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Bonne fête du premier novembre
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Une pensée à la mémoire de Guy Monnerot instituteur, première victime Française de la guerre d'Algérie, au lendemain de la nuit de la Toussaint du 1er Novembre 1954.
Sa mort fait suite, à son intervention pour sauver la vie du Caïd Hadj Sadok, lors de l'embuscade tendue à ce dernier dans les gorges de Tighanimine sur la route reliant Batna Arris par le groupe de révolutionnaires de Si Messaoud, de son vrai nom Chihani Bachir.Dernière modification par infinite1, 01 novembre 2023, 20h12.
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Tahya al jaza2ir. Et abat les Harkis, les traitres.
Issa,
Dans ce drame, ce n'est pas le "harki" qui est tué, c'est un instituteur venu de la Métropole dispenser le savoir aux petits "indigènes".
Même si le Caïd, je crois est assassiné par la suite, la mort de cet instituteur est aussi dramatique qu'inutile.Dernière modification par infinite1, 01 novembre 2023, 20h47.
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Personne n'a invité cette dame à venir enseigner en Algérie. Elle aurait du rester en France, malheureusement.
Issa,
Ah bon !...parce que les autochtones du pays de Tamzghat avaient inviter les bédouins d'Arabie à venir chez eux leur pourrir la vie avec le boulet qu'est leur religion?
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Infinite , sérieusement on s'en fou de la vie d'un francais instituteur ou pas, quand la vie de millions d'Algériens instituteurs, artisans, agriculteurs a été massacrés par la France qui a ramené ton pauvre instituteur.
Autre chose , on a jamais eu besoin de français pour nous apprendre quelque chose, ils te volent ton pain pour te donner une miette et vous êtes reconnaissant !!
Ma famille avant l'occupation française, au moins leur chef, été lettré , vivait de sa plume comme on dit dans ma famille, après la colonisation, plus aucun descendants tout le monde agriculteurs et artisans .
Vrai quelques uns assiégés dans des camps ont peut avoir le cep !!! Générosité du colonisateur
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