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Qui a construit......

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  • Qui a construit......

    Bonjour, ma question est simple , qui a construit les pays comme le Qatar et les Emirats Arabes Unis.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Les Émirats arabes unis (abrégés en E.A.U. ou Émirats ; en arabe : الإمارات العربية المتحدة (al-imārāt al-ʿarabiyyat al-muttaḥida) دولة الإمارات العربيّة المتّحدة (dawlat al-imārāt al-ʿarabiyyat al-muttaḥida)) sont un État fédéral, créé en 1971, situé au Moyen-Orient entre le golfe Persique et le golfe d'Oman. Il est composé de sept émirats : Abou Dabi, Ajman, Charjah, Dubaï, Fujaïrah, Ras el Khaïmah et Oumm al Qaïwaïn5. Sa capitale fédérale est la ville d'Abou Dabi.

    Les Émirats arabes unis comptent parmi les plus importants producteurs et exportateurs de pétrole.

    En 2018, ils comptent 9 701 315 habitants. L'ONU estime que 90 % de la population est constituée d'immigrants2.

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    • #3
      Le golfe Arabo-Persique, appelé couramment le Golfe, s’étire sur environ 1000 km de long avec une largeur moyenne de 300 km. Il s’agit sans doute de la plus ancienne voie maritime de commerce du monde : au quatrième millénaire avant Jésus-Christ des marins sillonnaient le Golfe et permettaient des échanges entre la civilisation sumérienne de basse Mésopotamie et les civilisations très anciennes de l’Indus. Dans les émirats, les recherches archéologiques effectuées récemment, à la demande des souverains soucieux de faire connaître le passé de leur pays, ont montré l’ancienneté du peuplement, qui remonte souvent à la préhistoire. Évidemment, il n’est pas possible d’évoquer ici, même rapidement, les principales étapes de cette longue histoire. Soulignons simplement que pendant des siècles les marins du Golfe, particulièrement ceux d’Oman et de Bahreïn, seront présents dans les ports indiens ou sur les côtes de l’Afrique orientale. N’oublions pas non plus que le Golfe attirera les convoitises européennes : domination portugaise au XVIe siècle, emprise grandissante des Britanniques à partir du XIXe siècle.

      7L’intervention de la Grande-Bretagne dans le Golfe fut liée aux intérêts de la puissante Compagnie des Indes orientales, le gouvernement de Londres voulant contrôler la « route des Indes », et mettre fin aux activités de piraterie, spécialité de certains ports du Golfe. Ainsi, en 1820, les Anglais détruisirent Ras al-Khaimah. Puis des trêves et traités renouvelés à plusieurs reprises aboutissent en 1853 à un « traité de paix perpétuelle », qui transforma la « Côte des Pirates », l’actuel littoral de l’État des Émirats arabes unis, en « Côte de la Trêve », et consacra la présence de navires britanniques dans les eaux du Golfe. Tous les émirats signèrent les uns après les autres un traité avec l’Angleterre, le dernier étant le Koweït en janvier 1899.

      8La présence britannique dans le Golfe, en imposant la paix, allait favoriser les activités liées à la mer : la pêche des perles, le commerce maritime et les constructions navales. La grande saison de la pêche des perles commençait vers le milieu du mois de mai et s’achevait dans la seconde quinzaine de septembre. Les plongeurs avaient un métier particulièrement dur et étaient souvent endettés, n’arrivant pas à rembourser le capitaine du bateau qui les avait engagés et leur versait une avance sur leur salaire avant le début de la saison de la pêche. Cette grande misère des pêcheurs de perles a servi de thème à une abondante littérature orale, poésie chantée et scandée au rythme des tambours, toujours présente dans la vie culturelle des émirats du Golfe. La concurrence des perles de culture japonaises à partir de 1930 entraîna le déclin de cette activité, d’autant plus qu’au même moment les pays européens, principaux acheteurs de perles du Golfe étaient appauvris par les répercussions de la crise de 1929.

