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Imane Khelif against the world

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  • #16
    Mêmes si j'ai des interrogations à vue. J'attends de vraies preuves.

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    • #17
      J'ai d'la peine pour elle
      Pour son cas
      Il ne faut pas se fier à ce qu’on voit aujourd’hui
      Probablement qu’aujourd’hui ses priorités c’est sa carrière sportive.

      Le plus grand agent au monde pour la boxe professionnelle s’est proposé de la signer, avec quelques opérations de chirurgie esthétique, les quelques millions d’euro qu’elle va avoir, étant une star internationale elle va certainement devenir une autre femme et elle va certainement attirer beaucoup d’hommes, sa vie sera beaucoup plus à envier qu’a plaindre pour beaucoup de femmes.

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      • #18
        elbieroi

        Inchallah
        On peut tomber sur un con !

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        • #19
          2 médailles d'or et une de bronze pour l'Algérie. Les trois médaillés ont beaucoup attirés l'attention. Quel est ce secret de l'Algérie? Cela mérite un médaille de diamants.

          Que nous réservent les jeux paralympiques ?

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          • #20
            L'important c'est que l'Algérie a soutenu massivement Imène, une victime de préjugés indélicats et odieux !
            « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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            • #21
              Saladin7757

              Biensûr qu'Imane Khelif allait naturellement être soutenue en Algérie par solidarité nationale. En tant qu'Algériens, on est censés soutenir nos sportifs mais cela ne doit pas nous empêcher d'être rationnels. Si Imane Khelif était une boxeuse marocaine et qu'elle avait démolie une belle boxeuse algérienne bien féminine et dotée d'une belle paire de chromosones XX, il est probable que la majorité de nos compatriotes auraient accusé Imane Khelif d'être un homme comme l'a fait IBA et ils auraient demandé au CIO de l'exclure des compétitions féminines!

              Le sujet ici est plus complexe qu'un simple passeport désignant Imane Khelif de femme. Imane Khelif n'a pas porté plainte contre IBA et elle n'a pas démenti avoir des chromosomes XY qui sont typiques des hommes. Le CIO lui-même a semé la confusion en n'ayant pas communiqué sur la présence de chromosomes XY chez Imane Khelif puisque le CIO ne mène aucun test génétique et il se base exclusivement sur les passeports des sportifs. Un tel manque de transparence a sans surprises alimenté la polémique car génétiquement parlant, une personne qui a des chromosomes XY n'est pas tout à fait une femme mais un homme (voir vidéo).

              Sinon, il y a eu des études scientifiques qui montrent qu'une minorité de filles/femmes vivent et grandissent comme filles/femmes mais elle sont génétiquement des hommes en ayant des chromosomes XY. Ce n'est souvent qu'après la puberté qu'elles découvrent la vérité : qu'elles ne sont pas des filles/femmes mais plutôt des garçons/hommes.

              Pour mettre fin à ce genre de polémiques, des généticiens et d'autres scientifiques appellent à adopter des standards universels basés sur le sexe et non pas sur le genre. Concrètement, pour participer aux compétitions féminines, il faut être génétiquement une femme XX et ne pas avoir le chromosome Y qui est typique des hommes et qui est à l'origine des caractéristiques physiques des hommes y compris la force physique qui est typiquement très supérieure à celle des femmes XX.

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              • #22
                Je pense qu'il faut ignorer le propagandiste russe Kremlev et son organisation IBA dépendante financièrement de GAZPROM en conflit avec CIO et qui a proposé une récompense à la boxeuse italienne ayant abandonné donc elle est partie prenante dans l'affaire sans oublier que son président se voyait investi par une mission divine pour sauver le christianisme et l'humanité ...comme il dit
                The IBA president also continued his assault on the IOC as he began a rambling tirade against Thomas Bach.

                He said: "When I said sodomite, I meant Thomas Bach and those who made this declaration. They have been making fun of Christianity and the Bible. In scripture, Sodom and Gomorrah existed and God destroyed these cities because they had no human value in them.

