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Affaire Paty : les terribles aveux de la collégienne à l’origine de la polémique

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  • Affaire Paty : les terribles aveux de la collégienne à l’origine de la polémique

    Un mensonge d'adolescente serait-il à l'origine de la mort violente de Samuel Paty ? C'est ce qu'indique dimanche 7 mars 2021 Le Parisien, selon qui la jeune fille à l'origine de la polémique a reconnu devant des policiers puis devant un juge antiterroriste avoir menti. Z. n'aurait en fait jamais assisté au fameux cours sur la liberté d'expression organisé par le professeur d'histoire-géographie. « Je n'étais pas là le jour des caricatures », a en effet confié la collégienne en marge de sa mise en examen pour dénonciation calomnieuse, le 25 novembre 2020.

    L'adolescente justifie son mensonge aux terribles conséquences par un complexe tout bête : mal à l'aise face aux bons résultats scolaires de sœur jumelle, Z. aurait voulu cacher à son père le motif réel de son expulsion pour mauvais comportements, relate le quotidien. L'élève de quatrième aurait donc accusé Samuel Paty d'avoir stigmatisé les musulmans lors de son cours du 6 octobre, quelques jours seulement avant son assassinat. Elle jure alors que le professeur aurait enjoint aux élèves de confession musulmane de lever la main avant de sortir de la classe afin qu'il puisse montrer au reste des élèves des caricatures du Prophète. C'est le fait d'exprimer son mécontentement qui aurait valu à la jeune fille d'être exclue durant deux jours.

    Son mensonge la conduira même à déposer une plainte contre Samuel Paty le 8 octobre pour « diffusion d'image pornographique ». C'est alors que la polémique éclate, notamment par le biais de son père. Ce dernier diffusera une vidéo sur les réseaux sociaux, dans laquelle il déplore le comportement du professeur. Abdoullakh Anzorov, jeune radicalisé de 18 ans, aura vent de cette polémique et assassinera Samuel Paty le 16 octobre 2020 dans des conditions atroces.

    Confrontée aux nombreux témoignages de ses camarades, affirmant qu'elle n'a en réalité pas assisté au cours, l'adolescente finit par avouer : « J'ai menti sur un truc. » Lors de son avant-dernière audition par les policiers, elle reconnaît ne jamais avoir vu les caricatures de Charlie Hebdo montrées par Samuel Paty, mais seulement en avoir entendu parler. Et pour cause, elle avait été exclue en raison de son absentéisme chronique, indique Le Parisien. « Si je n'avais pas dit ça à mon père, il n'y aurait pas eu tout ça et ça n'aurait pas pris cette ampleur », a regretté la jeune fille devant le juge antiterroriste, confiant s'être mise à pleurer en apprenant la mort de son professeur.

    La famille de Samuel Paty n'est toutefois pas totalement convaincue par le revirement de Z. : « Son mensonge était intenable. À partir du moment où elle reconnaît qu'elle a menti, il faut trouver des raisons. S'agit-il d'explications de circonstance ? » s'est interrogée, dans les colonnes du Parisien, maître Virginie Le Roy. L'avocate des proches du professeur ne comprend « toujours pas ce qui a motivé cet acharnement contre Samuel Paty ».

    Source : Le Point - 07/03/2021

  • #2
    Rien de nouveau. C'est un replay de la part du journal leparisien, une petite occasion, juste parce que ces derniers jours deux professeurs de sciences po à Grenoble ont été visés par des inscriptions anonymes du genre "islamophobes" et qu'ils ont porté plainte pour diffamation. Des médias adorent ce feuilleton pour faire plaisir très à droite car ça rapporte. La covid prend beaucoup de place. Certains sont très en manque.
    .
    C'est le 25 11 2020 que la jeune fille a précisé le mensonge aux enquêteurs qui ont suggéré un problème de rivalité avec la soeur jumelle. La motivation du mensonge ne convainc pas beaucoup. Avec quelques vérifications auprès d'autres élèves et parents, le père aurait pu deviner le mensonge. Ce dernier est allé trop loin.
    Surtout dès le début de l'enquête il avait été dit clairement et prouvé que la collégienne n'a jamais assisté au cours et qu'elle mentait, voir aussi les posts du topic à l'époque des faits.
    Dernière modification par panshir, 08 mars 2021, 13h59.

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    • #3
      Envoyé par panshir Voir le message
      Rien de nouveau. C'est un replay de la part du journal leparisien, une petite occasion, juste parce que ces derniers jours deux professeurs de sciences po à Grenoble ont été visés par des inscriptions anonymes du genre "islamophobes" et qu'ils ont porté plainte pour diffamation. Des médias adorent ce feuilleton pour faire plaisir très à droite car ça rapporte. La covid prend beaucoup de place. Certains sont très en manque.
      Si cette précision revient sur le devant de la scène, ce n'est pas comme vous le suggérez, pour des raisons politiques, complotiste ou de feuilleton entretenu par les médias, mais parce que l'avocat de cette jeune fille s'est exprimé hier en détail à ce sujet auprès de AFP.

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      • #4
        C'est le journal leparisien qui est cité partout à la source pour son article d'hier. Le journal leparisien avait interrogé l'avocat de la partie civile qui a mis en doute les explications. Alors l'avocat de la défense s'est aussi exprimé hier auprès de l'afp peut être puis bfm et cie ce matin pour bien expliquer que la collégienne bien qu'elle ait menti n'est pas responsable du meurtre et qu'elle culpabilise beaucoup (en même temps ça permet aussi au père qui avait modifié sa version de mieux se défendre). L'avocat s'il devait intervenir en premier, il l'aurait fait en novembre dernier quand il a encouragé la collégienne traumatisée à dire la vérité pour son bien.
        Pourquoi lepoint et autres médias ne citent pas l'afp mais leparisien? Si c'est l'afp la source tous les médias auraient repris l'info et le parisien aurait aussi indiqué la source.

