Trois raisons d’arrêter d’être vaccinolâtre
Il faut mettre un terme à l’hystérie vaccinale pour trois raisons que nos dirigeants ne peuvent pas ou plus ignorer. Le vaccin induit une mortalité directe de personnes juste vaccinées. Il induit aussi des pics d’hospitalisation et de décès lors des campagnes de vaccination. Il s’avère inefficace puisqu’il n’empêche pas le vacciné d’être porteur, diffuseur et victime. Enfin, les effets indésirables se révèlent et la nocivité de ces thérapies interrogent pour la santé des populations vaccinées dans le temps, sujet encore tabou.
1. La mortalité directe et indirecte
1.1. La mortalité directe est attestée par les rapports de l’ANSM en France avec plus de 1.000 décès constatés et plus de 20.000 au niveau de l’Union Européenne. Les USA ont une base estimée à plus de 15.000 décès et des débats sur un nombre plus élevé de ces premières victimes laisse présager plusieurs dizaines de milliers de décès imputables aux thérapies géniques. Même si tous ne sont pas imputables à ces thérapies, la simple probabilité suffit pour dire que des milliers de personnes, dont de nombreux jeunes meurent directement de leur vaccination.
Les derniers travaux de Laurent Mucchielli confirment qu’aux USA, je le cite : « ce sont 10.672 décès qui sont remontés en pharmacovigilance comme associés à la vaccination depuis 1990, sur la totalité des vaccins utilisés. Parmi eux, 2 .842 sont associés au vaccin anti-covid de Moderna, 2.768 à celui de Pfizer, 545 à celui de Janssen et 28 dont la marque de vaccin n’est pas connue. Le total des quatre donne un total de 6.183 décès, ce qui équivaut à près de 58% du total de la mortalité associée à un vaccin quel qu’il soit depuis 31 ans. » (France Soir – 13 août 2021). Stupéfiant.
Pourquoi les Etats poursuivent-ils une vaccination expérimentale en phase 3 jusqu’à contraindre les populations alors que cette mortalité directe est déjà très élevée ? Incompréhensible.
1.2. La mortalité indirecte est liée aux effets des campagnes de vaccination. Dans tous les pays qui ont procédé à des campagnes massives, s’en est suivi un pic d’hospitalisation et de décès de non-vaccinés et de vaccinés. Le plus démonstratif, ce sont les pays avec très peu de décès qui lancent une campagne de vaccinations : Mongolie ou Cambodge, avec un effet dès plus troublant de cas, malades et morts. Les courbes disponibles sur le site Reuters attestent du phénomène suivant. Pratiquement aucun décès dans ces deux pays jusqu’en février 2021. Lancement des campagnes de vaccination à partir de février pour les adultes. Premiers pics de cas puis rapidement de décès à compter de mi-mars et début avril. La Mongolie comptait au 25 mars moins de 5 décès, elle en compte aujourd’hui 869.
Ces deux causes de mortalité, le vaccin tuant des patients, les campagnes vaccinales produisant des pics d’hospitalisation et de décès sont aujourd’hui indiscutables.
Pour cette première raison, il serait urgent d’être prudent et d’investir dans d’autres actions de santé publique.
2. L’inefficacité en matière de contagion et de protection
La situation des pays les plus vaccinés dont l’Islande et Israël en particulier apportent chaque jour des indications sur des populations vaccinées porteuses du virus, créant des « clusters », jusqu’à avoir des hospitalisations et décès de ces personnes prétendument protégées, un comble. A priori, un vaccin a pour caractéristique de protéger. L’individu n’est pas porteur, transmetteur, ni susceptible de décéder. Ce n’est déjà plus le cas. La situation de l’Islande et d’Israël est inquiétante pour la première, déjà éloquente pour la seconde. Dans les deux pays, les nouveaux cas quotidiens sont à la hausse depuis début août, Israël enregistre des décès de vaccinés. Incroyable. L’Islande (357.000 habitants) enregistre un regain de cas, au-delà des pics antérieurs, sans décès à date mais la vague de nouveaux cas est très récente ; à suivre.
L’efficacité de la thérapie serait alors très temporaire. En effet, Israël et l’Islande ont en commun d’avoir mené leur campagne de vaccination dès janvier-février 2021 sur les premiers mois de l’année. Nous sommes à 5-6 mois de ces vaccinations. Rappelons que les laboratoires ont eux-mêmes reconnu qu’ils ne connaissaient pas la durée de protection, sans même évoquer des variants résistants. Ces deux pays tendent à montrer qu’elle est très certainement faible en durée comme on le craignait. Dès le premier patient vacciné et hospitalisé, voire décédé, c’est bien sûr une alerte essentielle quant à l’efficacité réputée de la thérapie. Libération rapporte d’ailleurs ce propos : « le directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem a déclaré à l’antenne d’une chaîne nationale que « 85 à 90 % des hospitalisés [dans cet hôpital] sont complètement vaccinés. » ». C’est bien l’échec patent du processus de vaccination.
