"L'horreur de ce drame a ébranlé nombre de riverains, élus, ou simples quidams, venus se recueillir, déposer une fleur, ou un petit mot. Au plus fort du rassemblement, ils étaient jusqu'à 500. Ainhoa est membre du collectif Collages féministes Bordeaux, qui dénonce les féminicides partout en France. "C'était essentiel de rendre cet hommage à Chahinez. Nous voulons dénoncer l'inaction des politiciens face aux féminicides", explique la jeune femme.
"Une femme qui se sépare de son mari, peut potentiellement mourir sous ses coups"
"Il y a trop de femmes battues par des gens sans scrupules, estime de son côté Claude. Riverain, il a souhaité participer à ce rassemblement. Il nous faut montrer qu'on est prêts à se battre pour que ça ne se reproduise plus".
"Ça nous fait chaud au cœur de voir que les gens ne sont pas insensibles à ces meurtres. Ce qui s'est passé était d'une extrême violence, les gens réalisent que cela arrive un peu n'importe où et qu'il ne faut pas le passer sous silence."
Ainhoa, membre du collectif Collages féministes Bordeaux
Se définissant comme "élue féministe et communiste", Valérie trouve à la fois "magnifique et dramatique" de voir l'ampleur de ce rassemblement. "Tous les jours, il y a des infanticides et des féminicides. On ne peut pas construire une société sans les femmes, et derrière ces féminicides, il y a beaucoup d'enfants traumatisés", rappelle-t-elle.
"On ne devrait pas être là, cette maman, avec ses trois enfants, devrait être heureuse chez elle. Mais en 2021, une femme qui décide de se séparer de son mari, peut potentiellement mourir sous ses coups. C'est insupportable."
Valérie, élue féministe et communiste.
france3.régions.fr
"Une femme qui se sépare de son mari, peut potentiellement mourir sous ses coups"
"Il y a trop de femmes battues par des gens sans scrupules, estime de son côté Claude. Riverain, il a souhaité participer à ce rassemblement. Il nous faut montrer qu'on est prêts à se battre pour que ça ne se reproduise plus".
"Ça nous fait chaud au cœur de voir que les gens ne sont pas insensibles à ces meurtres. Ce qui s'est passé était d'une extrême violence, les gens réalisent que cela arrive un peu n'importe où et qu'il ne faut pas le passer sous silence."
Ainhoa, membre du collectif Collages féministes Bordeaux
Se définissant comme "élue féministe et communiste", Valérie trouve à la fois "magnifique et dramatique" de voir l'ampleur de ce rassemblement. "Tous les jours, il y a des infanticides et des féminicides. On ne peut pas construire une société sans les femmes, et derrière ces féminicides, il y a beaucoup d'enfants traumatisés", rappelle-t-elle.
"On ne devrait pas être là, cette maman, avec ses trois enfants, devrait être heureuse chez elle. Mais en 2021, une femme qui décide de se séparer de son mari, peut potentiellement mourir sous ses coups. C'est insupportable."
Valérie, élue féministe et communiste.
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