      9Tous les ports disposaient de chantiers de constructions navales. Les bateaux fabriqués, depuis Koweït jusqu’à Mascate, étaient très variés. Les boutres du Golfe étaient aussi bien de longs navires construits pour le transport des marchandises sur des distances impressionnantes que des bateaux plus petits destinés à la pêche des perles ou des poissons. Ces boutres permettaient un vaste trafic entre, d’une part, l’Arabie et la Mésopotamie et, d’autre part, les pays de l’océan Indien, péninsule indienne et Afrique orientale. Les principaux ports (en particulier Mascate, Sharjah, Dubaï, Manama, Koweït) étaient devenus de vastes entrepôts qui réexportaient, légalement ou en contrebande, les produits venus d’Afrique ou des Indes. Avec la richesse apportée par le pétrole, ces ports ont conservé et développé leur fonction d’entrepôt, déjà si florissante au XIXe siècle. Les villes des émirats du Golfe sont devenues de véritables « cavernes d’Ali Baba », où sont rassemblés les produits les plus divers, fruits de la technologie occidentale ou japonaise.

      10La vieille tradition commerciale des émirats, liée aux relations étroites avec les pays de l’océan Indien, a permis l’émergence d’une classe sociale privilégiée, constituée d’armateurs et de grands commerçants. Jusqu’à l’arrivée des revenus pétroliers, ces familles marchandes détenaient le pouvoir économique, alors que les familles régnantes dépendaient bien souvent économiquement de la classe des marchands, et parfois même étaient obligées de leur emprunter de l’argent. Mais la signature des concessions pétrolières, puis l’exploitation de l’« or noir » vont modifier radicalement cette situation en renforçant le pouvoir des émirs et de leur famille au détriment des riches familles marchandes. Incontestablement, le pétrole a permis la consolidation de ces fragiles entités politiques que sont les « pétromonarchies » du Golfe. La recherche puis l’exploitation de gisements d’hydrocarbures ont entraîné l’affirmation de la notion de frontière, terrestre ou maritime, dans une région qui n’avait jamais connu jusqu’alors de frontière précise.

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      • #4

        Dynastie des ben Sultan : les cheikhs controversés qui ont fait des Émirats arabes unis une puissance mondiale
        • BBC News Mundo

        20 juin 2022

        Il y a seulement une cinquantaine d'années, ils constituaient un groupe de royaumes tribaux dans le désert de la péninsule arabique.

        Un demi-siècle plus tard, là où il n'y avait que des souks et des maisons en forme de tente, on trouve des villes hérissées de gratte-ciel et des autoroutes de conception galactique.

        Là où l'on cueillait des dattes, cherchait les perles et élevait des chameaux pour survivre, on trouve aujourd'hui une antenne du Louvre à Paris et des campus satellites de l'université de New York et de la Sorbonne.

        Ils possèdent également le plus haut bâtiment du monde, l'hôtel le plus luxueux (7 étoiles), ont payé le plus cher pour une peinture (le Salvator Mundi, attribué à Léonard) et ce qui était jusqu'à récemment le plus grand centre commercial du monde.

        Et comme si cela ne suffisait pas, ils figurent parmi les rares pays à avoir envoyé des missions dans l'espace et ont été les pionniers de l'instauration officielle de la semaine de travail de quatre jours et demi.


        Les Émirats arabes unis (EAU) sont devenus au fil des ans une passerelle entre l'Orient et l'Occident, une combinaison de modernité, de technologie et d'extravagance portée par ses riches gisements de pétrole.

        Mais c'est aussi un acteur mondial puissant, un allié clé des puissances occidentales dans la région du golfe Persique et l'une des autocraties les plus controversées du monde.

        Et derrière cette transformation qui a secoué le pays en moins d'un demi-siècle, les experts du Moyen-Orient n'hésitent pas à désigner l'homme qui a dirigé la confédération des émirats du début de ce siècle jusqu'à sa mort ce mois-ci : le cheikh Khalifa ben Zayed ben Sultan Al Nahayan.