        Leparisien a saisi l'occasion le bon moment.
        Dernière modification par panshir, 08 mars 2021, 16h49.

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        • #5
          C'est Me Mbeko Tabula, l'avocat de l'adolescente, qui s'est répandu hier dans différents médias, y compris sur le plateau de BFMTV pour confirmer le mensonge de sa cliente qui a entrainé la décapitation de l'enseignant.

          Quant à l'affaire des enseignants de sciences-po de Grenoble, les islamo-gauchistes ont encore frappé, et mettent en danger de mort les professeurs en les désignant nommément sur des affiches à la vindicte des adeptes d'une certaine religion, en les accusant prétendument d'islamophobie.
          En France, ce n'est pas l'islamophobie qui tue, mais l'islamisme.

          Contrairement au slogan placardé et diffusé par l'Unef et les autres gauchistes complaisants vis-à-vis de l'islamisme, ce n'est pas l'islamophobie, crime imaginaire, péché de langue qui tue.
          Seul l'islamisme tue. Seule l'accusation d'islamophobie tue et détruit des vies. - Le Figaro.

          Dernière modification par alibigoud, 08 mars 2021, 17h28.

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          • #6
            C'est reparti avec les refrains hors sujet topic.

            Pour les professeurs de Grenoble, ceux qui les ont diffamés sans preuve sont des inconscients. En faire trop avec la médiatisation c'est juste pour le feuilleton qui rapporte gros et la campagne électorale. Ces problèmes se règlent en interne ou plainte. Les inconscients ont eu une annonce nationale sans le vouloir via les médias et c'est dangereux.

            Aucun rapport entre "islamophobie" (la haine de l'autre) et "islamisme" (idéologie extrémiste plus ou moins radicale). Aucune excuse aux anti musulmans (islamophobes) qui ont toujours existé. Les autres en grande majorité savent faire les distinctions et ne font pas d'amalgame. Il faut comparer l'anti islam (islamophobie), avec l'antisémitisme ou l'anti christianisme ou......, c'est à dire c'est l'intolérance, la haine qui parfois est masquée pour éviter un procès. C'est puni par la loi si plainte et preuve. Celui qui diffame c'est aussi puni par la loi.

            Pour le long feuilleton "islamisme", l'extrémisme fanatisme ne se combat pas avec de l'extrémisme voir de l'anti islam masqué dans la liberté d'expression même si c'est un droit. C'est très contre productif ces 30 dernières années au moins voir très dangereux. Les "islamistes" extrémistes adorent la publicité offerte par des médias. Il faut savoir protéger ceux et celles en danger en évitant d'offrir de la pub aux fanatiques.

            Il faut demander à Bush et Blair si l'anti Islam (islamophobie) ne tue pas. Il faut aller à la racine du mal à la realpolitik et guerre froide. Tu as vu avant hier le pape était à Erbil, ville non détruite, hyper protégé pour le pétrole. Le pape ira ensuite dire un mot à Bush et Blair. Il faut t'en prendre surtout à des types comme Bush et Blair qui ont engendré le chaos en Irak Syrie et Daech jusqu'à contaminer la France. Et encore une fois le grand rappel: LES MUSULMANS SONT DE TRES LOIN LES PREMIERES VICTIMES DES FANATIQUES DAECHIENS, ce que tu nommes "islamisme". Tu as vu le doc de M6 hier soir, les chasseurs des bourreaux de Daech, combien de musulmans ont été assassinés surtout, en plus des chrétiens ou yezédis. Fait le total de victimes de la guerre que Chirac ne voulait pas en 2002..

            Les anti musulmans (islamophobes) encouragent la haine et l'extrême droite, souvent inconsciemment. Ne pas parler trop vite, un train peut en cacher un autre. Quand ils s'y mettent c'est très redoutable et un seul suffit comme à Christchurch et encore pire à Oslo avec Anders Breivik qui s'en prend aux non islamophobes.

            Dernière modification par panshir, 08 mars 2021, 19h48.

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            • #7
              Envoyé par panshir Voir le message
              C'est reparti avec les refrains hors sujet topic.
              Refrain hors sujet topic dont vous êtes le responsable.
              La discussion portait sur l'affaire Samuel Paty, et vous l'avez déviée en faisant référence à celle concernant les professeurs de sciences-po de Grenoble.

              une petite occasion, juste parce que ces derniers jours deux professeurs de sciences po à Grenoble ont été visés par des inscriptions anonymes du genre "islamophobes" et qu'ils ont porté plainte pour diffamation.

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              • #8
                Les anti musulmans (islamophobes) encouragent la haine et l'extrême droite, souvent inconsciemment. Ne pas parler trop vite, un train peut en cacher un autre. Quand ils s'y mettent c'est très redoutable et un seul suffit comme à Christchurch et encore pire à Oslo avec Anders Breivik qui s'en prend aux non islamophobes.
                Les chiffres sont cruels pour une certaine religion.
                Inutile de nous citer des faits qui se sont produits pour certains aux antipodes de notre pays.
                Je vous parle de la France, et des attentats commis par des musulmans.
                Depuis 2012 nous en sommes à 270 morts et si l'on fait partir les chiffres depuis le début des années 80, le bilan est encore plus lourd.
                En contrepartie, comment de morts ont fait en France l'islamophobie et l'extrême droite ?
                De quel côté se trouve la haine mortifère ?

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                • #9
                  Relis plus haut, plains toi à la realpolitik mortifère, elle n'a pas de frontière.

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