En visite officielle de trois jours en Algérie, le président français Emmanuel Macron s'est dit favorable à l'organisation d'un match amical entre les deux sélections. Voulu par les deux fédérations depuis quelques années, le projet se heure à des blocages au niveau politique des deux côtés de la Méditerranée.
Sujet récurent de discussion dans le débat public entre les deux pays, l'organisation d'un match amical entre l'Algérie et la France a été abordé par Emmanuel Macron lors d'une intervention devant la presse faite ce vendredi matin à Alger. Souhaité à plusieurs reprises par les deux fédérations, le match amical entre les Verts et les Bleus demeure un sujet complexe soumis à l'approbation des instances dirigeantes des deux pays comme l'a révélé à plusieurs reprises le président de la FFF, Noël Le Graët, lors de ses prises des parole à ce sujet. La volonté d'un match amical entre les deux équipes en Algérie était initialement au programme de l'accord décidé entre les deux gouvernements décidé à la fin des années 1990, du temps où Marie-Georges Buffet et Abdelmalek Sellal étaient Ministre des Sports des deux pays.
Voulu comme le «match de la réconciliation», la rencontre disputée le 6 octobre 2001 au Stade de France avait été interrompue suite à un envahissement de terrain à un quart d'heure du coup de sifflet final. Marquant le contexte politique et social français de l'époque, l'organisation d'une nouvelle rencontre amicale entre les deux pays demeure toujours un sujet épineux plus de vingt ans après la rencontre disputée par les champions du monde 1998.
Macron veut. « conjurer le passé »
Interrogé en marge de sa visite au cimetière Saint-Eugène d'Alger, Emmanuel Macron s'est dit favorable à l'organisation de cette nouvelle joute amicale.«Ce serait une bonne chose pour conjurer le passé», a t-il ainsi indiqué aux journalistes présents sur place. Prêt à évoquer le sujet avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, Emmanuel Macron indique que le sport reste l'un des moyens les plus appropriés pour réconcilier les deux nations. «La culture et le sport sont des terrains où nous devons être ensemble. Parfois, on peut s'affronter mais amicalement», a t-il ajouté laissant ainsi ouverte la possibilité de discussions entre les deux chefs d'État.
Ouverte, l'éventualité d'un match amical entre l'Algérie et la France reste soumise à plusieurs paramètres politiques mais aussi organisationnels quant au calendrier des deux équipes mais aussi du lieu de la rencontre. Lors de ses interventions médiatiques, Noël Le Graët a évoqué sa volonté commune avec la FAF d'organiser ce match en Algérie. Interrogé à plusieurs reprises depuis sa prise de fonction, En octobre 2019, les contours due l'organisation d'un match amical entre fin 2019 et début 2021 avaient été discuté par les présidents des deux fédérations. Djamel Belmadi (seul buteur algérien en octobre 2001) s'est dit de son côté favorable au déroulement d'un match dont l'aspect sportif l'importait beaucoup.
DZfoot
Sujet récurent de discussion dans le débat public entre les deux pays, l'organisation d'un match amical entre l'Algérie et la France a été abordé par Emmanuel Macron lors d'une intervention devant la presse faite ce vendredi matin à Alger. Souhaité à plusieurs reprises par les deux fédérations, le match amical entre les Verts et les Bleus demeure un sujet complexe soumis à l'approbation des instances dirigeantes des deux pays comme l'a révélé à plusieurs reprises le président de la FFF, Noël Le Graët, lors de ses prises des parole à ce sujet. La volonté d'un match amical entre les deux équipes en Algérie était initialement au programme de l'accord décidé entre les deux gouvernements décidé à la fin des années 1990, du temps où Marie-Georges Buffet et Abdelmalek Sellal étaient Ministre des Sports des deux pays.
Voulu comme le «match de la réconciliation», la rencontre disputée le 6 octobre 2001 au Stade de France avait été interrompue suite à un envahissement de terrain à un quart d'heure du coup de sifflet final. Marquant le contexte politique et social français de l'époque, l'organisation d'une nouvelle rencontre amicale entre les deux pays demeure toujours un sujet épineux plus de vingt ans après la rencontre disputée par les champions du monde 1998.
Macron veut. « conjurer le passé »
Interrogé en marge de sa visite au cimetière Saint-Eugène d'Alger, Emmanuel Macron s'est dit favorable à l'organisation de cette nouvelle joute amicale.«Ce serait une bonne chose pour conjurer le passé», a t-il ainsi indiqué aux journalistes présents sur place. Prêt à évoquer le sujet avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, Emmanuel Macron indique que le sport reste l'un des moyens les plus appropriés pour réconcilier les deux nations. «La culture et le sport sont des terrains où nous devons être ensemble. Parfois, on peut s'affronter mais amicalement», a t-il ajouté laissant ainsi ouverte la possibilité de discussions entre les deux chefs d'État.
Ouverte, l'éventualité d'un match amical entre l'Algérie et la France reste soumise à plusieurs paramètres politiques mais aussi organisationnels quant au calendrier des deux équipes mais aussi du lieu de la rencontre. Lors de ses interventions médiatiques, Noël Le Graët a évoqué sa volonté commune avec la FAF d'organiser ce match en Algérie. Interrogé à plusieurs reprises depuis sa prise de fonction, En octobre 2019, les contours due l'organisation d'un match amical entre fin 2019 et début 2021 avaient été discuté par les présidents des deux fédérations. Djamel Belmadi (seul buteur algérien en octobre 2001) s'est dit de son côté favorable au déroulement d'un match dont l'aspect sportif l'importait beaucoup.
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