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Un arrêté préfectoral réglemente le transport de ruminants et l’abattage rituel des animaux pour l’Aïd-el-Kébir

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  • Un arrêté préfectoral réglemente le transport de ruminants et l’abattage rituel des animaux pour l’Aïd-el-Kébir

    La fête religieuse musulmane de l’Aïd-el-kébir devrait se dérouler entre le 28 juin et le 1er juillet 2023. La préfecture de l’Hérault a par arrêté, décidé d’interdire le transport d’ovins et de caprins et de réglementer l’abattage rituel d'animaux.

    L’Aïd el Kebir («la grande fête»), est la fête la plus importante de l'islam. Cette fête religieuse qui donne lieu à des abatages rituels d’animaux devrait se dérouler entre le 28 juin et le 1er juillet 2003. Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh a décidé de prendre plusieurs mesures.

    Interdiction des mouvements de ruminants dans l’Hérault du 1er juin au 1er juillet 2023

    les contrevenants s'exposent à une amende de 750 euros (article R215-6 du code rural et de la pêche maritime). Cette règle ne s’applique pas aux transports de ruminants vers des abattoirs autorisés, à destination des cabinets et cliniques vétérinaires ainsi qu’entre élevages déclarés.

    Interdiction de l'abattage rituel des animaux en dehors des abattoirs autorisés

    Il est donc interdit aux particuliers de pratiquer eux-mêmes l’abattage de leur animal. Les abattages clandestins sont passibles de peines allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 15000 euros d’amende (article L.237-2 du code rural et de la pêche maritime).

    Les services de l’État rappellent que les abattages des animaux pratiqués à cette occasion ne peuvent avoir lieu qu’au sein d’abattoirs agréés et autorisés. Les deux autorisés dans l’Hérault sont :
    • l’abattoir de Pézenas 04 67 98 12 32
    • l'abattoir temporaire Montpellier (site de Grammont) 06 45 78 79 33.

    Des contrôles seront réalisés par la direction départementale de la protection des populations (DDPP) pour vérifier le respect par le professionnel des règles d’hygiène, de la protection animale et de celle de l’environnement. Ces contrôles permettent en particulier d’écarter les animaux malades et les viandes impropres à la consommation ainsi que de vérifier la bonne gestion des déchets.
    FR3
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

  • #2
    Seulement dans l'Hérault???? Et le reste de la France???
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

    Commentaire


    • #3
      L’Aïd el Kebir («la grande fête»), est la fête la plus importante de l'islam. Cette fête religieuse qui donne lieu à des abatages rituels d’animaux devrait se dérouler entre le 28 juin et le 1er juillet 2003. Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh a décidé de prendre plusieurs mesures.
      Entre autres, pour gagner en légitimité, changer son nom en Hugues Mouton.

      C'est une guerre pure et simple contre tout ce qui touche à l'Islam et aux musulmans.

      Commentaire


      • #4
        C'est une guerre contre les individus qui ne respectent pas les lois de la République, peu importe leurs religions!
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

        Commentaire


        • #5
          Bla bla bla......abattage fait soi même c'est interdit partout en France depuis bien bien longtemps. S'il en a le courage ce préfet doit s'occuper de sa corrida dans le 34 et non faire l'hypocrite, les lois existent déjà.

          Il faut toujours attendre un prétexte pour exprimer de la haine masquée, comme par exemple chaque année pour l'aïd, mais jamais pour les fêtes de noël tous le mois de décembre, énormes sacrifices.


          "Hérault. Le tribunal suspend l’organisation de la corrida prévue cet été à Pérols

          Les arènes de Pérols (Hérault) n’accueilleront pas de corrida en juillet 2023. Mercredi 17 mai, le tribunal administratif de Montpellier a décidé de suspendre l’organisation de cet événement. Le maire de la ville, Jean-Pierre Rico, déplore cette décision.

          Il n’y aura pas de corrida dans les arènes de Pérols (Hérault) en juillet 2023. Mercredi 17 mai, le tribunal administratif de Montpellier a décidé de suspendre l’organisation de cet événement controversé qui sera également débattu le 1er juin devant le tribunal judiciaire à l’initiative de l’Alliance anticorrida.

          Une décision qui ne satisfait pas le maire de la commune, Jean-Pierre Rico. La ville de Pérols « prend acte » de cette décision, prise mardi 16 mai en procédure d’urgence, et « déplore l’impossibilité matérielle d’obtenir une décision favorable en appel dans les délais permettant » la tenue de cette corrida, a déclaré l’édile dans un communiqué relayé par l’AFP.

          Une « tradition locale ininterrompue »

          Jean-Pierre Rico, qui avait annoncé en février l’organisation le 15 juillet dans ses arènes d’une « novillada » – une corrida qui oppose de jeunes taureaux à de jeunes toreros, avec mise à mort des taureaux – assure à nouveau qu’il existe bien une « tradition locale ininterrompue » à Pérols, au sens où la ville est située au cœur d’une vaste aire, entre Pays Basque et Camargue, où la tauromachie fait partie des traditions.

          La corrida est légalement autorisée depuis 1951 dans une dizaine de départements du Sud de la France où elle représente une « tradition locale ininterrompue ». Le tribunal administratif de Montpellier avait au contraire relevé mardi que Pérols n’avait plus organisé de spectacle taurin depuis 20 ans. Elle ne faisait dès lors pas partie des localités faisant exception à l’interdiction d’exercer des sévices et actes de cruauté envers les animaux, selon le tribunal.

          Il n’y aura pas de corrida dans les arènes de Pérols (Hérault) en juillet 2023. Mercredi 17 mai, le tribunal administratif de Montpellier a décidé de suspendre l’organisation de cet événement controversé qui sera également débattu le 1er juin devant le tribunal judiciaire à l’initiative de l’Alliance anticorrida.

          Une décision qui ne satisfait pas le maire de la commune, Jean-Pierre Rico. La ville de Pérols « prend acte » de cette décision, prise mardi 16 mai en procédure d’urgence, et « déplore l’impossibilité matérielle d’obtenir une décision favorable en appel dans les délais permettant » la tenue de cette corrida, a déclaré l’édile dans un communiqué relayé par l’AFP.

          La ville pourrait faire appel

          Le juge administratif avait en conséquence « suspendu » des délibérations du conseil municipal ouvrant la voie à l’organisation d’une corrida. La ville « se réserve une semaine de réflexion pour décider de faire appel ou pas », a précisé à l’AFP le directeur de cabinet du maire de Pérols, Malik Hamel. En tout état de cause, une décision sur le fond ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois, soit trop tard pour que la corrida puisse se tenir.

          L’affaire avait été portée devant le tribunal administratif par deux associations de défense des animaux, dont l’Alliance anticorrida. Cette dernière a par ailleurs assigné devant la justice civile les deux organisateurs de la corrida, le club taurin Lou Razet et la société Peliz Organisation, afin qu’elle soit interdite, a indiqué à l’AFP la présidente de l’Alliance anticorrida, Claire Starozinski. Cette audience devant le tribunal judiciaire de Montpellier est fixée au 1er juin."

          ouestfrance.fr 19 05 23

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