Ces deux faits avérés d’une thérapie qui échoue à interrompre la contagion sans obtenir la protection réelle du patient signe son échec.
Pour cette seconde raison, il faut envisager urgemment des alternatives, des thérapies ciblées sur les patients, non sur les bien portants, pour des raisons d’efficacité, sans oublier le coût prohibitif des campagnes vaccinales de l’ordre de 2 à 3 milliards par campagne pour un pays comme la France au prix de Pfizer. Que dire, si ces campagnes ont lieu deux fois par an avec des effets si ténus. C’est très cher pour un résultat très aléatoire, en plus des morts.
3. La nocivité et les effets indésirables graves et handicapants dans la durée
La nocivité n’est pas à exclure loin de là. L’Agence Européenne du Médicament annonce ce 13 août qu’elle examine de nouveaux effets secondaires potentiels : l’érythème polymorphe, la glomérulonéphrite et le syndrome néphrotique, soit des troubles rénaux affectant la filtration du sang et le maintien dans l’organisme d’un équilibre en minéraux et en eau. Malgré une littérature qui se veut rassurante, le rapport de l’ANSM pour Pfizer indique par exemple dans son tableau n°18 faisant synthèse des effets graves au 1er juillet 2021 de 19 arrêts cardiaques entraînant 13 décès, de 423 embolies pulmonaires, de 18 fausses couches spontanées, de 729 hypertensions et de 232 thromboses veineuses profondes (Rapport n°17 – p. 43 à 45). De même aux USA où les invalidités graves voisinent les 7.000, les fausses couches 300 et des hospitalisations de l’ordre de 28.000. Inouï.
Sur la question de la circulation sanguine, des travaux convergent actuellement avec des suspicions d’une multiplication des dommages sur les petits vaisseaux sanguins conduisant à des essoufflements, des fatigues rapides. Certains s’interrogent sur la compensation cardiaque de ces troubles vasculaires et les effets à 2 ou 3 ans en termes de défaillances cardiaques. Ces inquiétudes et ces signaux méritent une extrême attention. En effet, en vaccinant plusieurs milliards de personne, le moindre effet indésirable grave atteignant seulement 1 ou 2 % de cette population vaccinée conduirait à constater cet effet sur 10 à 20 millions de personne. Comment peut-on prendre de tels risques sans avoir respecté le protocole d’une phase 3 raisonnée ? Pourquoi tant de précipitation ? Je n’ose imaginer le cumul de deux ou trois effets indésirables affectant chacun 2 à 3 % de la population, ce serait 50 à 60 millions de malades, de handicaps, voire d’une mortalité différée dans le temps. Folie.
En conclusion, il est totalement déraisonnable de poursuivre dans la vaccinolâtrie. C’est tout simplement l’éclipse de la raison, un déni de réalité et un refus de tirer enseignement de l’expérience. C’est le signe de l’aveuglement, de l’entêtement, voire de l’idéologie ou de la duplicité. Il faut absolument que les professionnels de santé s’expriment en liberté pour que la raison, la prudence, le sens des précautions l’emportent avant de nous réveiller tous, horrifiés d’avoir laissé faire ce qui va ressembler de plus en plus à un massacre de nos propres populations. Et n’oublions pas les impacts psychologiques qui sont passés sous silence aujourd’hui, mais dont les effets délétères vont se voir si ce climat de terreur et de peur sempiternellement entretenu perdure : sur les étudiants (suicide, dépression), sur les jeunes (retard scolaire, déficience mentale) sans oublier les adultes (arrêt de maladie, démissions, violences conjugales, etc.). Aucun humain raisonnable ne peut poursuivre ce projet insensé de vaccinolâtre. Ce n’est plus une politique sanitaire, c’est une persécution.
Primum non nocere dit le serment d’Hippocrate, D’abord ne pas nuire. Au monde de la médecine de rompre urgemment le silence qu’on lui impose. Il en va de la vie des patients et des souffrances dont le corps médical deviendrait chaque jour un peu plus ostensiblement complice. De grâce, l’obéissance n’est pas la soumission et dans certains cas, ne pas obéir c’est obéir à une cause supérieure. De grâce encore, médecins, infirmiers, directeurs d’hôpitaux, prenez la parole, car c’est de soin dont nous avons besoin, non d’une politique sanitaire et d’un concours de vaccination bien digne de l’ENA avec cette intelligence administrative loin de toute science véritable : un problème, une seule solution et je coche que je l’ai fait. Un drame.