        Considéré comme l'un des hommes les plus riches du monde, l'émir et souverain d'Abu Dhabi a été le deuxième président de l'histoire des Émirats arabes unis et la figure controversée qui a placé son pays hors de la carte du développement régional.

        Il était éloigné des yeux du public depuis 2014 après un accident vasculaire cérébral, mais sa présence était quotidienne : ses photographies étaient partout, ornant les halls d'hôtels, les bureaux gouvernementaux et même les magasins et les restaurants.

        Pour le remplacer, le nom de son demi-frère Mohammed bin Zayed ben Sultan Al Nahayan, dont on pense qu'il a été la tête pensante de la politique étrangère émiratie au cours de la dernière décennie, a été annoncé sans surprise.

        Mais comment cette dynastie de cheikhs a-t-elle réussi à faire passer son pays d'un royaume tribal à l'une des nouvelles puissances du Moyen-Orient ?
        La formation




        À la fin des années 1960, le Royaume-Uni avait pratiquement renoncé à maintenir ses colonies dans la péninsule arabique.

        Ils y étaient arrivés presque un siècle plus tôt, pour prendre le contrôle de tribus militantes qui pillaient les navires marchands passant sur leurs côtes.
        Mais bien que le pétrole n'ait été découvert que récemment, les Britanniques voient plus de danger que de profit potentiel à rester sur place.

        C'est alors que les cheikhs des six émirats de la région (Abu Dhabi, Dubaï, Sharjah, Ajman, Umm Al Quwain et Fujairah) ont décidé de former un conseil pour coordonner les affaires entre eux.

        Et en décembre 1971, ils ont annoncé qu'ils s'uniraient pour former un nouveau pays : les Émirats arabes unis, une confédération de royaumes semi-autonomes.


        Il a rapidement été rejoint par un autre émirat, Ras al Khaimah, pour façonner la carte actuelle de la nation du Golfe.

        L'émir d'Abu Dhabi de l'époque, Zayed ben Sultan al-Nahyan (le père de Khalifa et de Mohammed), a été élu premier président et, grâce au pétrole découvert peu avant, a entamé un processus extravagant de croissance économique, démographique et de richesse interne.
        La croissance


        Il s'agissait d'un processus similaire à celui suivi par les autres monarchies musulmanes sunnites du golfe Persique (Arabie saoudite, Oman, Qatar, Bahreïn, Koweït et Oman).

        Dans son livre "From Desert Kingdoms to Global Powers. The Rise of the Gulf States", l'historien Rory Miller affirme que le succès économique inattendu de ces pays est principalement dû à un processus fondé sur leur capacité à redistribuer les revenus pétroliers entre divers groupes d'intérêt et à transformer les excédents restants en actifs de valeur, tels que des biens immobiliers, des œuvres d'art et des actions.
        Légende vidéo,

        Pour sortir de la crise diplomatique, le Qatar est soumis à certaines condition

        Parmi les autres nations du Golfe, les EAU sont rapidement devenus l'un des pays les plus riches et les plus développés par habitant.

        Tous les émirats ne disposaient pas des mêmes quantités de pétrole, ce qui a également influencé le développement de la nouvelle nation : Abu Dhabi et Dubaï sont rapidement devenus l'épine dorsale de la croissance économique nationale.

        Les émirats étant semi-autonomes, la possibilité de se réinventer sur le plan économique et du développement a également diversifié le paysage financier : certains émirats ont commencé à se concentrer sur le tourisme et d'autres ont créé des stratégies pour attirer les capitaux étrangers.


        C'est ainsi que la Jebel Ali Free Zone a été créée à Dubaï en 1985, et près de 40 ans plus tard, elle reste la plus grande zone franche du monde.

        Le nombre de zones franches s'est multiplié : on en compte aujourd'hui plus de 30. Les tactiques visant à attirer les investissements étrangers sont également devenues de plus en plus fréquentes, allant des allègements fiscaux et des avantages douaniers aux incitations et aux flexibilités étendues pour les propriétaires étrangers.

