Capital Xavier Martinage Publié le 04/05/2021
Le trentenaire a ressenti "une immense joie" en apprenant la nouvelle et a d'ores et déjà demandé sa carte d'identité.
Il est passé par tous les sentiments depuis un an. Mais au bout d'un long feuilleton, Mohammed B., un Algérien de 37 ans, a bel et bien été naturalisé français, comme nous le raconte l'Union Reims. Interrogé par nos confrères, il décrit "une immense joie qui lui est tombée dessus", ajoutant : "Ce que je ressens est difficile à décrire". Il a vu son nom inscrit au Journal officiel, ce qui officialise sa naturalisation. Fier de son parcours, le trentenaire a déjà indiqué qu'il se rendait lundi 3 mai à la mairie avec l'écrit pour demander une carte d'identité.
"Enfin, je suis Français… et fier de l'être", clame-t-il haut et fort auprès de nos confrères, voyant enfin "le bout du tunnel". En effet, dans un premier temps, on lui avait refusé la naturalisation au motif qu'il "travaillait trop". Comme nous l'évoquions en décembre, l'homme qui préfère ne pas ébruiter son nom, était arrivé en France en 2007 pour ses études. Il disait alors : "J’ai obtenu des diplômes, en physique et science de l’ingénieur, biologie chimie et santé suivi d’un master 2 en Hygiène-Sécurité-Environnement. Faute de trouver un travail, j’ai mis mes diplômes de côté (…) Je vis en France. Ma vie, elle est ici, en France."
Le trentenaire a ressenti "une immense joie" en apprenant la nouvelle et a d'ores et déjà demandé sa carte d'identité.
Il est passé par tous les sentiments depuis un an. Mais au bout d'un long feuilleton, Mohammed B., un Algérien de 37 ans, a bel et bien été naturalisé français, comme nous le raconte l'Union Reims. Interrogé par nos confrères, il décrit "une immense joie qui lui est tombée dessus", ajoutant : "Ce que je ressens est difficile à décrire". Il a vu son nom inscrit au Journal officiel, ce qui officialise sa naturalisation. Fier de son parcours, le trentenaire a déjà indiqué qu'il se rendait lundi 3 mai à la mairie avec l'écrit pour demander une carte d'identité.
"Enfin, je suis Français… et fier de l'être", clame-t-il haut et fort auprès de nos confrères, voyant enfin "le bout du tunnel". En effet, dans un premier temps, on lui avait refusé la naturalisation au motif qu'il "travaillait trop". Comme nous l'évoquions en décembre, l'homme qui préfère ne pas ébruiter son nom, était arrivé en France en 2007 pour ses études. Il disait alors : "J’ai obtenu des diplômes, en physique et science de l’ingénieur, biologie chimie et santé suivi d’un master 2 en Hygiène-Sécurité-Environnement. Faute de trouver un travail, j’ai mis mes diplômes de côté (…) Je vis en France. Ma vie, elle est ici, en France."
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