                “As president of an international federation and a firm believer in god, and a person defending human values and democracy I couldn’t keep silent. And this opening was arranged and designed by Thomas Bach and his friends. He did it in order to improve his PR status. As a Christian, believing in god, I disagree with this presentation of the scripture. And I would never like to see that happening again in the sport.”

                CBN
                Envoyé par nassim
                Imane Khelif n'a pas porté plainte contre IBA et elle n'a pas démenti avoir des chromosomes XY qui sont typiques des hommes. Le CIO lui-même a semé la confusion en n'ayant pas communiqué sur la présence de chromosomes XY chez Imane Khelif puisque le CIO ne mène aucun test génétique et il se base exclusivement sur les passeports des sportifs. Un tel manque de transparence a sans surprises alimenté la polémique car génétiquement parlant, une personne qui a des chromosomes XY n'est pas tout à fait une femme mais un homme (voir vidéo).
                Ce n'est pas ethniquement correct le dossier médical relève de secret médical et la vie privée et il n y a aucune raison pour le publier d'en faire matire pour alimenter tout genre de polémiques .le test chromosomique existait avant 1999 la CIO conseillait les athlètes qui échouent ce test de prétendre une blessure pour protéger leur vie privée ...
                Dernière modification par el-fantastico, 22 août 2024, 18h19.

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                • #23
                  Sinon le test de féminité basique reste comme dit cette ancienne boxeuse : le médecin vérifie directement à l’intérieur du pantalon
                  "Les tests que j’ai subis, ce ne sont pas des prises de sang, poursuit Emilie Sovinco. On arrive à la pesée, on part derrière avec le médecin. Le médecin vérifie à l’intérieur du pantalon. La première fois, j’avoue que je n’étais pas très bien. Je ne l’ai pas vu arriver, ça m’a fait un petit choc."

                  https://rmcsport.bfmtv.com/jeux-olym...408060195.html
                  Donc si elle a des organe féminin alors c'est une femme le reste c'est du bla bla ou des personnes ne savent pas de quoi ils parlent

                  Un autre cas similaire en 2012 bien détaillé dans cet article

                  JO : le nouveau «test de féminité» très contesté

                  La Sud-Africaine Caster Semenya a subi dix mois d'examens humiliants pour déterminer son identité sexuelle en 2009.

                  Le Comité international olympique prévoit de mesurer le taux de testostérone des athlètes jugées un peu trop masculines. Une méthode très critiquée par les scientifiques.

                  Avant de se lancer dans la compétition, certaines athlètes devront passer une autre épreuve dont elles se passeraient bien: les fameux tests de féminité. Publié en juin, le nouveau règlement du Comité olympique international (COI) fixant les critères hormonaux de la féminité suscite de vives critiques.

                  Du critère gynécologique…

                  Mis au point pour empêcher les hommes de se faire passer pour des femmes, ces tests n'ont cessé de changer de méthode à mesure que l'on mettait à jour leur inefficacité. Les premiers tests en 1966 étaient de simples examens morphologiques et gynécologiques, obligatoires pour toutes les athlètes féminines. Cette procédure humiliante a rapidement été remplacée, en 1968, par des analyses génétiques, jugées plus scientifiques. Partant du principe que les femmes ont deux chromosomes X et que les hommes ont un X et un Y, il s'agissait de vérifier que les athlètes féminines avaient bien deux X. Mais c'est justement en menant ces tests que les experts se sont rendu compte que de nombreuses femmes dites intersexuées ne tombaient dans aucune de ces catégories, ou que certains hommes étaient XX et certaines femmes XY, ou XXY… Ces tests se sont donc avérés inadaptés, par exemple dans le cas de Maria Jose Martinez-Patino, initialement déclarée inéligible pour les Jeux de Séoul de 1988. La coureuse espagnole avait un chromosome Y, ce qui aurait dû faire d'elle un homme, mais comme elle avait aussi une insensibilité aux androgènes (dont la testostérone), elle s'est développée comme femme. Après que 8 athlètes ont été ainsi disqualifiées puis réhabilitées aux JO d'Atlanta en 1996, la méthode génétique a été abandonnée.

