Annonce

Réduire
Aucune annonce.

SOS pour sauver un enfant

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Il passe des nuits blanches en raison de démangeaisons sévères », indique le père, les larmes aux yeux.
    Alors, je connais un lien qui pourrait l'aider.
    Celui des bains Dérivatifs.

    Cela ne résoudra pas tout, certes, au niveau de la dermatite aigüe, mais cela peut améliorer l'état de ce pauvre enfant, et surtout, cela peut aider à ce qu'il puisse retrouver des nuits plus calmes, où il pourra se reposer, en atténuant énormément les démangeaisons, au fur et à mesure qu'il pratiquera ces bains dérivatifs.

    Voici les deux liens. Se procurer le livre pour plus de détails, mais ça fonctionne !!! J'ai pu m'en rendre compte personnellement en diverses circonstances,où je les ai pratiqués, et c'est sans danger. Ce n'est pas non plus en contre-indication avec un quelconque traitement médical.

    France Guillain (l'auteur du livre) les a expérimentés durant 17 ans sur les mers - avec ses enfants, puisqu'elle vivait sur son bateau - et elle relate dans son ouvrage comment elle a pu soulager durablement son enfant, bébé encore, d'à peu près 18 mois, souffrant d'un eczéma magistral, suintant de tout son corps, et cela, en pratiquant les bains dérivatifs.

    Car elle ne pouvait à l'époque, se permettre de s'établir "à terre" et vivait donc "sur l'eau". Cette méthode lui fut enseignée par un vieux médecin des îles. Et ellle a pu vérifier le bien fondé de ces bains, depuis plus de 20 ans.


    Pour les mamans, cela peut aussi aider à faire baisser la fièvre d'un enfant, en cas d'urgence... entre autres vertus. L'essentiel étant de nettoyer le corps, de l'intérieur.


    http://www.bainsderivatifs.com/methodes.htm
    http://www.bainsderivatifs.com/articlebiocontact.htm


    En espérant pouvoir quelque peu atténuer leur souffrance, celle physique, de l'enfant, et celle, morale, de sa famille...


    Tazerwalt


    PS : j'ajouterai à cela que des cataplasmes d'argile durant la nuit, pourraient aussi aider à calmer la douleur, sur les zones du corps les plus atteintes. Même sur le visage, en composant des cataplasmes légers dans un linge propre, bien humidifié, et en laissant agir toute la nuit, ou quelques heures seulement, en fonction des besoins.
    Dernière modification par Tazerwalt, 18 juillet 2005, 13h23.

    Commentaire


    • #17
      Où joindre ce père ?

      Salam alekoum

      Je suis sincèrement touchée à la lecture de ce poste et je souhaite sincèrement apporté mon aide à ce père désespéré et à cet enfant malade.

      Est-ce que quelqu'un pourrait trouver les coordonnées de ce père car je souhaite personnellement lui venir en aide si Allah le veut.

      Voici mon témoignage qui est véridique : j'ai un frère qui a été atteint dès ses premières semaines de vie de la même maladie et son ecséma s'est aussi généralisé sur tout le corps durant les première années de sa vie. Nous avons tout essayé (nous sommes en france) et plusieurs médécins l'ont eu entre les "mains", sans succès...sirop, crèmes, et autres médicaments n'ont jamais fait effet.

      Alors, un jour nous sommes allés chez nous en vacances en Kabylie et là ma grand mère a dit à mes parents d'utiliser des graines d'une plante (dont je ne connais pas le nom en Français) qui s'apelle en kabyle "vounarjouff", c'est une plante verte, d'environ 30 à 50 cm de hauteur, qui fait des petites fleurs blanches et qui ensuite donne des graines en minuscule billes.
      Ces graines sont à mélanger à de la graisse de chèvre. Ensuite, on fait chauffer une plaque en métal sur le feu et dès que c'est très chaud, on place le membre de l'enfant ou l'endroit ou l'ecséma est présent au dessus d'une bassin pleine d'eau, et juste en dessous, sans le toucher, on place la plaque avec le morceau de graisse mélangé aux graines. Cela produit une fumée et on tapote légèrement l'endroit où il y a l'ecséma : et quand il n'y a plus de fumée, il n'y a plus qu'a jeter un oeil sur l'eau et on voit des milliers de petits vers blanc (oui, oui, des vers !!) qui gesticulent dans l'eau.
      Ce sont ces vers qui provoquent les démengeaisons sous la peau des personnes atteinte d'ecséma et malheureusement, les médicaments n'ont aucun effet définitif.

