Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les droits des femmes dans le monde musulman

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    @ bledna

    on doit pas vivre dans le mm monde !!

    as-tu lu le code de la famille ?

    la femme est mineure à vie!

    le père, le frère, le mari...

    lis-le et on reparlera!

    justement si Le Coran prone la liberté de la femme, la femme n'aurait pas

    à combattre tous les jours, pour des miettes de liberté!!

    choisir son mari, comment choisir son mari, si on peut pas le fréquenter ?

    une femme divorce ou répudiée, le mari peut garder la maison et les gosses,

    va voir sur Alger toutes les femmes jetées, et après insultées de p....

    pour certaines vous vivez en Occident! la femme musulmane en Occident

    vit autrement qu'une femme musulmane dans le monde musulman!

    d'où beaucoup croient qu'elles jouissent d'une liberté, c'est seulement

    ce que leurs maris veuillent bien leur accorder par rapport au contexte

    de la sté!

    Commentaire


    • #17
      l'instruction : si le mari ou le père l'accorde

      maison : elle peut le garder, le mari a les droits

      travail : si le mari ou le père l'accorde

      mari : j'ai jamais entendu qu'une femme pouvait choisir son mari, à part si

      ça se fait entre papa et maman, et encore!!

      ..... etc

      moi je te parle de la liberté d'aller où elles veulent sans demander la permission à tout bout de champ!

      je peux te dire que moi en France meme majeure, j'ai jamais fait qqchse

      sans demander la permission, pour mes frères ils faisaient ce qu'ils voulaient

      et je dois pas etre la seule!

      dans le Coran, la femme n'a pas le droit de voyager seule....

      la femme n'a pas à lutter puisque vous dites que le Coran prone la liberté

      de la femme! d'ailleurs en regardant le monde musulman, je vois le contraire!

      Commentaire


      • #18
        code la famille algérien :

        par exemple :

        L’épouse à le droit de : 1º) visiter ses parents prohibés et de les recevoir conformément aux usages et aux coutumes.
        2º) disposer de ses biens en toute liberté.



        c'est tout ??!!

        Commentaire


        • #19
          Le code de la famille est une loi d'inspiration religieuse adoptée en mai1984 par l'Assemblée Populaire Nationale (APN, composée uniquement de députés du FLN) malgré une longue résistance des femmes depuis 1966.
          Le contenu
          La logique, de ce texte est basée sur le présupposé de l'infériorité de "la femme". Les dispositions qu'il contient vont donc organiser son incapacité juridique (comme pour l'enfant ou l'incapable (i.e. le malade mental) de laquelle vont découler l'ensemble des dispositions.
          Ainsi c'est le tuteur matrimonial (le plus proche parent mâle) qui conclut le mariage pour la femme et ce, quel que soit son âge (art. 11 ). Il peut même parfois s'opposer au mariage de sa fille s'il le juge nécessaire (art. 12 ).
          Les rapports dans le couple sont caractérisés par la hiérarchie qui impose le mari comme "chef de famille" et à qui "l'épouse est tenue d'obéir et de lui accorder des égards" de même qu'elle doit "respecter les parents de son mari et ses proches" (art. 39).
          La limitation du droit de circulation transparait de l'article qui lui concède la possibilité de "visiter ses parents prohibés" (art.38).
          La polygamie est légalisée (article 8) alors que c'est un phénomène social en régression. Cette atteinte à la dignité des femmes est aussi une des causes de la destruction des familles dans la mesure où elle provoque nombre de divorces.
          Les conditions de divorce révèlent encore la conception de la femme qui prévaut dans cette loi. Si le droit absolu du mari de divorcer ressemble fort à une simple légalisation de la répudiation (l'article 48 fait état de la simple "volonté de l'époux"), les raisons et les preuves que les femmes doivent avancer pour introduire une demande de divorce sont tellement draconniennes qu'elles équivalent à une négation de ce droit (art.53 ). La possibilité qu'a l'épouse de racheter sa liberté moyennant "versement d'une somme" à son conjoint (art. 54 ), ne peut qu'évoquer une pratique esclavagiste.
          Et les effets du divorce à l'avenant. Après avoir été divorcée, la femme doit quitter sa maison et retourner chez son tuteur avec les enfants dont elle a la garde (art. 52 ) gardienne des enfants mais sans domicile en propre puisque le domicile conjugal est celui du mari et qu'il le conserve quelle que soit la raison du divorce ; gardienne des enfants, mais dépendant de leur père,seul détenteur de la tutelle parentale pour toute décision les concernant, elle perd leur garde si elle s'avise de se remarier(art. 66).
          L'adoption est interdite (art.46). Seule la Kafala (recueil légal) est admise et depuis 1992 la famille peut pratiquer la concordance du nom mais sans avoir le droit de le transmettre.
          Enfin, le régime successoral (Livre troisième du code) est construit sur un partage dont la proportion est de deux tiers pour les hommes contre un tiers pour les femmes.
          Cet exposé de quelques articles montre la difficulté, sinon l'impossibilité d'amender dans un sens plus juste un texte dont l'esprit relève de la discrimination. Aussi les associations de femmes sont aujourd'hui nombreuses à revendiquer purement et simplement l'abrogation de cette loi et la promulgation de lois civiles égalitaires.
          http://************************/docu...defamille.html

          Commentaire

          Chargement...
          X