Et malgré ça il est trop apprécié dans nos foyers, le criminel
Les chats représenteraient une menace pour la diversité de la faune, alors que 14 millions de félins seraient responsables chaque année de la mort d’environ 75 millions d’oiseaux, a estimé une étude.
Selon l’étude du Musée français d’histoire naturelle, 22 % des proies de ces prédateurs domestiques sont des oiseaux, ce qui a poussé la Ligue pour la protection des oiseaux à tirer la sonnette d’alarme, a rapporté dimanche France 3
Outre les oiseaux, les petits mammifères représentent quelque 68 % des proies capturées par les chats domestiques, lesquels mettraient 13 espèces en péril, comme les lézards de murailles qui sont importants pour la biodiversité.
«Ils mangent des limaces et, en tant que marqueurs écologiques, sa disparition est le signe d’un déséquilibre écologique», a expliqué Vincent Noël, président de l’association Bufo, qui s’occupe de l’étude et de la protection des amphibiens et reptiles d’Alsace.
Mais cette étude a soulevé le courroux des défenseurs des félins domestiques, qui recommandent plutôt de ne pas laisser sortir son chat tôt le matin et en début de soirée, moments où les oiseaux sont les plus actifs, selon le média français.
«Si les oiseaux disparaissent aujourd’hui ce n’est pas à cause des chats», a dénoncé une responsable de l'association mulhousienne Patte de velours, pointant «la main de l’homme qui a tout déséquilibré».
TVA.ca
Les chats représenteraient une menace pour la diversité de la faune, alors que 14 millions de félins seraient responsables chaque année de la mort d’environ 75 millions d’oiseaux, a estimé une étude.
Selon l’étude du Musée français d’histoire naturelle, 22 % des proies de ces prédateurs domestiques sont des oiseaux, ce qui a poussé la Ligue pour la protection des oiseaux à tirer la sonnette d’alarme, a rapporté dimanche France 3
Outre les oiseaux, les petits mammifères représentent quelque 68 % des proies capturées par les chats domestiques, lesquels mettraient 13 espèces en péril, comme les lézards de murailles qui sont importants pour la biodiversité.
«Ils mangent des limaces et, en tant que marqueurs écologiques, sa disparition est le signe d’un déséquilibre écologique», a expliqué Vincent Noël, président de l’association Bufo, qui s’occupe de l’étude et de la protection des amphibiens et reptiles d’Alsace.
Mais cette étude a soulevé le courroux des défenseurs des félins domestiques, qui recommandent plutôt de ne pas laisser sortir son chat tôt le matin et en début de soirée, moments où les oiseaux sont les plus actifs, selon le média français.
«Si les oiseaux disparaissent aujourd’hui ce n’est pas à cause des chats», a dénoncé une responsable de l'association mulhousienne Patte de velours, pointant «la main de l’homme qui a tout déséquilibré».
TVA.ca
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