        Pour les Émiriens, c'est la vision du père fondateur de l'État, Zayed ben Sultan al-Nahyan, qui a placé leur pays sur la carte mondiale à la fin du XXe siècle, mais peu d'entre eux doutent que la vision du nouveau siècle ait été apportée par le cheikh Khalifa et son demi-frère.
        Le nouveau siècle


        L'un des premiers défis que le nouveau - et seulement deuxième - président des Émirats arabes unis a dû relever a été la crise économique qui a frappé le monde en 2008 et qui a profondément affecté Dubaï, l'un des centres financiers du monde.

        Le cheikh a décidé d'injecter des milliards de dollars de fonds de sauvetage d'urgence dans l'émirat, ce qui a conduit à ce que la plus haute tour du monde, qui devait initialement s'appeler Burj Dubai, soit rebaptisée Burj Khalifa lors de son inauguration officielle en janvier 2010.

        Le dirigeant a également utilisé la richesse pétrolière pour attirer des centres culturels et universitaires dans le pays arabe, ainsi que pour promouvoir l'image de sa nation à l'étranger.

        L'argent des Émiriens, tant privé que public, a été investi dans de grandes entreprises, des biens immobiliers de premier ordre, des institutions financières, des marques de luxe et même des clubs de football (comme Manchester City).

        Ils ont également financé la construction de certains des bâtiments les plus coûteux construits ces dernières années en Occident.
        Le cheikh Khalifa a cherché à réorienter la dépendance économique vis-à-vis du pétrole en encourageant les investissements dans la recherche sur les énergies renouvelables.

        Bien qu'ils aient accru leurs investissements dans le pétrole et le gaz naturel destinés à l'exportation, les Émirats arabes unis ont annoncé l'an dernier qu'ils visaient des émissions nettes nulles d'ici 2050, tout en poursuivant le développement de Masdar, une ville du désert futuriste à faible émission de carbone.

        Les critiques du gouvernement ont souligné que le développement apporté par le pétrole ne s'est pas traduit par une société ouverte et pluraliste où les droits de l'Homme sont respectés.

        Les Émirats arabes unis ont été désignés par de nombreuses organisations internationales comme ayant une société profondément restrictive, où la liberté de la presse ou d'association n'existe pas et où les critiques du système sont emprisonnées et parfois exécutées.

        Dans son rapport 2021, Amnesty a noté que le gouvernement des Émirats arabes unis "a continué à commettre de graves violations des droits humains, notamment des arrestations arbitraires, des traitements cruels et inhumains des détenus, la suppression de la liberté d'expression et des violations du droit à la vie privée".

        Bien qu'il s'agisse du pays dont le revenu par habitant est l'un des plus élevés du Moyen-Orient, on estime que 20 000 à 100 000 personnes nées sur place sont considérées comme apatrides, privées de l'accès aux droits couverts pour les citoyens émiratis, tels que les soins de santé complets, le logement, l'éducation ou les emplois du secteur public.
        Rôle mondial


        Les réactions à la mort du cheikh Khalifa, même dans des pays très éloignés sur l'échiquier politique, constituent peut-être l'un des signes les plus notables de l'influence que les Émirats arabes unis ont acquise dans le monde.

        Si les États-Unis ont envoyé la vice-présidente Kamala Harris aux funérailles, d'autres, comme Cuba, sont allés jusqu'à décréter un deuil officiel.

        Les trois dirigeants qui ont gouverné la nation arabe ont également fait tout leur possible pour donner à leur pays une voix dans le discours mondial, même si cela signifiait le faire par l'une des méthodes les plus anciennes : l'argent et la guerre.

