panshir
Contrairement à ce que tu veux nous faire croire, les Français ne sont pas tous des beaufs gilets-jaunes qui ne s'intéressent qu'au prix de l'essence ou à la date de leur future retraite.
La France a une longue histoire, elle a traversé d'innombrables guerres, révolutions et crises économiques. Elle s'est toujours redressée.
A part la guerre atomique, la menace la plus grave qui pèse sur elle est l'immigration massive de non-européens qui ont une culture trop différente de la nôtre et qui pour beaucoup d'entre eux nous détestent.
Je l'ai déjà exprimé ici, je le redis : nos dirigeants politiques en sont parfaitement conscients mais n'ont pas le courage de prendre les mesures qui s'imposent. Ils ne l'avouent que lorsqu'ils ont quitté le pouvoir.
- Valéry Giscard d'Estaing : à la fin de sa vie, il a écrit que son plus grand regret était d'avoir mis en place le regroupement familial
- Gérard Collomb, ministre de l'intérieur socialiste, dans son discours d'adieu en quittant la place Beauvau : "Aujourd'hui, on vit côte à côte, je crains que demain on puisse vivre face-à-face"
- Edouard Philippe : il estime maintenant qu'il faut remettre en cause les accords de 1968 avec l'Algérie. Que ne l'a-t-il fait quand il était 1er ministre ?
Et une voix passée inaperçue, celle de Pierre Brochand, directeur de la DGSE de 2002 à 2008 :
«J’estime que, de tous les défis qu’affronte notre pays, l’immigration est le seul qui menace la paix civile»,
Contrairement à ce que tu veux nous faire croire, les Français ne sont pas tous des beaufs gilets-jaunes qui ne s'intéressent qu'au prix de l'essence ou à la date de leur future retraite.
La France a une longue histoire, elle a traversé d'innombrables guerres, révolutions et crises économiques. Elle s'est toujours redressée.
A part la guerre atomique, la menace la plus grave qui pèse sur elle est l'immigration massive de non-européens qui ont une culture trop différente de la nôtre et qui pour beaucoup d'entre eux nous détestent.
Je l'ai déjà exprimé ici, je le redis : nos dirigeants politiques en sont parfaitement conscients mais n'ont pas le courage de prendre les mesures qui s'imposent. Ils ne l'avouent que lorsqu'ils ont quitté le pouvoir.
- Valéry Giscard d'Estaing : à la fin de sa vie, il a écrit que son plus grand regret était d'avoir mis en place le regroupement familial
- Gérard Collomb, ministre de l'intérieur socialiste, dans son discours d'adieu en quittant la place Beauvau : "Aujourd'hui, on vit côte à côte, je crains que demain on puisse vivre face-à-face"
- Edouard Philippe : il estime maintenant qu'il faut remettre en cause les accords de 1968 avec l'Algérie. Que ne l'a-t-il fait quand il était 1er ministre ?
Et une voix passée inaperçue, celle de Pierre Brochand, directeur de la DGSE de 2002 à 2008 :
«J’estime que, de tous les défis qu’affronte notre pays, l’immigration est le seul qui menace la paix civile»,
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