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L'assaillant, qui s'est exprimé en arabe lors des faits, a tenté de poignarder un homme puis une mère de famille accompagnée de ses deux enfants.
Un homme armé d'un couteau frappant au hasard… Quatre jours après l'attaque de la Gare du Nord, la scène s'est répétée, cette fois dans une capitale alsacienne toujours traumatisée par l'attentat islamiste du 11 décembre 2018. Il est aux alentours de 17 heures samedi lorsqu'un homme armé d'un couteau tente de poignarder un passant, avenue de Colmar dans le quartier strasbourgeois de la Meinau. Ce dernier, effrayé, se précipite dans sa voiture et parvient à s'échapper. L'agresseur se dirige alors vers une femme à vélo, accompagnée de ses deux enfants en bas âge. Face à l'arme blanche pointée vers elle, la mère de famille tente de se débattre et tombe à terre.
Un policier hors-service, témoin des faits, accourt alors. L'homme « qui passait par là par hasard », selon les informations du syndicat SGP Police, tente de maîtriser l'assaillant sans son arme de service, laissée au commissariat. Le suspect cherche à lui donner un coup de couteau au niveau de la tête, sans succès. Seule la capuche de son manteau est percée. « Ils se sont battus et le policier a réussi, avec l'aide d'un livreur à vélo, à l'immobiliser », précise la source policière au Figaro. Une fois la brigade spécialisée de terrain (BST) sur place, l'homme est arrêté puis mis en garde à vue.
D'origine kosovare, l'homme âgé de 31 ans était inconnu des services de renseignement pour radicalisation mais inscrit au fichier de Traitement d'antécédents judiciaires notamment pour deux affaires d'usage illicite de stupéfiants en Seine-Saint-Denis les 16 février et 25 novembre 2021. En situation régulière, il possède une carte de résident valide jusqu'au 10 mars 2030 avec un statut de réfugié. Dans la voiture de police, il aurait prié en chantant « Allah Akbar ». Toujours selon une source policière, l'assaillant aurait réitéré ses propos au commissariat en ajoutant : « Vous irez tous en enfer, à cause de ce que vous faites en Palestine. » Son état psychologique est décrit comme « instable » par une source proche du dossier. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire.
La piste de la tentative d'homicide est privilégiée, sans que l'acte terroriste soit écarté. Les motivations de l'assaillant restent encore floues. Il aurait regretté l'agression envers la mère de famille mais pas envers le policier, à qui les médecins ont prescrit 45 jours d'ITT.
En état de choc, la mère de famille a été conduite à l'hôpital. Tout comme le policier qui a été blessé à la main et à l'épaule lors de la mise à terre du suspect. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a salué un « policier courageux qui, en dehors de son service, a interpellé un individu très menaçant. Grâce à son intervention, aucune victime n'est à déplorer .
Le Figaro
Un homme armé d'un couteau frappant au hasard… Quatre jours après l'attaque de la Gare du Nord, la scène s'est répétée, cette fois dans une capitale alsacienne toujours traumatisée par l'attentat islamiste du 11 décembre 2018. Il est aux alentours de 17 heures samedi lorsqu'un homme armé d'un couteau tente de poignarder un passant, avenue de Colmar dans le quartier strasbourgeois de la Meinau. Ce dernier, effrayé, se précipite dans sa voiture et parvient à s'échapper. L'agresseur se dirige alors vers une femme à vélo, accompagnée de ses deux enfants en bas âge. Face à l'arme blanche pointée vers elle, la mère de famille tente de se débattre et tombe à terre.
Un policier hors-service, témoin des faits, accourt alors. L'homme « qui passait par là par hasard », selon les informations du syndicat SGP Police, tente de maîtriser l'assaillant sans son arme de service, laissée au commissariat. Le suspect cherche à lui donner un coup de couteau au niveau de la tête, sans succès. Seule la capuche de son manteau est percée. « Ils se sont battus et le policier a réussi, avec l'aide d'un livreur à vélo, à l'immobiliser », précise la source policière au Figaro. Une fois la brigade spécialisée de terrain (BST) sur place, l'homme est arrêté puis mis en garde à vue.
D'origine kosovare, l'homme âgé de 31 ans était inconnu des services de renseignement pour radicalisation mais inscrit au fichier de Traitement d'antécédents judiciaires notamment pour deux affaires d'usage illicite de stupéfiants en Seine-Saint-Denis les 16 février et 25 novembre 2021. En situation régulière, il possède une carte de résident valide jusqu'au 10 mars 2030 avec un statut de réfugié. Dans la voiture de police, il aurait prié en chantant « Allah Akbar ». Toujours selon une source policière, l'assaillant aurait réitéré ses propos au commissariat en ajoutant : « Vous irez tous en enfer, à cause de ce que vous faites en Palestine. » Son état psychologique est décrit comme « instable » par une source proche du dossier. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire.
La piste de la tentative d'homicide est privilégiée, sans que l'acte terroriste soit écarté. Les motivations de l'assaillant restent encore floues. Il aurait regretté l'agression envers la mère de famille mais pas envers le policier, à qui les médecins ont prescrit 45 jours d'ITT.
En état de choc, la mère de famille a été conduite à l'hôpital. Tout comme le policier qui a été blessé à la main et à l'épaule lors de la mise à terre du suspect. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a salué un « policier courageux qui, en dehors de son service, a interpellé un individu très menaçant. Grâce à son intervention, aucune victime n'est à déplorer .
Le Figaro
Pour la haine masquée, ce sont les noirs et latinos qui sont montrés du doigt là-bas. Les jeunes français délinquants montrés du doigt surnommés "maghrébins" ont toujours suivi la mode étasunienne. Les français sont passés de 6-8 enfants à peine 2, et à l'époque du baby boom, la délinquance était forte. Il y a un décalage de 30 ans au moins entre les E-U et la France qui n'a plus les moyens de gérer ses services publics comme autrefois. Le baby boom part à la retraite, la France vieillit. Qui va financer les retraites?
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