Dans une enquête publiée ce jeudi 19 décembre, le journal Le Monde affirme qu'Emmanuel Macron aurait déclaré en 2023 que "le problème des urgences" en France tient du fait qu'ils soient "remplis de Mamadou". Des propos démentis fermement par l'Élysée à BFMTV.
Des propos rapportés puis fermement démentis. Plusieurs élus issus de la gauche ont épinglé, ce jeudi 19 décembre, des propos attribués dans le journal Le Monde à Emmanuel Macron sur la situation de l'hôpital, les taxant de "racistes".
Dans une enquête, dont le premier article a été publié le 18 décembre, le quotidien revient sur l'évolution du chef de l’État au cours de ces dernières années. Mais, c'est le papier publié ce jeudi, titré "Emmanuel Macron, le double état permanent" qui a fait le plus réagir.
Citant des propos rapportés, le président de la République aurait dit, en 2023 devant son ministre de la Santé d'alors Aurélien Rousseau, que "le problème des urgences dans ce pays, c'est que c'est rempli de Mamadou". Des propos "fermement" dementi par l'Élysée, ce vendredi 20 décembre.
"Une insulte à la République "
"Ces propos racistes du président de la République, rapportés par le journal Le Monde, sont une insulte à la République. C'est une honte absolue. Vivement qu'il s'en aille", a écrit sur X le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard, s'indignant comme de nombreux députés LFI.
Ces propos "sont racistes. Indubitablement. Ils sont accablants", a renchéri sur le même réseau social le sénateur communiste de Paris, Ian Brossat.
"Tout y passe: racisme, homophobie, sexisme. Le tout enfermé dans un palace doré, loin du regard des Français, à qui il fait la morale à longueur de journée", a fustigé pour sa part le député de la Somme François Ruffin, citant également d'autres phrases attribuées au locataire de l'Elysée par cette enquête au long cours du Monde.
Le quotidien Le Monde assurait notamment mercredi que l'Élysée avait baptisé Matignon "La cage aux folles" lorsque le Premier ministre était Gabriel Attal. Et jeudi, il indique que le président avait qualifié Marine Tondelier, cheffe des Écologistes, et Lucie Castets, proposée par le Nouveau Front populaire pour Matignon, de "cocottes".
"Hier, on a pris connaissance de propos homophobes extrêmement choquants du président de la République à propos de Gabriel Attal. Aujourd'hui ce sont des propos sexistes (...) On attend demain avec impatience...", a dénoncé sur X Marine Tondelier.

Les révélations du journal Le Monde interviennent alors qu'Emmanuel Macron est en actuellement en déplacement à Mayotte, frappé de plein fouet par le cyclone Chido. Le président de la République a été confronté pendant de longues heures à l'impatience, la colère et même au désespoir de Mahorais qui ont pour la plupart tout perdu.
.bfmtv.com
Des propos rapportés puis fermement démentis. Plusieurs élus issus de la gauche ont épinglé, ce jeudi 19 décembre, des propos attribués dans le journal Le Monde à Emmanuel Macron sur la situation de l'hôpital, les taxant de "racistes".
Dans une enquête, dont le premier article a été publié le 18 décembre, le quotidien revient sur l'évolution du chef de l’État au cours de ces dernières années. Mais, c'est le papier publié ce jeudi, titré "Emmanuel Macron, le double état permanent" qui a fait le plus réagir.
Citant des propos rapportés, le président de la République aurait dit, en 2023 devant son ministre de la Santé d'alors Aurélien Rousseau, que "le problème des urgences dans ce pays, c'est que c'est rempli de Mamadou". Des propos "fermement" dementi par l'Élysée, ce vendredi 20 décembre.
"Une insulte à la République "
"Ces propos racistes du président de la République, rapportés par le journal Le Monde, sont une insulte à la République. C'est une honte absolue. Vivement qu'il s'en aille", a écrit sur X le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard, s'indignant comme de nombreux députés LFI.
Ces propos "sont racistes. Indubitablement. Ils sont accablants", a renchéri sur le même réseau social le sénateur communiste de Paris, Ian Brossat.
"Tout y passe: racisme, homophobie, sexisme. Le tout enfermé dans un palace doré, loin du regard des Français, à qui il fait la morale à longueur de journée", a fustigé pour sa part le député de la Somme François Ruffin, citant également d'autres phrases attribuées au locataire de l'Elysée par cette enquête au long cours du Monde.
Le quotidien Le Monde assurait notamment mercredi que l'Élysée avait baptisé Matignon "La cage aux folles" lorsque le Premier ministre était Gabriel Attal. Et jeudi, il indique que le président avait qualifié Marine Tondelier, cheffe des Écologistes, et Lucie Castets, proposée par le Nouveau Front populaire pour Matignon, de "cocottes".
"Hier, on a pris connaissance de propos homophobes extrêmement choquants du président de la République à propos de Gabriel Attal. Aujourd'hui ce sont des propos sexistes (...) On attend demain avec impatience...", a dénoncé sur X Marine Tondelier.
Les révélations du journal Le Monde interviennent alors qu'Emmanuel Macron est en actuellement en déplacement à Mayotte, frappé de plein fouet par le cyclone Chido. Le président de la République a été confronté pendant de longues heures à l'impatience, la colère et même au désespoir de Mahorais qui ont pour la plupart tout perdu.
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