L'histoire fait frémir. Un Japonais quadragénaire a été pendu, mardi, pour avoir assassiné quatre fillettes et bu le sang de deux d'entre elles à la fin des années 1980. Ses crimes avaient horrifié le pays du soleil levant. Âgé de 25 ans au moment des faits, Tsutomu Miyazaki mutilait le corps de ses petites victimes, faisait cuire dans un four leurs mains et leurs pieds, buvait leur sang et dormait à côté des cadavres pour satisfaire ses fantasmes sexuels.
Miyazaki était surnommé par les médias "le meurtrier otaku", le terme "otaku" désignant au Japon les garçons asociaux, fans d'électronique et de mangas, qui passent le plus clair de leur temps enfermés dans leur chambre. Sa cavale meurtrière avait pris fin en juillet 1989, avec son arrestation en flagrant délit d'attentat à la pudeur sur une fillette dans un parc.
"Je sentais que c'était un rêve, j'ai fait tout cela en rêve"
Quelque 5.700 cassettes vidéos de films d'horreur ou ultra violents, parmi lesquelles certaines scènes tournées par Miyazaki lui-même sur les lieux de ses crimes, ont été découvertes dans la chambre du tueur, qui vivait avec ses parents dans la lointaine banlieue nord de Tokyo. Au cours de son procès, il a clamé son désir de devenir célèbre et a comparé le tribunal à "un gala de théâtre". "Je sentais que c'était un rêve, j'ai fait tout cela en rêve", a-t-il déclaré. Condamné au gibet, malgré les appels à la clémence de ses avocats qui plaidaient l'aliénation mentale, il a été exécuté mardi matin, à l'aube.
Son exécution intervient quelques jours après un autre fait divers sanglant qui a plongé le Japon en état de choc : le meurtre de sept passants choisis au hasard le 8 juin par un jeune déséquilibré dans les rues d'Akihabara, célèbre "quartier électronique" de Tokyo.
Par le Point
Miyazaki était surnommé par les médias "le meurtrier otaku", le terme "otaku" désignant au Japon les garçons asociaux, fans d'électronique et de mangas, qui passent le plus clair de leur temps enfermés dans leur chambre. Sa cavale meurtrière avait pris fin en juillet 1989, avec son arrestation en flagrant délit d'attentat à la pudeur sur une fillette dans un parc.
"Je sentais que c'était un rêve, j'ai fait tout cela en rêve"
Quelque 5.700 cassettes vidéos de films d'horreur ou ultra violents, parmi lesquelles certaines scènes tournées par Miyazaki lui-même sur les lieux de ses crimes, ont été découvertes dans la chambre du tueur, qui vivait avec ses parents dans la lointaine banlieue nord de Tokyo. Au cours de son procès, il a clamé son désir de devenir célèbre et a comparé le tribunal à "un gala de théâtre". "Je sentais que c'était un rêve, j'ai fait tout cela en rêve", a-t-il déclaré. Condamné au gibet, malgré les appels à la clémence de ses avocats qui plaidaient l'aliénation mentale, il a été exécuté mardi matin, à l'aube.
Son exécution intervient quelques jours après un autre fait divers sanglant qui a plongé le Japon en état de choc : le meurtre de sept passants choisis au hasard le 8 juin par un jeune déséquilibré dans les rues d'Akihabara, célèbre "quartier électronique" de Tokyo.
Par le Point

dans ton Arabie saudite on décapite encore en public ... et au sabre ... pour perpétuer la tradition du prophète et faire dans le folklore
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