Thierry Breton se fait DÉTRUIRE par Sonia Mabrouk en direct

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Thierry Breton est fréquemment mis en avant par les médias mainstream pour défendre la censure des réseaux sociaux, bien qu'il ne dispose d'aucun mandat politique ni de légitimité démocratique. Ancien haut fonctionnaire, il est notamment accusé d'avoir conduit France Télécom et Atos à la faillite, tout en s’enrichissant grâce aux fonds publics des entreprises disparues.

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Pendant son mandat chez Atos, Thierry Breton a bénéficié de dividendes importants, s'élevant à 3 millions d'euros par an. Il a également vendu ses actions pour 40 millions d'euros avant que la situation de l'entreprise ne se dégrade. De plus, il a négocié une retraite chapeau de 771 100 € par an, soit plus de 52 000 € par mois. Par ailleurs, il a acheté un château dans la Creuse.

En tant que commissaire européen, Thierry Breton est critiqué pour avoir mis en place des règlements comme le Digital Services Act (DSA), perçu par certains comme une forme de censure. Il est accusé d'utiliser sa position pour éviter les critiques sur sa gestion passée et pour censurer les oppositions.

Thierry Breton est critiqué pour avoir profité de ses positions pour s'enrichir personnellement tout en conduisant les entreprises qu'il dirigeait à la faillite. Ces pratiques sont rendues possibles par un système qui favorise le "capitalisme de connivence", où les intérêts personnels priment souvent sur la création de valeur réelle pour les entreprises et la société.