                  … au critère hormonal

                  Depuis 2000, le COI n'impose plus d'examen systématique aux femmes, mais il se réserve le droit d'exiger un test en cas de «doute visuel». C'est ainsi qu'après avoir remporté la médaille d'or aux championnats du monde de Berlin en 2009, la coureuse sud-africaine aux traits masculins Caster Semenya a subi dix mois d'examens humiliants pour déterminer son identité sexuelle. Les examens ont conclu qu'elle était bien une femme, mais qu'elle présentait une hyperandrogénie. Or cet excès de sécrétion de testostérone favoriserait le développement musculaire, l'endurance et la vitesse.

                  Tirant les leçons de cet épisode douloureux, le COI a élaboré en juin un nouveau règlement relatif à l'hyperandrogénie féminine, lui permettant de vérifier que le taux de testostérone d'une athlète est bien inférieur à celui d'un homme. S'il est trop élevé, et que ses cellules y répondent positivement, alors l'athlète peut être autorisée à participer avec les hommes. «Le nouveau règlement reste assez opaque, mais en l'analysant finement, on peut se demander si cela ne signifie pas que certaines athlètes, comme Caster Semenya, ont dû suivre des traitements pour réduire artificiellement leur production de testostérone afin d'être sûres d'être conformes à la moyenne féminine», explique Anaïs Bohuon, enseignante-chercheuse à Paris-Sud 11 et auteur du Test de féminité dans les compétitions sportives: une histoire classée x?.

                  Des méthodes contestées

                  De l'avis de nombreux experts, aucun critère unique ne permet d'établir une différence entre les hommes et les femmes, et le critère hormonal n'est pas plus pertinent que les précédents. D'ailleurs, le COI se garde bien de chiffrer précisément la limite officielle du taux féminin «normal», attendant d'avoir un cas pour statuer. Selon une étude de l'endocrinologue britannique Peter Sonksen, menée sur 650 olympiens, 5% des femmes avaient un niveau masculin de testostérone et 6% des hommes un niveau féminin. «La différence de taux est en effet parfois plus importante entre deux hommes qu'entre un homme et une femme», rappelle Anaïs Bohuon.

                  Surtout, rien ne prouve que cette hormone soit déterminante dans la performance d'un sportif. Un article publié dans The American Journal of Bioethics souligne même que l'insensibilité de l'organisme aux androgènes, comme celle qu'avait Martinez Patino, est surreprésentée chez les athlètes féminines de haut niveau. La testostérone est donc loin d'être un ingrédient indispensable aux sportifs.

                  «Mais même si l'hyperandrogénie représentait un atout, pourquoi faudrait-il le sanctionner? poursuit Anaïs Bohuon. Les athlètes de haut niveau ont souvent, par définition, des caractéristiques naturelles hors norme. Chercher à les normaliser sur un critère en particulier n'a aucun sens. On ne pénalise pas Michael Phelps parce qu'il a de très grands pieds, ou Jeannie Longo parce qu'elle a un cœur qui bat très lentement.» Cibler la testostérone chez les femmes est d'autant plus injuste que «certains hommes ont des taux plus élevés que la moyenne, et ils ne sont jamais inquiétés», ajoute Anaïs Bohuon.

                  En fait, la raison d'être de ces tests ne serait pas vraiment d'éviter la tricherie. «Jamais dans l'histoire des compétitions sportives un homme n'a tenté de se faire passer pour une femme, affirme la chercheuse. Cet acharnement sur le corps féminin traduit avant tout une volonté de conserver l'infériorité “naturelle” de la femme par rapport à l'homme.»

                  Le Figaro

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                  • #24
                    Serena William, la championne américaine de tennis qui a le gabarit et la fatcha d'un homme, n'a jamais rencontré de problème de genre.
                    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                    • #25
                      Williams pour les USA & Mauresmo pour la France, juste des rumeurs. Mais quand il s'agit d'africaines, cela va bien plus loin, car même les tests ne suffisent pas !
                      Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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                      • #26
                        Je ne sais si c'est du fake ou du vrai


                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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