On n'est pas obligé d' aimer l'africain

[zek]

[Farashatun]

elle m'a fait rire ta vidéo Zek...

Il a raison sur certains points, mais très dur sur d'autres. Seuls les délinquants ont des problèmes avec l'intégration et la police, les autres certes parlent forts dans les transports, cuisinent de la bouffe qui pue, vivent dans la saleté, ne bossent pas et profitent du système, cet ksosrie est valable également pour les blancs c'est une question de classe sociale. Les gens instruits et éduqués arrivent à s'intégrer et n'ont pas ces problèmes, quelque soit la couleur de peau, la religion et l'origine... Il y a du racisme en France faut arrêtez de le nier et c'est à cause de ces délinquants en "uniforme" que les noirs et les arabes sont stigmatisés dans le seul but de détourner les français des vrais problèmes... Le racisme est réel et est basé sur l'impérialisme occidental qui renvoi directement aux génocides des peuples partout sur terre, vol pillage de terre colonisation depuis le génocide des amérindiens jusqu'à maintenant...

[galaxy]

Au cimetière deux squelettes se sont battus avec insultes sale blanc sale noir le gardien a dut intervenir même mort la bêtise humaine n'a pas de limites.

[Farashatun]

On est carrément dans le délit de sale gueule là ...

[zek]

L'idée développée suggère qu'il est important de considérer le rejet perçu de certaines personnes, notamment des Africains, dans divers contextes, comme étant lié davantage à des comportements socialement inacceptables, à des différences culturelles et à des attitudes problématiques au sein de certains groupes.

La perspective avancée met en lumière la nécessité d'adaptation sociale, du respect des normes locales et de l'effort pour comprendre les différences culturelles. L'analyse critique également l'utilisation facile de l'accusation de racisme, mettant en avant que les comportements individuels, plutôt que l'origine ethnique, peuvent être à l'origine de tels rejets.

Des exemples concrets, tels que des problèmes liés à la cuisine, aux comportements dans les trains, et à d'autres situations sociales, sont évoqués pour illustrer l'argument principal. L'insistance est placée sur la nécessité pour les individus de se remettre en question et d'adopter des comportements respectueux lorsqu'ils interagissent dans des communautés différentes.

La pensée centrale souligne qu'au lieu de s'identifier comme des victimes, il est crucial de comprendre et de remédier aux comportements pouvant être à l'origine du rejet perçu. Il est encouragé de promouvoir le changement personnel et de montrer que l'on diffère des stéréotypes négatifs.

En résumé, la perspective partagée met en avant l'importance d'une réflexion personnelle approfondie et de l'effort pour comprendre les attentes et les normes sociales locales, plutôt que de simplement attribuer les rejets à des motivations racistes.

[Neufseptrois]

On n'est pas obligé d' aimer le musulman

L'idée développée suggère qu'il est important de considérer le rejet perçu de certaines personnes, notamment des musulmans, dans divers contextes, comme étant lié davantage à des comportements socialement inacceptables, à des différences culturelles et à des attitudes problématiques au sein de certains groupes.
...

[Farashatun]

On n'es pas obligé d'aimer tout le monde, heureusement, mais détester quelqu'un parce qu'il est musulman,c'est de la xénophobie anti-musulmane, rappelons qu'on n'est pas obligé d'aimer l'islam, mais qu'on n'a pas le droit de s'attaquer à un musulman en raison de sa foi.

[Neufseptrois]

Farashatun pour remettre un peu d'ordre oui, il ne faut pas essentialiser, il faut critiquer les idées pas les personnes, donc oui on peut s'attaquer à un musulman en raison de sa foi par le débat, sur les idées et pas sur la personne. Le but de ma substitution était de démontrer que l'africain est essentialisé dans ce discours que j'estime maladroit .Et peut être porter une critique ailleurs en saisissant le baton tendu ... peut être j'avoue .

[Farashatun]

Le 19 juin 1991, au cours d'un dîner-débat du RPR, Jacques Chirac prononce le discours qui contient l'expression le « bruit et l'odeur »


"Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte-d'or où je me promenais avec Alain Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Il devient fou. C'est comme ça. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! […] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique, les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes[7],[8]. […] [Au sujet des épiciers de proximité] La plupart de ces gens-là sont des gens qui travaillent, des braves gens ; on est bien content de les avoir. Si on n'avait pas l'épicier kabyle au coin de la rue, ouvert de 7 heures du matin à minuit, combien de fois on n'aurait rien à bouffer le soir[9] ? »

L'expression « le bruit et l'odeur » reste longtemps collée à la peau de Chirac, comme le note le quotidien belge La Libre lors de sa réélection à la présidence de la République en 2002 : « Il combattit Le Pen mais mit des années à faire oublier le « facho-Chirac » qui stigmatisait « le bruit et l'odeur des étrangers » »