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Bonjour
Pour la journée internationale du rire, une vingtaine de pratiquants se sont bidonnés à Ouchy-
«Certaines personnes n’y arrivent pas la première fois. Mais après deux ou trois séances, ça va tout seul.» Eric Schaeffer, lui, n’a aucun problème pour se fendre la poire sur commande. Fondateur du club de rire de Lausanne, le 1er en Suisse romande, il s’esclaffe depuis plus de six ans. Hier, à l’occasion de la journée mondiale du rire, il a été se bidonner à Ouchy avec les membres de son club. «Lorsqu’on se promène, les gens rient aussi ou sourient, témoigne Eric Schaeffer. Mais il y en a aussi qui s’éloignent en secouant la tête.» Une preuve de plus qui montre que l’hilarité se fait rare à notre époque. «En 1950, on riait 15 minutes par jour. C’est le minimum recommandé. Aujourd’hui, huit. Il faut réapprendre à rire.». Le commercial de 44 ans ne craint pas de comparer cette activité à un sport. «Il faut de l’entraînement et de la technique».
Hé oui, connaître tout le répertoire des blagues carambar ne suffit pas pour exceller dans le domaine. «Nous n’utilisons pas l’humour mais des exercices respiratoires pour rire, explique Eric Schaeffer. C’est une forme de yoga.» Les bénéfices de la méthode sont nombreux. «Il n’y a que du positif, indique le joyeux drille. Le sang circule mieux, la respiration est meilleure, un état de bien-être s’installe, on s’ouvre aux autres.» Et pour les kilos superflus? «Non cela ne fait pas maigrir», rigole-t-il.
20 minutes
Pour la journée internationale du rire, une vingtaine de pratiquants se sont bidonnés à Ouchy-
«Certaines personnes n’y arrivent pas la première fois. Mais après deux ou trois séances, ça va tout seul.» Eric Schaeffer, lui, n’a aucun problème pour se fendre la poire sur commande. Fondateur du club de rire de Lausanne, le 1er en Suisse romande, il s’esclaffe depuis plus de six ans. Hier, à l’occasion de la journée mondiale du rire, il a été se bidonner à Ouchy avec les membres de son club. «Lorsqu’on se promène, les gens rient aussi ou sourient, témoigne Eric Schaeffer. Mais il y en a aussi qui s’éloignent en secouant la tête.» Une preuve de plus qui montre que l’hilarité se fait rare à notre époque. «En 1950, on riait 15 minutes par jour. C’est le minimum recommandé. Aujourd’hui, huit. Il faut réapprendre à rire.». Le commercial de 44 ans ne craint pas de comparer cette activité à un sport. «Il faut de l’entraînement et de la technique».
Hé oui, connaître tout le répertoire des blagues carambar ne suffit pas pour exceller dans le domaine. «Nous n’utilisons pas l’humour mais des exercices respiratoires pour rire, explique Eric Schaeffer. C’est une forme de yoga.» Les bénéfices de la méthode sont nombreux. «Il n’y a que du positif, indique le joyeux drille. Le sang circule mieux, la respiration est meilleure, un état de bien-être s’installe, on s’ouvre aux autres.» Et pour les kilos superflus? «Non cela ne fait pas maigrir», rigole-t-il.
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