Le 17 mars 2020, la France connaissait un premier confinement face à l’évolution de la pandémie de Covid-19. Trois ans plus tard et alors que nous avons appris à vivre avec ce virus, nombreuses sont les personnes qui ne diraient pas non à la possibilité d’être à nouveau confinées.
Pour beaucoup, cette période a été synonyme de privation de libertés, de peur face à un virus meurtrier et alors mystérieux, contre lequel le personnel médical se battait sans moyens ou presque, ou d’isolement loin de leurs proches. Mais pour d’autres, ces semaines bercées par les “apéro-visios”, le télétravailet cette rupture impromptue avec la routine “métro-boulot-dodo” a été une bénédiction : revivre un confinement ne serait ainsi pas pour leur déplaire.
Pour beaucoup, cette période a été synonyme de privation de libertés, de peur face à un virus meurtrier et alors mystérieux, contre lequel le personnel médical se battait sans moyens ou presque, ou d’isolement loin de leurs proches. Mais pour d’autres, ces semaines bercées par les “apéro-visios”, le télétravailet cette rupture impromptue avec la routine “métro-boulot-dodo” a été une bénédiction : revivre un confinement ne serait ainsi pas pour leur déplaire.
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