.

                - L’Américain l’interrompt : " J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre votre poisson à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico, Los Angeles, puis peut-être New-York d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. "

                - Le mexicain demande alors : " Et combien de temps cela prendrait-il ? "

                - " 10 ou 20 ans ", répond l’Américain.

                - Et après?

                - " Après? C’est là que ça devient intéressant ", répond l’Américain en riant, " quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions. "

                - Des millions? Mais après?

                - Après?

                - " ... Vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…

                Cordialement

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                • #9
                  Merci lise.
                  En ce qui concerne l'histoire d'ABDOUNE,personellement je préférerais vivre ma vie comme au début avec toute ma famille,car l'argent pourrait tuer se bonheur. Comme on dit: "l'argent ne fait pas le bonheur"

                  Commentaire


                  • #10
                    bonjour

                    Existence et responsabilité
                    Une serveuse prenait la commande d'un couple accompagné d'un jeune garçon.

                    Elle appartenait à cette classe de serveuse chevronnées qui ne sont jamais carrément irrespectueuses envers leurs clients, mais dont le regard "à égalité" et le calme démontrent clairement qu'elles n'ont peur d'aucun mortel, pas même d'un parent. Silencieusement et sans se presser, elle prenait des notes tandis que le père et la mère choisissaient les plats et donnaient gratuitement leurs instructions sur ce qui devait être substitué à quoi et quel assaisonnement changer pour quelle sauce.

                    Lorsqu'elle se tourna finalement vers le garçon, il passa sa commande avec une sorte de désespoir rempli de crainte. « Je veux un hot dog » commença-t-il. Et immédiatement les deux parents aboyèrent: « Non, pas de hot dog ! ». Puis la mère continua: « Apportez-lui des pommes de terre lyonnaises et du boeuf et un bouillon de légumes et un petit pain de blé entier et...» Mais la serveuse ne l'écoutait plus et dit au jeune garçon: « Que veux tu avec ton hot dog ? » Il sourit, étonné. « Du ketchup, beaucoup de ketchup et un verre de lait et des frites ». « Tout de suite », dit-elle en s'éloignant de la table, laissant derrière elle un silence de pierre, expression du désarroi parental le plus total.

                    Le garçon la regarda s'éloigner avant de se tourner vers son père et sa mère : « Vous avez vu ? dit-il, elle croit que j'existe ! Elle croit vraiment que j'existe ! »

                    L'existence humaine n'est pas donnée sous une forme

                    Texte d'Abdoune

                    Cordialement

                    Commentaire


                    • #11
                      Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilise le papier pour décorer une boîte à cadeaux pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : « C'est pour toi Papa ! ». Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boîte était vide. Il cria alors à sa fille : « Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boîte ? » La fillette regarda son père les yeux plein d'eau et lui dit : « Mais papa, la boîte n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers juste pour toi ! » Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner réaction. Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boîte, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boîte, en tirait un baiser imaginaire et se
                      rappelait l'amour que l'enfant y avait mis. Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain,
                      de disposer d'une telle boîte dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?
                      Vous avez > maintenant 2 options : Passer ce message à un ami,
                      ou l'effacer et agir comme s'il ne vous avait jamais touché ! Il est évident quant à moi, que j'ai choisi la première option. « Les amis sont comme des anges qui nous remettent en position quand nos ailes ne se souviennent plus comment voler. »

                      Abdoune

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                      • #12
                        Azul Lisebeth,

                        Merci pour tout ces textes et d'ailleurs
                        il prenait la boîte, en tirait un baiser imaginaire et se
                        rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
                        pour moi les baisers ne sont pas imaginaire car l'enfant y a investis son amour donc ils existent vraiment. L'amour n'est pas visible et tactile mais il est là et si il est là il existe.
                        Qui est Abdoune?

                        bonne journée

                        Commentaire


                        • #13
                          Azul fellam Lisebeth

                          LARMES D'UNE FEMME
                          auteur inconnu

                          Un petit garçon demande à sa mère « Pourquoi pleures-tu? »
                          Parce que je suis une femme » lui répond-elle.

                          Je ne comprends pas » dit-il.
                          Sa mère l'étreint et lui dit « Et jamais tu ne réussiras. »

                          Plus tard le petit garçon demanda à son père :
                          Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? »
                          Toutes les femmes pleurent sans raison » fut tout ce que son père
                          put lui dire.
                          Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant
                          pourquoi les femmes pleurent aussi facilement.

                          Finalement il appela Dieu; quand Dieu répondit au téléphone, il
                          demanda « Seigneur, pourquoi les femmes pleurent aussi facilement ?
                          »
                          Dieu répondit:
                          « Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. J'ai fait ses
                          épaules assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même
                          assez douces pour être confortables ».
                          « Je lui ai donné une force intérieure pour endurer les naissances
                          et le rejet qui vient souvent de ses enfants. »

                          « Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand
                          tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la
                          maladie et de la fatigue, sans se plaindre. »
                          « Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans
                          n'importe quelle circonstance quand ces derniers l'ont blessée très
                          durement. »

                          « Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et
                          je l'ai faite d'une de ses côtes pour protéger son coeur. »
                          « Je lui ai donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse
                          jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa
                          détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir. »

                          « Et finalement je lui ai donné une larme à verser. Cela est
                          exclusivement à son usage personnel quand elle le juge bon. »
                          « Tu vois : La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements
                          qu'elle porte, ni dans le visage qu'elle montre, ou dans la façon de
                          se peigner les cheveux. »

                          « La beauté d'une femme doit être dans ses yeux, parce que c'est la
                          porte d'entrée de son coeur - la place où l'amour réside. »

                          Toutes les femmes sont belles.

                          Commentaire


                          • #14
                            Bonjour

                            Une rectification : les contes philosophiques,que j'ai postés sur ce fil ne sont pas d'Abdoune. Je n'ai pas retenu le nom de l'auteur de ces contes

                            Un intervenant connait -il l'auteur?

                            Commentaire


                            • #15
                              Merci de tous ces textes... qui donnent à réfléchir, Lisebeth.
                              Auteur inconnu, peut être, mais je les ai découverts avec plaisir.
                              Amicalement,


                              Tazerwalt

                              Commentaire

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