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Bonjour
Les services sanitaires de la région de Naples ont placé sous séquestre 66 élevages de bufflonnes en raison du taux élevé de dioxines dans le lait pour fabriquer la mozzarella.
Il s'agirait d'une conséquence de la mauvaise gestion des déchets.
Les contrôles se poursuivaient encore à un rythme soutenu jeudi aux environs de Naples et de Caserte, dans le sud de l'Italie, a indiqué à l'AFP un responsable du corps des carabiniers spécialisés dans la défense de l'environnement, qui mènent les perquisitions.
"Nous avons effectué 109 contrôles ces derniers jours: 79 dans des élevages de bufflonnes et 29 dans des fromageries. Les échantillons vont être envoyés au laboratoire de Teramo (dans les Abruzzes, centre), le seul habilité pour ces analyses", a indiqué cet officier.
"On n'en a bien sûr pas la certitude scientifique, mais le taux élevé de dioxines est plus que probablement lié à ce qu'ont mangé les bufflonnes, qui paissent sur des zones où l'on sait que des déchets toxiques ont été déversés ces dernières années", a-t-il estimé.
Depuis janvier 2007, l'Institut zoo-prophylactique de Protici, près de Naples, effectue des analyses sur le lait et les produits laitiers de 165 établissements et a mis en évidence des "anomalies" de taux de dioxine pour 25 d'entre-eux.
Ces 25 entreprises laitières avaient reçu du lait en provenance des 66 élevages mis sous séquestre ces deux dernières semaines par les services sanitaires.
"Pour avoir un effet nocif sur la santé, il faudrait qu'on ait une importante consommation quotidienne sur le long terme. On peut continuer à manger de la mozzarella sans problème grâce au système de contrôle des services sanitaires", a affirmé le responsable de l'Institut Antonio Limone, cité par l'agence de presse Ansa.
Source: SDA/ATS
Les services sanitaires de la région de Naples ont placé sous séquestre 66 élevages de bufflonnes en raison du taux élevé de dioxines dans le lait pour fabriquer la mozzarella.
Il s'agirait d'une conséquence de la mauvaise gestion des déchets.
Les contrôles se poursuivaient encore à un rythme soutenu jeudi aux environs de Naples et de Caserte, dans le sud de l'Italie, a indiqué à l'AFP un responsable du corps des carabiniers spécialisés dans la défense de l'environnement, qui mènent les perquisitions.
"Nous avons effectué 109 contrôles ces derniers jours: 79 dans des élevages de bufflonnes et 29 dans des fromageries. Les échantillons vont être envoyés au laboratoire de Teramo (dans les Abruzzes, centre), le seul habilité pour ces analyses", a indiqué cet officier.
"On n'en a bien sûr pas la certitude scientifique, mais le taux élevé de dioxines est plus que probablement lié à ce qu'ont mangé les bufflonnes, qui paissent sur des zones où l'on sait que des déchets toxiques ont été déversés ces dernières années", a-t-il estimé.
Depuis janvier 2007, l'Institut zoo-prophylactique de Protici, près de Naples, effectue des analyses sur le lait et les produits laitiers de 165 établissements et a mis en évidence des "anomalies" de taux de dioxine pour 25 d'entre-eux.
Ces 25 entreprises laitières avaient reçu du lait en provenance des 66 élevages mis sous séquestre ces deux dernières semaines par les services sanitaires.
"Pour avoir un effet nocif sur la santé, il faudrait qu'on ait une importante consommation quotidienne sur le long terme. On peut continuer à manger de la mozzarella sans problème grâce au système de contrôle des services sanitaires", a affirmé le responsable de l'Institut Antonio Limone, cité par l'agence de presse Ansa.
Source: SDA/ATS
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