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Claire Koç: Quand je ne faisais pas le ramadan, on me traitait de sale Française

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  • Claire Koç: Quand je ne faisais pas le ramadan, on me traitait de sale Française

    La journaliste d’origine turque raconte son douloureux quotidien, lorsqu’elle était en classe d’ “Enseignement langue et culture d’origine”.

    Un témoignage aussi glaçant qu’inquiétant. Début mars, Claire Koç, journaliste à France Télévisions, publiait un livre choc, intitulé Claire, le prénom de la honte. Dimanche 9 mai, elle a donné un entretien au média Livre Noir, à qui elle a raconté son combat pour l’assimilation. Née en Turquie, cette femme de 37 ans a fui les persécutions de son pays d’origine en venant en France avec sa famille. Seulement, elle y a découvert une nouvelle forme de discrimination : celle de ses camarades de classe d’ELCO (enseignement langue et culture d’origine), qui lui reprochaient d’être trop française et pas assez musulmane

    « Quand je ne faisais pas le ramadan, on me traitait de sale Française[..] Je me faisais taper dans la cour. »

    Témoignage bouleversant de @ClaireKoc sur son enfance , victime d’agressions physiques et verbales pour son désir d’assimilation

    Des sévices réguliers

    « Dans la cour, je me faisais taper quand je faisais par le ramadan, on me traitait de ‘cochonou’, de ‘sale française’. J’étais vue comme une traître », raconte Claire Koç, elle qui avait soif de connaître le pays qui l’accueillait. Et de raconter les sévices qu’elle subissait régulièrement : « Quand je passais dans les rangs pour aller à ma place, on me faisait des croche-pieds, quand eux passaient devant ma table, ils me griffaient les mains ». Son professeur, qui donnait des cours de religion sous couvert de cours de langue, refusait également de lui distribuer des fournitures scolaires en début d’année, parce que ce n’était pas une bonne musulmane. « J’étais une mécréante, c’est le mot qu’ils utilisaient », conclut la journaliste.

    Pendant toute sa jeunesse, Claire Koç a été tiraillée entre la volonté d’être acceptée dans sa famille, plongée dans une forme de communautarisme, et celle d’épouser la culture française, explique franceinfo. C’est en 2008 qu’elle s’émancipe définitivement : à cette époque, elle décide de changer son nom, Çigdem, en Claire. Un geste symbolique qui marquera une rupture franche avec sa famille.

    Par Valeurs actuelles

    Dernière modification par gdesmon, 13 mai 2021, 08h24.
    La religion est pour ceux qui ont peur d’aller en enfer ; la spiritualité est pour ceux qui y ont déjà été. (Citation d’origine inconnue)

  • #2
    Cette intolérance religieuse n'est pas une surprise.
    Ces incidents au sein des établissements scolaires ne sont pas des cas isolés.
    Pendant le ramadan, des élèves n'osent plus manger un goûter dans la cour de récréation, y compris les kouffars, car lorsqu'ils sont en minorité ils sont pris à partie.
    Dans un collège, des élèves avaient mis en place un filtrage à l'entrée de la cantine pour en interdire l'accès à tous ceux qu'ils considéraient comme susceptibles d'être musulmans.
    La plupart de ces shérifs de la religion sont Français et nés en France, mais ce n'est pas notre pays qui les a formés et éduqués à devenir des policiers de la charia, mais bien leurs familles.
    Et il n'y a qu'une seule religion, en France, dont certains adeptes génèrent de tels incidents en milieu scolaire, même si cela n'est pas généralisé.

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    • #3
      .
      Son professeur, qui donnait des cours de religion sous couvert de cours de langue,
      Et cela dans le cadre de l Education nationale
      La France le pays le plus con du monde...
      La religion est pour ceux qui ont peur d’aller en enfer ; la spiritualité est pour ceux qui y ont déjà été. (Citation d’origine inconnue)

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      • #4
        Envoyé par gdesmon Voir le message
        .

        Et cela dans le cadre de l Education nationale
        La France le pays le plus con du monde...
        Non ce n'est pas la France qui est c** ce sont ceux qui essayent d'imposer leur religion à la c**!
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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        • #5
          Le recit de cette journaliste entre en resonnance avec celui de la victime de Merignac brûlée vive pour avoir voulu "vivre comme une française"
          La religion est pour ceux qui ont peur d’aller en enfer ; la spiritualité est pour ceux qui y ont déjà été. (Citation d’origine inconnue)

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          • #6
            La police de religieuse en France n'est pas une vue de l'esprit.

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