      Ce remède n'est ni de la sorcellerie ni autre mauvaise chose mais une médecine douce et naturelle qui marche. Ma mère l'a fait à mon frère et j'ai vu d'autres enfants guérir par ce remède et l'ecséma disparait totalement, je le jure par Allah.

      Mon neuveu avait de l'excéma sur les jambes uniquement, à l'age de 5ans et ma mère lui a enduit les jambes avec cette plante qu'elle a ceuillit et écrasé afin d'en receuillir le jus (dans notre jardin, nous en avons fait poussé en France l'an dernier) et cela a marché alhamdoulillah, il n'a plus d'ecséma...

      Voilà, si je peux aider ce père cela sera avec plaisir, je peux lui donner les coordonnée de mon oncle en Kabylie (à Draa el Mizan- W- TIZI OUZOU) qui pourra certainement lui fournir cette plante (gratuitement, bien sur) car elle pousse chez nous...


      Qu'Allah agrée nos actions et nous guide dans la voie droite. Amine.
      Dernière modification par morjane, 19 juillet 2005, 13h24. Motif: Merci de ne pas communiquer de données privées sur le Forum ( e-mail, tel...)
      Désormais, la plume est rangée et l'encre des pages séchée...

      Commentaire


      • #18
        la dermatite atopique n'a rien a voire avec des vers...c'est une manifestation allergique tout comme la rhinite allergique et l'asthme etc
        la peau en est la cible le prurit entretient les lesions
        voila quelques conseils qu'on devrai imprimer au pere

        Dans une affection chronique comme la dermatite atopique, la demande des malades ou de leurs parents est importante à cerner pour obtenir une adhésion au projet thérapeutique. Les points majeurs sont les suivants :
        - la dermatite atopique est une affection chronique. Son traitement doit l'être également. Ceci doit être clair dans l'exposé du projet thérapeutique. La « guérison » n'est pas l'objectif proche ;
        - les soins locaux sont indispensables ils permettent de rétablir la barrière cutanée compromise par l'eczéma ;
        - les dermocorticoïdes sont efficaces et non dangereux quand ils sont utilisés judicieusement, sous surveillance médicale. Ils ne favorisent pas l'apparition de l'asthme. Leur utilisation inadéquate ou leur sous-utilisation est la cause majeure de la sensation d'impuissance ou de refus thérapeutique de certaines familles ;
        - les alternatives aux traitements locaux sont limitées et doivent être pesées en fonction de l'observance de cette prise en charge de base. Les traitements généraux, en dehors des antibiotiques et antiviraux, qui sont parfois nécessaires, ne viennent qu'en complément lors des poussées ou en cas d'échec d'un traitement local correctement effectué ;
        - des explorations allergologiques qui peuvent avoir pour conséquence de modifier l'environnement ou l'alimentation, si les arguments sont solidement étayés pourront être envisagées en cas d'échec d'un traitement local correctement effectué ;
        - une information sur les facteurs aggravants doit être donnée (tableau II) ;
        - dans les formes graves, une hospitalisation reste totalement justifiée pour parfaire l'éducation ou pour réaliser correctement certains tests.




        c) Réalisation pratique du traitement

        En poussées

        L'objectif est de réduire l'inflammation et le prurit pour soulager le patient. Dans la majorité des cas, les soins locaux, qui peuvent être associés, permettent de traiter efficacement les poussées de DA.