Pierre-Antoine Pontoizeau
Il faut mettre un terme à l’hystérie vaccinale pour trois raisons que nos dirigeants ne peuvent pas ou plus ignorer. Le vaccin induit une mortalité directe de personnes juste vaccinées. Il induit aussi des pics d’hospitalisation et de décès lors des campagnes de vaccination. Il s’avère inefficace puisqu’il n’empêche pas le vacciné d’être porteur, diffuseur et victime. Enfin, les effets indésirables se révèlent et la nocivité de ces thérapies interrogent pour la santé des populations vaccinées dans le temps, sujet encore tabou.
1. La mortalité directe et indirecte
1.1. La mortalité directe est attestée par les rapports de l’ANSM en France avec plus de 1.000 décès constatés et plus de 20.000 au niveau de l’Union Européenne. Les USA ont une base estimée à plus de 15.000 décès et des débats sur un nombre plus élevé de ces premières victimes laisse présager plusieurs dizaines de milliers de décès imputables aux thérapies géniques. Même si tous ne sont pas imputables à ces thérapies, la simple probabilité suffit pour dire que des milliers de personnes, dont de nombreux jeunes meurent directement de leur vaccination.
Les derniers travaux de Laurent Mucchielli confirment qu’aux USA, je le cite : « ce sont 10.672 décès qui sont remontés en pharmacovigilance comme associés à la vaccination depuis 1990, sur la totalité des vaccins utilisés. Parmi eux, 2 .842 sont associés au vaccin anti-covid de Moderna, 2.768 à celui de Pfizer, 545 à celui de Janssen et 28 dont la marque de vaccin n’est pas connue. Le total des quatre donne un total de 6.183 décès, ce qui équivaut à près de 58% du total de la mortalité associée à un vaccin quel qu’il soit depuis 31 ans. » (France Soir – 13 août 2021). Stupéfiant.
Pourquoi les Etats poursuivent-ils une vaccination expérimentale en phase 3 jusqu’à contraindre les populations alors que cette mortalité directe est déjà très élevée ? Incompréhensible.
1.2. La mortalité indirecte est liée aux effets des campagnes de vaccination. Dans tous les pays qui ont procédé à des campagnes massives, s’en est suivi un pic d’hospitalisation et de décès de non-vaccinés et de vaccinés. Le plus démonstratif, ce sont les pays avec très peu de décès qui lancent une campagne de vaccinations : Mongolie ou Cambodge, avec un effet dès plus troublant de cas, malades et morts. Les courbes disponibles sur le site Reuters attestent du phénomène suivant. Pratiquement aucun décès dans ces deux pays jusqu’en février 2021. Lancement des campagnes de vaccination à partir de février pour les adultes. Premiers pics de cas puis rapidement de décès à compter de mi-mars et début avril. La Mongolie comptait au 25 mars moins de 5 décès, elle en compte aujourd’hui 869.
Ces deux causes de mortalité, le vaccin tuant des patients, les campagnes vaccinales produisant des pics d’hospitalisation et de décès sont aujourd’hui indiscutables.
Pour cette première raison, il serait urgent d’être prudent et d’investir dans d’autres actions de santé publique.
2. L’inefficacité en matière de contagion et de protection
La situation des pays les plus vaccinés dont l’Islande et Israël en particulier apportent chaque jour des indications sur des populations vaccinées porteuses du virus, créant des « clusters », jusqu’à avoir des hospitalisations et décès de ces personnes prétendument protégées, un comble. A priori, un vaccin a pour caractéristique de protéger. L’individu n’est pas porteur, transmetteur, ni susceptible de décéder. Ce n’est déjà plus le cas. La situation de l’Islande et d’Israël est inquiétante pour la première, déjà éloquente pour la seconde. Dans les deux pays, les nouveaux cas quotidiens sont à la hausse depuis début août, Israël enregistre des décès de vaccinés. Incroyable. L’Islande (357.000 habitants) enregistre un regain de cas, au-delà des pics antérieurs, sans décès à date mais la vague de nouveaux cas est très récente ; à suivre.
L’efficacité de la thérapie serait alors très temporaire. En effet, Israël et l’Islande ont en commun d’avoir mené leur campagne de vaccination dès janvier-février 2021 sur les premiers mois de l’année. Nous sommes à 5-6 mois de ces vaccinations. Rappelons que les laboratoires ont eux-mêmes reconnu qu’ils ne connaissaient pas la durée de protection, sans même évoquer des variants résistants. Ces deux pays tendent à montrer qu’elle est très certainement faible en durée comme on le craignait. Dès le premier patient vacciné et hospitalisé, voire décédé, c’est bien sûr une alerte essentielle quant à l’efficacité réputée de la thérapie. Libération rapporte d’ailleurs ce propos : « le directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem a déclaré à l’antenne d’une chaîne nationale que « 85 à 90 % des hospitalisés [dans cet hôpital] sont complètement vaccinés. » ». C’est bien l’échec patent du processus de vaccination.
