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C'etait la guerre d'Algerie - Documentaire qui sera diffusé les 14 et 15 mars 2022 sur France 2 (à 21h)

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  • #16
    Chouan

    il y avait un occupant et un occupé. Parler de terrorisme c'est comme dire que les ukrainiens serait terroriste s'ils étaient occupé et qu'il s'attaquaient au russe.
    d'ailleur le documentaire a montré une chose aux français:le premier attentat à la bombe à Alger, n'était pas du fait des algériens mais de français dans la casbah avec plus de 50 mort. C'est à partir, de ce moment là que la résistance décide de poser des bombes (ce n'est pas qui le dit c'est le docu)
    l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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    • #17
      L'assassinat de Guy Monnerot originaire de Limoge dans les gorges de Tighanimine le 1e Novembre 54 relève d'un dégât collatérale, l'instituteur l’était pas précisément visé. Il avait voulu s’interposer aux hommes de Ben Boulaid qui voulaient interpeler le caïd Bensedok, s'en ait suivit cet incident fort regrettable...

      Il a surtout été érigé en symbole. Le symbole de cette France investie en Algérie et que le FLN voulait frapper. Le symbole de la violence aveugle des Fellaghas.







      Dernière modification par infinite1, 15 mars 2022, 13h33.

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      • #18
        infinite1

        L'assassinat de Guy Monnerot originaire de Limoge dans les gorges de Tighanimine le 1e Novembre 54 relève d'un dégât collatérale
        Le déroulement des évènements démontre qu'il s'agissait bien plus qu'un dégât collatéral.
        En effet, Guy Monnerot ne s'est pas interposé du tout. C'est le caïd qui a tenté de le faire en essayant de sortir une arme. Il a été atteint par la même rafale de pistolet mitrailleur qui a touché en même temps l'instituteur et son épouse.
        C'est ensuite que l'on peut constater le comportement odieux des agresseurs. Ils ont demandé aux chauffeur et aux passagers de charger le corps de caïd dans le bus car "C'est un musulman, on ne peut pas le laisser là !".
        Par contre, Guy Monnerot a agonisé pendant plusieurs heures au bord de la route avant de s'éteindre au côté de son épouse grièvement blessée.
        Celle-ci a déclaré ultérieurement au médecin avoir été violée.
        Les secours ne sont arrivés que six heures plus tard.
        Si Guy Monnerot avait été évacué lui aussi par le bus, il aurait eu des chances de survivre.
        Mais en tant que kouffar, il ne méritait pas cette attention qui a été réservée au cadavre d'un musulman. L'instituteur ne l'était pas alors il pouvait crever au bord de la route.

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        • #19
          « Cette terre n’est pas à vendre » clame Messali Hadj dans « C’était la guerre d’Algérie »

          EmptyDiffusée à l’occasion du soixantième anniversaire des accords d’Évian, la série documentaire de France 2 propose des archives visuelles exceptionnelles.

          Par Nathalie Funès, l'OBS.
          Il faut absolument regarder « C’était la guerre d’Algérie », la série documentaire en cinq épisodes que diffuse France 2 ce soir et demain soir. Ne serait-ce que pour ces incroyables images d’archives : celles de Messali Hadj au Ruisseau, le grand stade municipal d’Alger, en août 1936, à l’occasion du Premier congrès musulman, organisé notamment par Ferhat Abbas et les Oulemas, les religieux modernistes. Le père du nationalisme algérien et président de l’Etoile nord-africaine (ENA), fondée dix ans auparavant, s’apprête à faire son fameux discours. Il va se baisser pour ramasser une poignée de terre et à la brandir en criant : « Cette terre n’est pas à vendre ».

