Face à la crise économique dramatique qui frappe le pays, une foule massive voulait chasser Gotabaya Rajapaksa du pouvoir.
SRI LANKA - C’est un pays qui s’enfonce dans la crise. Le président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, a fui ce samedi 9 juillet son palais de la capitale Colombo. Et cela quelques minutes seulement avant qu’il ne soit pris d’assaut par des centaines de manifestants l’accusant d’être le responsable de la crise économique catastrophique que traverse le pays du fait de la pandémie de Covid et voulant le chasser du pouvoir.
Le Premier ministre Ranil Wickremesinghe, qui est le prochain dans la ligne de succession si Gotabaya Rajapaksa démissionne, a aussitôt convoqué une réunion d’urgence du gouvernement pour discuter d’une “résolution rapide” de la crise. Dans un communiqué, il a convié les dirigeants des partis politiques à se joindre à cette réunion et a également demandé que le Parlement soit convoqué.
Il a ensuite affirmé qu’il était prêt à démissionner pour laisser la place à un gouvernement d’union nationale. “Pour assurer la sécurité de tous les Sri-lankais, il est favorable à cette recommandation des responsables des partis de l’opposition”, ont affirmé ses services dans un communiqué.
huffingtonpost.fr

SRI LANKA - C’est un pays qui s’enfonce dans la crise. Le président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, a fui ce samedi 9 juillet son palais de la capitale Colombo. Et cela quelques minutes seulement avant qu’il ne soit pris d’assaut par des centaines de manifestants l’accusant d’être le responsable de la crise économique catastrophique que traverse le pays du fait de la pandémie de Covid et voulant le chasser du pouvoir.
Le Premier ministre Ranil Wickremesinghe, qui est le prochain dans la ligne de succession si Gotabaya Rajapaksa démissionne, a aussitôt convoqué une réunion d’urgence du gouvernement pour discuter d’une “résolution rapide” de la crise. Dans un communiqué, il a convié les dirigeants des partis politiques à se joindre à cette réunion et a également demandé que le Parlement soit convoqué.
Il a ensuite affirmé qu’il était prêt à démissionner pour laisser la place à un gouvernement d’union nationale. “Pour assurer la sécurité de tous les Sri-lankais, il est favorable à cette recommandation des responsables des partis de l’opposition”, ont affirmé ses services dans un communiqué.
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