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Après une longue attente caractérisée par un stress hydrique des plus préoccupants, les montagnes du Djurdjura ont renoué, dans la nuit de mardi à mercredi, avec les premières neiges.
Les sommets du grand massif montagneux sont couverts d'un blanc immaculé offrant un spectacle qui fait plaisir à voir et qui suscite l'espoir d'un hiver plutôt neigeux et pluvieux à la fois.
Beaucoup commencent, en effet, à ressentir les effets délétères de la raréfaction des chutes de pluie. Phénomène qui perdure depuis au moins 5 mois, avec comme conséquence, un reflux dans le débit des sources d'eau qui alimentent la plupart des villages de Haute-Kabylie. Les mêmes effets négatifs ont été observés au niveau des réserves d'eau du barrage de Taksebt qui ont baissé drastiquement.
À la fin de la première quinzaine du mois en cours, le taux de remplissage de cet ouvrage hydraulique qui alimente les populations de la wilaya de Tizi Ouzou et une partie de celles d'Alger et de Boumerdès a été estimé à moins de 15%, équivalent à environ 20 millions de m3, selon les indications fournies par le Dr Malek Abdeslam, spécialiste en hydrogéologie et enseignant à l'université de Tizi Ouzou.
«De quoi tenir encore un mois,jusqu'au retour des pluies fin novembre», a alerté cet observateur des phénomènes hydrologiques, sur sa page Facebook.
Le retour des pluies est vécu comme une délivrance par les agriculteurs qui vont enfin entamer la campagne labours-semailles dont le lancement a été retardé d'au moins un mois, en raison du manque de pluies.
S. A. M.
Les sommets du grand massif montagneux sont couverts d'un blanc immaculé offrant un spectacle qui fait plaisir à voir et qui suscite l'espoir d'un hiver plutôt neigeux et pluvieux à la fois.
Beaucoup commencent, en effet, à ressentir les effets délétères de la raréfaction des chutes de pluie. Phénomène qui perdure depuis au moins 5 mois, avec comme conséquence, un reflux dans le débit des sources d'eau qui alimentent la plupart des villages de Haute-Kabylie. Les mêmes effets négatifs ont été observés au niveau des réserves d'eau du barrage de Taksebt qui ont baissé drastiquement.
À la fin de la première quinzaine du mois en cours, le taux de remplissage de cet ouvrage hydraulique qui alimente les populations de la wilaya de Tizi Ouzou et une partie de celles d'Alger et de Boumerdès a été estimé à moins de 15%, équivalent à environ 20 millions de m3, selon les indications fournies par le Dr Malek Abdeslam, spécialiste en hydrogéologie et enseignant à l'université de Tizi Ouzou.
«De quoi tenir encore un mois,jusqu'au retour des pluies fin novembre», a alerté cet observateur des phénomènes hydrologiques, sur sa page Facebook.
Le retour des pluies est vécu comme une délivrance par les agriculteurs qui vont enfin entamer la campagne labours-semailles dont le lancement a été retardé d'au moins un mois, en raison du manque de pluies.
S. A. M.
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