          « Deux peuples déchirés un temps mais liés à jamais par ce passé commun »

          Ces quelques minutes sépia, où l’on aperçoit les gradins du stade bourrés à craquer (15 000 personnes étaient présentes) éclairent la « préhistoire » de la guerre qui éclatera 18 ans plus tard. Tout comme les images de ces gamins algériens, en haillons, pieds nus, qui courent après un riche colon, en costume et en voiture, celles du président Gaston Doumergue venu célébrer en 1830 le centenaire de la conquête de la « plus belle des provinces » de l’Empire, grande comme cinq fois la France, « où nous avons tout créé, tout transformé », ou encore celles de Maurice Viollette, ancien gouverneur général de l’Algérie, surnommé « Viollette l’arabe », qui avait eu l’audace de vouloir faire adopter, en vain, un texte de naturalisation de 24 000 musulmans (anciens combattants, caïds, notables…), une infime minorité sur une population de 6 millions. Les colons les plus puissants et les plus influents d’Algérie, vent debout, feront capoter le projet Blum-Viollette avant même qu’il ne passe à la Chambre des députés.

          Ecrit par Georges-Marc Benamou et l’historien Benjamin Stora, à l’occasion du 60e anniversaire des accords d’Evian (le 18 mars 1962), « C’était la guerre d’Algérie », entend retracer l’histoire de « deux peuples déchirés un temps mais liés à jamais par ce passé commun ». Le documentaire a choisi de consacrer sa première partie aux 124 années ayant précédé la Toussaint rouge du 1er novembre 1954 et réalise ainsi un exercice salutaire et hautement instructif. On ne peut pas comprendre la colonisation en Algérie si on ne raconte pas l’histoire par le début : la conquête sanglante, la dépossession des terres des populations musulmanes, le « code de l’indigénat »... La série a aussi pris le parti des archives visuelles, du récit linéaire et de la pédagogie historique.

          « C’était la guerre d’Algérie »

          On reste abasourdi par ces cinq heures qui racontent « les » guerres d’Algérie (celle, impitoyable et sanglante entre le FLN et les partisans de Messali Hadj, peu à peu éliminés, ou celle entre les jusqu’au-boutistes de l’OAS et les représentants de l’Etat français…), les tentatives de dialogue avortées (du Royaume arabe de Napoléon III à la trêve civile réclamée par Albert Camus) et la radicalisation de ses acteurs, à commencer par le parcours de Jacques Soustelle, ethnologue, résistant, intellectuel pacifiste avant-guerre, nommé par Pierre Mendès France comme gouverneur général de l’Algérie, au début de la guerre. On le voit, au départ, prôner l’égalité des droits et des devoirs, le rattrapage des inégalités scolaires et sociales, il confie même une mission à Germaine Tillion, la créatrice des centres sociaux. Il sera à la fin du conflit un des fervents soutiens de l’OAS. C’est l’un des « personnages » suivis par le documentaire, avec Ferhat Abbas et Albert Camus, tous emportés par la tragédie de la guerre d’Algérie.

          Lundi 14 et mardi 15 mars à 21h10 sur France 2. Documentaire de Georges-Marc Benamou, écrite avec Benjamin Stora (2022), 5x52 min. (Disponible en replay sur France.tv )

          Benjamin Stora,

          https://benjaminstora.univ-paris13.fr/

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          • #20
            ali,

            Je n sais pas quelles sont tes sources (de toutes façon il doit y avoir plusieurs versions avec le recul), moi j'avais découvert ce drame à la lecture de la "revue Historia Magazine" dans les années 70, il faut savoir qu'à l'époque ce mensuel d'histoire est interdite en Algérie, on se la procure généralement sous le manteau auprès des émigrés, longtemps après sa publication périodique.

            Je ne sais pas si la revue est toujours publiée, à l'époque moi j'en raffoler surtout que les journalistes rédacteurs avaient la possibilité de contactes et d'entretiens avec les acteurs de la révolution. Tels Pierre Sandérichin, Albert Paul Lantin, Marie Elbe, Dominique Bromberger, Paul Albert Lamber, et tant d'autres que je peux citer encore de nom, journalistes reporters de grands talents qui avaient couverts les événement d'Algérie...

            Pour anecdote j'avais assister à un reportage d' Yves Courrière avec des témoins ayants connus Abane Ramdane, pour les besoins de ses ouvrages sur la guerre d'Algérie.
            Dernière modification par infinite1, 15 mars 2022, 18h07.