Ces deux faits avérés d’une thérapie qui échoue à interrompre la contagion sans obtenir la protection réelle du patient signe son échec.
Pour cette seconde raison, il faut envisager urgemment des alternatives, des thérapies ciblées sur les patients, non sur les bien portants, pour des raisons d’efficacité, sans oublier le coût prohibitif des campagnes vaccinales de l’ordre de 2 à 3 milliards par campagne pour un pays comme la France au prix de Pfizer. Que dire, si ces campagnes ont lieu deux fois par an avec des effets si ténus. C’est très cher pour un résultat très aléatoire, en plus des morts.
3. La nocivité et les effets indésirables graves et handicapants dans la durée
La nocivité n’est pas à exclure loin de là. L’Agence Européenne du Médicament annonce ce 13 août qu’elle examine de nouveaux effets secondaires potentiels : l’érythème polymorphe, la glomérulonéphrite et le syndrome néphrotique, soit des troubles rénaux affectant la filtration du sang et le maintien dans l’organisme d’un équilibre en minéraux et en eau. Malgré une littérature qui se veut rassurante, le rapport de l’ANSM pour Pfizer indique par exemple dans son tableau n°18 faisant synthèse des effets graves au 1er juillet 2021 de 19 arrêts cardiaques entraînant 13 décès, de 423 embolies pulmonaires, de 18 fausses couches spontanées, de 729 hypertensions et de 232 thromboses veineuses profondes (Rapport n°17 – p. 43 à 45). De même aux USA où les invalidités graves voisinent les 7.000, les fausses couches 300 et des hospitalisations de l’ordre de 28.000. Inouï.
Sur la question de la circulation sanguine, des travaux convergent actuellement avec des suspicions d’une multiplication des dommages sur les petits vaisseaux sanguins conduisant à des essoufflements, des fatigues rapides. Certains s’interrogent sur la compensation cardiaque de ces troubles vasculaires et les effets à 2 ou 3 ans en termes de défaillances cardiaques. Ces inquiétudes et ces signaux méritent une extrême attention. En effet, en vaccinant plusieurs milliards de personne, le moindre effet indésirable grave atteignant seulement 1 ou 2 % de cette population vaccinée conduirait à constater cet effet sur 10 à 20 millions de personne. Comment peut-on prendre de tels risques sans avoir respecté le protocole d’une phase 3 raisonnée ? Pourquoi tant de précipitation ? Je n’ose imaginer le cumul de deux ou trois effets indésirables affectant chacun 2 à 3 % de la population, ce serait 50 à 60 millions de malades, de handicaps, voire d’une mortalité différée dans le temps. Folie.
En conclusion, il est totalement déraisonnable de poursuivre dans la vaccinolâtrie. C’est tout simplement l’éclipse de la raison, un déni de réalité et un refus de tirer enseignement de l’expérience. C’est le signe de l’aveuglement, de l’entêtement, voire de l’idéologie ou de la duplicité. Il faut absolument que les professionnels de santé s’expriment en liberté pour que la raison, la prudence, le sens des précautions l’emportent avant de nous réveiller tous, horrifiés d’avoir laissé faire ce qui va ressembler de plus en plus à un massacre de nos propres populations. Et n’oublions pas les impacts psychologiques qui sont passés sous silence aujourd’hui, mais dont les effets délétères vont se voir si ce climat de terreur et de peur sempiternellement entretenu perdure : sur les étudiants (suicide, dépression), sur les jeunes (retard scolaire, déficience mentale) sans oublier les adultes (arrêt de maladie, démissions, violences conjugales, etc.). Aucun humain raisonnable ne peut poursuivre ce projet insensé de vaccinolâtre. Ce n’est plus une politique sanitaire, c’est une persécution.
Primum non nocere dit le serment d’Hippocrate, D’abord ne pas nuire. Au monde de la médecine de rompre urgemment le silence qu’on lui impose. Il en va de la vie des patients et des souffrances dont le corps médical deviendrait chaque jour un peu plus ostensiblement complice. De grâce, l’obéissance n’est pas la soumission et dans certains cas, ne pas obéir c’est obéir à une cause supérieure. De grâce encore, médecins, infirmiers, directeurs d’hôpitaux, prenez la parole, car c’est de soin dont nous avons besoin, non d’une politique sanitaire et d’un concours de vaccination bien digne de l’ENA avec cette intelligence administrative loin de toute science véritable : un problème, une seule solution et je coche que je l’ai fait. Un drame.
Pierre-Antoine Pontoizeau
Commentaire