        Les dermocorticoïdes

        Un dermocorticoïde puissant ou modérément puissant sera utilisé en fonction de la gravité (une seule application quotidienne jusqu'à amélioration franche, généralement 4 à 8 jours).

        Antiseptiques/antibiotiques

        La peau doit être soigneusement nettoyée pour éliminer les croûtes et effectuer ainsi une désinfection de surface. Une solution antiseptique à la chlohexidine pourra être utilisée pendant quelques jours (un usage prolongé serait irritant). Les produits topiques sont appliqués sur la peau encore humide. Un traitement antibiotique local biquotidien (Fusidate de sodium) poursuivi sur 2 à 3 jours améliore nettement le score lésionnel au stade aigu. Il ne doit pas être poursuivi de façon chronique pour éviter l'émergence de souches résistantes.

        Antihistaminiques

        Donnés seuls ils sont habituellement insuffisants pour traiter une poussée de DA. A titre d'appoint, ils peuvent être indiqués pendant quelques jours. Les produits à composante sédative sont jugés généralement plus efficaces.

        Le traitement de maintenance

        Emollients

        Utilisation quotidienne de quantités importantes d'émollients, d'autant plus que la xérose cutanée est plus marquée. Il est souhaitable d'appliquer les émollients après le traitement de la poussée aiguë, car leur tolérance est médiocre sur peau inflammatoire. Les savons sont à éviter pour l'irritation causée par la libération de bases et les syndets surgraissés seront préférés.

        Dermocorticoïdes

        Applications intermittentes de dermocorticoïdes sur les zones inflammatoire (1 à 3 fois par semaine). Des quantités de l'ordre de 15 à 30 grammes de dermocorticoides peuvent être utilisées sur une base mensuelle sans effet adverse systémique ou cutané pour un enfant de moins de 2 ans. La quantité de dermocorticoides utilisée par mois joint à l'utilisation de scores cliniques permet l'ajustement du traitement.

        Traitements d'exception

        Le recours éventuel à des traitements d'exception :
        - la photothérapie combinée UVA-UVB permet de délivrer des doses faibles avec un bon résultat thérapeutique en 6 semaines de traitement. L'accessibilité à ce type de traitement est un facteur limitant chez des enfants scolarisés pouvant en bénéficier (à partir de 7-8 ans) et chez l'adulte.
        - la ciclosporine a été utilisée chez l'adulte et plus rarement dans les formes graves de l'enfant avec une bonne efficacité. Ce médicament peut faire passer un cap quand tout a échoué dans une DA grave, sur une période de quelques mois seulement, pour éviter les effets secondaires rénaux.

        Contrôle des facteurs d'aggravation

        Les conseils d'hygiène de vie sont colligés dans le tableau II. Le patient doit pouvoir mener une vie la plus normale possible et il n'est pas souhaitable d'introduire des mesures trop contraignantes. Il faut donc adapter les mesures à la gravité de la symptomatologie. Chez le nourrisson, la détection précoce et les mesures de prévention de l'asthme sont une partie importante de l'information. Les vaccinations peuvent être effectuées sans risque sur peau non infectée.


        Identification et/ou l'éviction de certains allergènes

        On conseillera d'éviter l'exposition aux allergènes les plus communs chez les patients atteints de formes mineures ou modérées, sur une base probabiliste et préventive, et on réservera une enquête approfondie en milieu spécialisé aux formes graves ou résistant aux traitements conventionnels bien conduits. Les séjours climatiques en altitude peuvent constituer une alternative thérapeutique dans les formes cutanéorespiratoires graves d'atopie chez l'enfant avec sensibilisation aux acariens, quand la maladie retentit sérieusement sur la scolarité.

        ceci dit je reconseille au pere d'aller a l'hopital mustapha sur alger ou il y'a un excellent service de dermatologie s'il y'a un doute diagnostic
        « Puis-je rendre ma vie
        Semblable à une flûte de roseau
        Simple et droite
        Et toute remplie de musique »

        Commentaire

        Chargement...
        X