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            • #21
              infinite1
              Je n sais pas quelles sont tes sources
              Les détails de cet agression sordide sont très détaillés dans le libre d'Yves Courrière (que je possède) "Les fils de la Toussaint".
              L'exposition des faits a été reconstitué par les témoignages des personnes présentes sur les lieux et particulièrement par le récit Mme Monnerot qui a survécu à son calvaire.

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              • #22
                Les détails de cet agression sordide sont très détaillés dans le libre d'Yves Courrière (que je possède) "Les fils de la Toussaint".
                L'exposition des faits a été reconstitué par les témoignages des personnes présentes sur les lieux et particulièrement par le récit Mme Monnerot qui a survécu à son calvaire.


                ali,

                Je dis pas le contraire (c'est d'ailleurs ce que rapporte Yves Courrière),sauf, avec le temps à la "vérité" on fait subir des triturations selon les convenances...

                Aujourd'hui à entendre les récits des "héros" du dernier quart d'heure (du moins ici en Algérie), on peut se demander comment la France avait résister devant leur bravoure pendant 7 ans et demi...

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                • #23
                  Ils ont demandé aux chauffeur et aux passagers de charger le corps de caïd dans le bus car "C'est un musulman, on ne peut pas le laisser là !".
                  Quand on sait que des harkis avec des responsabilités beaucoup moindre que celle d'un caid etaient passés au couteau . On peut aisement deduire que cette version de l'histoire est tiré par les cheveux .

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                  • #24
                    Zviti

                    ​​​​​​​Il est bien établi que le corps du caïd a été chargé dans le car et déposé à destination du bus, à Arris.
                    Et que l'instituteur et sa femme grièvement blessés ont été laissés au bord de la route après avoir été tirés sur le bas-côté.
                    Ces faits ont été rapportés par les passagers du car et les témoins présents à l'arrivée de celui-ci.
                    Quant, à l'explication des harkis avec des responsabilités moindres passés au couteau, cela est arrivé par la suite de plus en plus.
                    Il s'agissait là de la toute première action.
                    Et les tueurs du FLN naissant ont préféré faire emporter le cadavre du musulman plutôt que de faire de même pour les jeunes instituteurs et cela aurait pu être fait sans difficulté, la capacité d'un car permettant cette opération.
                    En fait, le choix a été fait de les laisser crever au bord de la route.
                    Puisque, on nous explique depuis qu'ils n'avaient pas prévu de les tuer, ils auraient pu corriger cet acte en les mettant dans le car afin qu'ils aient une chance de survie.
                    Il s'agit donc d'un acte délibéré de les laisser mourir sur place.
                    Peu importe que, bien entendu, certains tentent de leur trouver des excuses et arrivent à nier cet acte incontestable.

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                    • #25
                      Regardez qui nous fait sont Jérémie sur 300 pages à propos de deux misérables bonhommes tués par le FLN en 1954, mais qui n'a jamais de mots pour les centaines de milliers d'algériens massacrés par les français entre 1830 et 1962.

                      Pathétique ...
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #26
                        Harrachi78

                        Parce qu'il s'agit d'une mort emblématique survenue le premier jour de cette guerre.
                        Emblématique, parce qu'elle a touché un couple de jeunes instituteurs communistes, qui par idéalisme, ont laissé leur confort en France pour aller enseigner dans un coin reculé de l'Algérie, les Aurès, auprès d'enfants de cette région, car il n'y avait pas d'élèves français dans leur école.
                        Ce premier novembre 1954, il y a eu d'autres morts, mais c'est le sort de ces deux jeunes enseignants qui a été retenu comme symbole et leur nom qui est resté pour cette cette date.
                        Inutile de nous balancer vos centaines de milliers de morts que personne ne conteste et acceptez que l'on parle de cette attaque du premier jour, sans que les faits ne soient niés, ni édulcorés.
                        Sinon, vous êtes dans le bréviaire du FLN et de
                        ses mensonges.
                        Dernière modification par alibigoud, 16 mars 2022, 10h38.

