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Controverse au Canada autour d'un enseignant transgenre arborant une poitrine extravagante
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je me demande c est quoi comme bonnet qu elle arbore avec cette poitrine, un bonnet Z peut etre, je connaissais jusqu au bonnet H,. ça fait pas homogéne tout ça, et le chirurgien qui l a opéré au vu des risques de telles prothèses ne peut etre qu un charlatan...
Mais bon apparemment c est un bon prof.....n est ce pas là l essentiel? et puis si il/elle se sent bien ainsi...why not
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Farashatun coucou
il est sévèrement atteint
il a réduit la femme à une paire de gros cor-nichons ce naz
Perché
grave
"N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo
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Le Canada est LE pays par excellence pour had la3djeb, bientot, ils deviendront la norme, ils les aiment imoutou 3lihom, pour ce transvache, tant qu'il n'est pas voilé, il n'a rien à craindre, rien de traumatisant pour les enfants, il pourra continuer à enseigner noooooormal
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C'est la structure familiale et la société toute entière et qui part en vrille à cause de ces lois liberticides imposées par des lobbies LGBT +.... $ & § # machin truc..
Faire subir à une fille de 13 ans, en pleine croissance, un traitement hormonale ( bloqueurs de puberté et testostérone ) est un acte criminel.
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Canada : un père mis en prison car il continue à dire “elle” à propos de sa fille de 14 ans qui reçoit bloqueurs de puberté et testostérone sans son accord (MàJ : Le Figaro évoque l’affaire)
30/10/2021
[…] En classe, «influencée par des militants LGBT», selon CD, elle avait décidé de devenir un garçon.
Malgré les objections du père, qui soutient qu’AB est instable et souffre de dépression depuis la séparation de ses parents, la justice estime qu’à 13 ans, avec l’accord de sa mère, l’ado peut débuter un traitement hormonal.
En 2019, CD, qui persiste à utiliser son prénom féminin quand il parle à son enfant, est condamné pour « violence familiale ». La cour d’appel de la Colombie Britannique interdit au père de « tenter de persuader AB d’abandonner son traitement médical », et lui impose d’utiliser des pronoms masculins et de l’appeler par son nouveau prénom. « Je ne peux pas regarder un enfant en parfaite santé être détruit ! », s’est insurgé le père, qui finira par briser la confidentialité en livrant son histoire à la presse.
Au Canada il existe un homme que l’on ne peut que surnommer “Celui qui ne doit pas être nommé” : Robert Hoogland. Dans l’intérêt de la justice naturelle, il est important de dire le nom de cet homme. Il est aujourd’hui le “prisonnier de conscience” de l’État canadien.
Un mandat a été émis par un juge pour l’arrestation de ce père après avoir appelé son enfant biologique femelle sa “fille”, et s’être référé à elle avec les pronoms “elle” et “elle”. Hoogland a été reconnu coupable d’outrage à la cour.
Hoogland est le père d’une fille biologique de 14 ans qui s’identifie comme transgenre et préfère utiliser des pronoms masculins. Hoogland a appelé cette personne sa fille à plusieurs reprises, bien que le tribunal l’ait interdit.
Mardi à 10 heures, heure de Vancouver, Hoogland s’est rendu à la cour en réponse au mandat d’arrêt du procureur général de la Colombie-Britannique pour outrage. Il a été arrêté et emprisonné. Le mandat a été émis par le juge Tammen le 4 mars 2021.
Hoogland s’oppose à ce que son enfant subisse des procédures médicales “d’affirmation du genre”, et a réitéré cette opposition à maintes reprises, dans l’espoir de sauver son enfant d’un préjudice irréversible. Le système médical canadien, le système juridique et la mère de l’enfant poursuivent la transition sociale et médicale de l’enfant.
Le Figaro.
Un résumé de l’ordonnance :
“[1] AB, un garçon transgenre de 14 ans, demande une ordonnance de protection pour empêcher son père, CD, de publier, parler ou donner des interviews sur cette affaire ou sur les informations personnelles et médicales d’AB.
“a) CD est tenu de ne pas : i. tenter de persuader AB d’abandonner le traitement de la dysphorie de genre ; ii. s’adresser à AB par son nom de naissance ; et iii. se référer à AB en tant que fille ou avec des pronoms féminins que ce soit à AB directement ou à des tiers ;
“b) CD ne doit pas directement, ou indirectement par l’intermédiaire d’un agent ou d’un tiers, publier ou partager des informations ou de la documentation relatives au sexe, à l’identité de genre, à l’orientation sexuelle, à la santé mentale ou physique, au statut médical ou aux thérapies d’AB.”
Le 14 décembre 2020, Hoogland a été contraint par le tribunal de la juge Mazari de collaborer à la “transition” de genre de sa fille de quatorze ans et s’est vu dire de ne pas appeler son enfant biologique féminin sa fille. En réponse, Hoogland a fait une contestation de la Charte afin d’user de son droit à la liberté d’expression.
Lorsqu’il a comparu devant le tribunal de la famille, le juge l’a obligé à s’asseoir dans le box des prisonniers, a déclaré l’avocat de Hoogland, Carey Lind, alors qu’il n’était coupable d’aucun crime. Le juge l’a appelé “l’accusé”. Lind a fait une demande pour que le juge se récuse sur la base que tout cela était préjudiciable.
Hoogland a raconté son histoire. L’enfant avait des problèmes complexes, mais le tribunal les a tous mis sur le compte de la dysphorie de genre. Son mariage avec la mère de l’enfant a été rompu. Il a déclaré qu’en cinquième et sixième année, sa fille “s’attirait des ennuis et traînait avec des garçons”, et qu’ils se sont arrangés pour qu’elle consulte le conseiller scolaire. En 7e année, il a remarqué qu’elle avait coupé ses cheveux longs et commencé à porter une toupie. Il a dit qu’elle avait développé un béguin intense pour deux enseignants masculins et qu’elle avait fait une tentative de suicide.
Hoogland a découvert que l’école avait montré à sa fille le document SOGI 123, le matériel d’éducation sur l’identité sexuelle et de genre en vigueur en Colombie-Britannique, qui équivaut à des “vidéos de propagande” sur l’idéologie transgenre. Dans l’annuaire de la 7e année, l’enfant était désignée par un autre nom. Le conseiller scolaire a changé le nom de l’enfant sans en informer ses parents. L’école a procédé à la “transition sociale” de l’enfant biologiquement féminine de sa propre initiative, avec l’aide d’un psychologue idéologue du genre, le Dr Wallace Wong.
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Il y aurait une utilité ici ?
https://www.algerie-dz.com/forums/ec...ie#post8522855
---> ok je sors.J'aime surfer sur la vague du chaos.
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