Je ne crois pas que la Chine va sacrifié ses intérêts en Occident et aux USA à s’aligner avec l'Iran, après tout qu'es ce que peut apporter l'Iran à la Chine que celle ci ne possède pas?
Tu me dirais le pétrole, la chine a le pétrole russe à bas pris à ne pas savoir quoi en faire.
Un transfert de technologie, la Chine est en suprématie.
A moins d'un conflit mondial (alliance entre bloc), la Chine ne s'engagerait jamais ni avec l'Iran, ni avec la Russie, encore oins avec la Corée du Nord.
Par contre dans ce conflit Israélo-palestinien, contrairement aux agitations de populistes sans effet, le poids de la Chine pourrait être déterminant.
D'ailleurs personnellement je souhaiterais que Xi Jinping hausse le ton...
Tu me dirais le pétrole, la chine a le pétrole russe à bas pris à ne pas savoir quoi en faire.
Un transfert de technologie, la Chine est en suprématie.
A moins d'un conflit mondial (alliance entre bloc), la Chine ne s'engagerait jamais ni avec l'Iran, ni avec la Russie, encore oins avec la Corée du Nord.
Par contre dans ce conflit Israélo-palestinien, contrairement aux agitations de populistes sans effet, le poids de la Chine pourrait être déterminant.
D'ailleurs personnellement je souhaiterais que Xi Jinping hausse le ton...
Selon mes recherches, la Chine et l’Iran ont signé en 2021 un accord de coopération stratégique de 25 ans, qui prévoit des investissements réciproques dans les domaines de l’énergie, de la sécurité, des infrastructures et des télécommunications. Cet accord vise à renforcer les liens économiques et politiques entre les deux pays, qui se soutiennent mutuellement face aux pressions occidentales. La Chine est le premier partenaire commercial de l’Iran et l’un des principaux acheteurs de son pétrole. L’Iran, quant à lui, fait partie de l’initiative chinoise des Nouvelles routes de la soie, qui vise à développer les échanges et la connectivité entre l’Asie, l’Europe et l’Afrique.
Toutefois, il ne faut pas surestimer la profondeur de cette alliance, qui reste pragmatique et opportuniste. La Chine n’a pas l’intention de s’aligner sur la position de l’Iran sur les questions régionales, ni de s’opposer frontalement aux États-Unis ou à ses autres partenaires au Moyen-Orient, comme l’Arabie saoudite ou Israël. La mise en œuvre de l’accord de 2021 a pris du retard, car Pékin ne veut pas prendre le risque d’investir dans des secteurs sensibles qui pourraient lui fermer le marché américain. La Chine se trouve donc en position de force et profite d’une situation de faiblesse de la part de Téhéran.
Concernant le conflit israélo-palestinien, la Chine a récemment proposé de jouer un rôle de médiateur pour trouver une solution à l’escalade des violences. La Chine a condamné tous les actes qui portent atteinte aux civils et a appelé à la cessation immédiate des hostilités. La Chine a également réaffirmé son soutien à la solution à deux États, c’est-à-dire la création d’un État palestinien indépendant coexistant pacifiquement avec Israël. La Chine veut ainsi faire entendre sa voix dans la crise et se présenter comme un acteur responsable et impartial sur la scène internationale.
Cependant, il est peu probable que la Chine puisse avoir une influence déterminante sur le conflit israélo-palestinien. La Chine n’a pas de relations historiques ou culturelles fortes avec les parties en présence, ni de présence militaire ou sécuritaire dans la région. La Chine n’a pas non plus les moyens de faire pression sur Israël ou les États-Unis, qui restent les acteurs clés du dossier. La Chine se heurte également à la méfiance des pays arabes, qui craignent son expansion économique et son manque d’engagement politique. La Chine a donc une marge de manœuvre limitée et une crédibilité incertaine pour jouer un rôle de médiateur efficace.
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