        L'Abu Dhabi Investment Authority est désormais l'un des plus grands fonds souverains du monde, avec près de 700 milliards de dollars (438 billions 804 milliards 300 millions FCFA) d'actifs, selon les estimations du Sovereign Wealth Fund Institute.
        Depuis qu'il est resté dans l'ombre jusqu'à son arrivée au pouvoir après la mort de son frère, Mohammed ben Zayed ben Sultan Al Nahayan est considéré comme l'un des dirigeants arabes qui a le plus cherché à étendre l'influence de son pays aux quatre coins du monde.

        Il s'agit d'un processus croissant d'expansionnisme politique, économique et militaire.

        Les Émirats arabes unis ont été le premier État arabe moderne à envoyer ses troupes en Europe. Elle l'a fait en 1999 au Kosovo, à l'appui de l'OTAN.

        Ce n'était que le premier exercice d'un étalage croissant d'ambitions géopolitiques qui s'est étendu à d'autres régions.

        Puis vint l'Afghanistan : les forces émiraties ont recommencé à y opérer aux côtés de l'OTAN, puis elles ont soutenu les efforts visant à écraser les Frères musulmans en Égypte et, en 2011, elles ont envoyé leurs avions de chasse en mission contre Mouammar Kadhafi en Libye, un pays où elles sont restées militairement actives.


        Quelques années plus tard, il se joindra également aux frappes aériennes menées par les États-Unis contre l'État islamique en Syrie et s'engagera dans une lutte stratégique coûteuse avec la Turquie pour une influence qui a même atteint la Somalie, le Soudan, Djibouti et le Somaliland.

        Dans l'une des pages les plus controversées, Mohammed ben Zayed al-Nahyan a également décidé de participer à la guerre menée par l'Arabie saoudite au Yémen, d'envoyer des forces à Bahreïn ou de mener un embargo contre le Qatar, son autre voisin du golfe Persique.
        Mais c'est la guerre au Yémen, un pays poussé à l'effondrement humanitaire, qui a suscité le plus de critiques internationales à l'encontre des EAU.

        Ses troupes sur place ont non seulement été accusées de nombreuses violations des droits de l'homme, mais aussi d'association avec des milices locales liées à Al-Qaïda.

        Ils sont désormais aussi les alliés de la Grèce et de Chypre, et travaillent aux côtés d'Israël et de l'Égypte en Méditerranée orientale pour contrer les revendications maritimes et énergétiques de la Turquie.

        Un pouvoir immense pour un pays qui, il y a 50 ans, n'était qu'une poignée de royaumes tribaux.

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        • #5
          mistigri, essaye de donner ta propre explication , pas celle de google , c'est facile de copier/coller mais ça je sais le faire , mdr, pour ton info , je n'aime pas lire les longs textes , ça me fatigue les yeux, il faut abréger et dire l'essentiel
          Dernière modification par ACAPULCO, 26 juillet 2022, 20h00.
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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          • #6
            qui a construit les pays comme le Qatar et les Emirats Arabes Unis les pays qui on construit israel
            les pays du golfe sont des pays virtuelle suffirait la chute de occident que tout les pays virtuelle disparaisse

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            • #7
              Le pétrodollars
              وألعن من لم يماشي الزمان ،و يقنع بالعيش عيش الحجر

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              • #8
                En gros, il y a trois catégories d'intervenants.
                Ceux qui ont le savoir-faire refléchissent, conçoivent, planifient, gèrent, contrôlent et valident. Ceux sont les chefs d'orchestre.
                Les opprimés (esclaves modernes) qui sont les exécutants, souvent pour des clopinettes.
                Les pays comme le Qatar, les EAU, l'AS,...payent et consomment sans être en mesure de reproduire l'oeuvre des chefs d'orchestre.
                Et voilà la boucle est bouclée.

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                • #9
                  Le pétrodollars
                  oui mais par qui, exemple, c'est la france qui a construit l'Algérie au temps du colonialisme par des architectes français notamment , mais le qatar et les émirats qui sont ces architectes , ou du moins ils sont de quel pays , voilà ma question
                  Dernière modification par ACAPULCO, 27 juillet 2022, 00h11.
                  Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                  (Paul Eluard)

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