Si l'Algérie n'avait pas de gaz et du pétrole, le tourisme serait beaucoup plus développé. Des algériens qui veulent rester entre eux ne diront pas "NON", sauf si le pays "produit comme le Japon".
Il faut voir le cas de la Turquie et de l'Egypte par exemple. L'Arabie Saoudite très fermée pense déjà à l'après pétrole pour par exemple les romains entre eux qui veulent faire comme à Rome.
Actuellement, pétrole gaz suffisants, il faut reconnaître que la peur qu'un touriste étranger soit victime du terrorisme inquiète toujours les autorités algériennes car avant la fin des années 80, le tourisme surtout vers le Sahara était très médiatisé. Le traumatisme de la décennie noire et ses effets sur la société, ça joue aussi. La plus grande partie du pays a de très longues frontières avec des pays très instables (Libye, Mali, Niger). Ce n'est pas la superficie du Maroc ou de la Tunisie pour garantir la sécurité à tous.


Actuellement, pétrole gaz suffisants, il faut reconnaître que la peur qu'un touriste étranger soit victime du terrorisme inquiète toujours les autorités algériennes car avant la fin des années 80, le tourisme surtout vers le Sahara était très médiatisé. Le traumatisme de la décennie noire et ses effets sur la société, ça joue aussi. La plus grande partie du pays a de très longues frontières avec des pays très instables (Libye, Mali, Niger). Ce n'est pas la superficie du Maroc ou de la Tunisie pour garantir la sécurité à tous.
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