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                        • #27
                          Sinon, vous êtes dans le bréviaire du FLN et de
                          ses mensonges.
                          Ce n'est pas de leur faute, ils ont été formaté à l'école, chez leurs parents et à la Mosquée!!!

                          ​​​​​​​Tu ne peux rien y faire, il faudra des décennies pour qu'ils oublient ces conneries!
                          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                          • #28
                            alibigoud

                            ... Parce qu'il s'agit d'une mort emblématique survenue le premier jour de cette guerre ...

                            Tout est relatif. Vu d'ici, ce n'était qu'une péripétie dans une longue guerre qui n'avait jamais cesse d'exister. Le "premier jour" de la guerre c'était en Juillet 1830. C'est juste la propagande du coloniale et le sentiment de supériorité qui vous avais fait croire que l'Algérie de Papa était la seule réalité en Algérie.

                            ... Emblématique, parce qu'elle touché un couple de jeunes instituteurs communistes, qui par idéalisme, ont laissé leur confort en France pour aller enseigner dans un coin reculé de l'Algérie ...

                            Quels que soient leurs motifs, personne ne leur avait rien demandé à l'origine. Ils ont crus partir en terrain pacifié, une espèce de far-west français, je peux le comprendre, croyant comme toute la communauté européenne d'Algérie que la population algérienne était a jamais soumise et sous contrôle, ecrasée et sans capacité. Comme tous les autres, ils se sont trompés et ça leur a coût la vie. C'est bien dommage, mais je dirais très franchement que leur mort ne le touche pas plus que cela, et pas plus que les milliers et milliers de morts algériens qui ne te font ni chaud ni froid.

                            ... Inutile de nous balancer vos centaines de milliers de morts ... acceptez que l'on parle de cette attaque du premier jour ...

                            Voilà. Ton "empathie humaine" et ton sentiment de mepris transpire depuis le fin fond de l'Océan Arctique. Limpide. Du coup, je puis t'assurer que nul ici ne souhaite interdire aux français de réciter leur "Jérémiade de la Toussaint". Tout ce qu'on dit ici c'est que nous n'en avons pas plus à cirer de la mort de vos deux asticots dans le bus là, que toi et tes semblables n'avez à foutre des 45.000 algériens assassinés en Mai 1945 par exemple. Rappel pour rappel quoi, rien de méchant ...
                            Dernière modification par Harrachi78, 16 mars 2022, 12h09.
                            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                            • #29
                              Harrachi78
                              Le "premier jour" de la guerre c'était en Juillet 1830
                              Le premier jour de la guerre est celui où vos ancêtres ont envahi la France au 8° siècle.
                              nous n'en avons pas plus à cirer de la mort de vos deux asticots - des 45.000 algériens assassinés en Mai 1945
                              Il n'y a pas eu 45 000 "asticots" (c'est ainsi que vous qualifiez les morts) tués en mai 1945.
                              Chiffre de propagande FLN, qui a l'habitude de multiplier par trois ou plus pour les raisons que l'on connait.
                              Les faits sont reconnus, mais le chiffre fait toujours l'objet d'une polémique.
                              Dernière modification par alibigoud, 16 mars 2022, 13h04.

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                              • #30
                                ... Le premier jour de la guerre est celui où vos ancêtres ont envahi la France au 8° siècle ...

                                Ça c'est de la connerie pour débiles mentaux à la Vichy. Autrement, vous auriez du commencer par envahir puis coloniser l'Italie puisque les Romains trucidaient vos Verincgotorix plusieurs siècles avant que le premier "musulman" ne naisse.

                                ... Il n'y a pas eu 45 000 asticots tués en mai 1945.
                                Chiffre de propagande FLN ...


                                Soit, connais-tu le nom de 2 ou 3 lascars algériens assassinés ce jours là ? Probablement pas, car tous les Mohamed et les Fatma se valent aux yeux des racistes de ton espèce, qu'ils soient 2, 200 ou 200.000 c'est kif-kind.
                                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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