Un pervers sexuel prétend avoir infecté 1500 femmes du sida

[absente]

aanis

Le SIDA a trop "défauts" pour être militairement utile: On ne controle pas sa propagation, ce n'est pas une maladie foudroyante et la probabilité d'infection même en cas de rapport non protégé est trop faible.

va dire ça aux femmes et aux enfants qui en meurent !

[absent]

Les chiffres ne mentent pas. Et puis, j'ai dit que c'était militairement inutile, pas que ça ne faisait pas souffrir.

[absente]

je ne sais pas si tu te rends bien compte qu'à vouloir tout "intellectualiser" tu en es cynique !

les chiffres ... les propagateurs volontaires du sida n'en ont cure ! et leurs victimes... si elles ne sont pas décimées, elles ou leur enfants nés de ça, finissent en HP ( hopital psychiatrique !)

va voir !!!!

[Eljemati]

le sida comme arme bacteriologique oui mais je pense pas qu'il se prendrais la tête a propager le sida de maniere sexuelle a cet echelle c stupide

[absente]

III. VIH/SIDA : ARME DE GUERRE ET CRIME CONTRE L’HUMANITE


La guerre et le VIH/SIDA représentent deux des violations les plus systématiques et les plus criminelles des droits humains fondamentaux commises actuellement par les différentes forces belligérantes en présence en République Démocratique du Congo (RCD).

A l’Est, dans la province du Sud-Kivu, le phénomène SIDA touche par sa gravité et son ampleur. Il ne peut actuellement être considéré séparément de la guerre dont il est une des conséquences désastreuses et/ou fatales.

Des sources médicales locales concordantes indiquent que le nombre des cas enregistrés des victimes de ce virus est passé de 12 % en 1998 à 43 % en juillet 2002. Ces pourcentages ne reprennent pas la situation singulièrement compliquée dans les milieux ruraux où opèrent en toute quiétude les bandes armées (nationales et étrangères) et où les institutions sanitaires ne sont plus ou presque plus opérationnelles.

Chaque jour dans cette province, au moins 3 femmes risquent d’être violées. Le viol est devenue une pratique courante voire même une règle générale au simple vu que c’est l’oeuvre d’un choix politique : la guerre. La plupart des organisations locales, surtout féminines, estiment qu’en 2005, ces statistiques peuvent tripler.

En effet, nombreuses ont été des femmes et des filles, sans distinction d’âge, qui ont été victimes de viol et/ou d’autres agressions sexuels en présence de leurs maris, de leurs parents ou des passants impuissants. Parmi elles, un pourcentage élevé des contaminées du VIH/SIDA a été observé.

Au cours du 2è trimestre 2002, l’organisation Héritiers de la Justice a été saisie de 34 cas de viol des femmes et jeunes filles dans la ville de Bukavu et ses périphéries. L’organisation suit en ce moment dans un l’hôpital de la place, le cas d’une fillette de 13 ans enceinte, violée en début de l’année à Bukavu et qui est aujourd’hui infectée du VIH/SIDA.

Des recherches sont en cours en vue de disposer de plus d’informations sur l’ampleur du phénomène, dans la province sur ses conséquences physiques, psychologiques, économiques et sociales.

Mises à part quelques actions menées par les ONGs locales et internationales ainsi que par les Eglises qui incluent la question SIDA dans leurs activités promotionnelles relatives aux droits de la personne humaine, il n’existe quasiment pas d’initiatives d’envergure de la part des pouvoirs en place pour lutter contre ce fléau.

Héritiers de la Justice ne cessera jamais de faire appel aux autorités congolaises, quelles que soient leurs positions, pour qu’elles déclarent que le VIH-SIDA constitue une violation des droits humains et doit être considéré comme un crime de guerre et un crime contre l’humanité.



rapport : Congo - rwanda 2002

[Eljemati]

oui mais tu parle de peuple qui se tue a coup de machette pour des raisons que nous n'arrivons meme pas a comprendre !!!!!

pour des raisons soit disant ethnique ils sont tous k'hel mais ils se trouvent des differences

les kikuyu contre les pikacthu etc .... cela ne m'etonne pas d'eux

encore un exemple de division inutile qui j'espere ne touchera jamais notre pays