Les frais de scolarité exigées par les universités américaines n’en finissent pas d’augmenter. Conséquence : il n’y a jamais eu autant d’étudiants américains dans les universités européennes, explique “Business Insider”.
Les études supérieures valent-elles la peine de s’endetter pour des décennies ? Beaucoup d’étudiants américains estiment que les frais de scolarité exigés par les universités américaines sont beaucoup trop élevés. Raison pour laquelle ils sont de plus en plus nombreux à préférer poursuivre leurs études à l’étranger – et l’Europe est leur destination préférée, rapporte le site Business Insider.
Aux États-Unis, une année d’études dans une université publique coûte en moyenne 28 297 dollars par an, soit environ 113 188 dollars pour un diplôme décroché en quatre ans.
Dans les universités privées, les frais de scolarité sont beaucoup plus élevés : jusqu’à 65 990 dollars l’année pour l’Université Pepperdine de Malibu, en Californie.
Lire aussi : Universités. Vaut-il mieux étudier au Canada ou aux États-Unis ?
Selon l’Institute of International Education (IIE), qui publie chaque année à New York le rapport “Open Doors” sur la mobilité étudiante depuis et vers les États-Unis, le nombre d’étudiants américains ayant effectué un séjour d’études à l’étranger en 2022-2023 a augmenté de 49 % par rapport à l’année précédente (affectée par la pandémie de Covid-19) pour atteindre un total de 280 716 étudiants.
L’Europe reste le continent qui attire le plus grand nombre d’étudiants américains, constate l’IIE : 64 % de ceux qui poursuivent des études à l’étranger ont choisi l’an dernier de s’inscrire dans une université européenne. L’Italie en a accueilli le plus fort contingent (41 840), suivie par le Royaume-Uni (35 018), l’Espagne (32 648) et la France (17 096, un chiffre en augmentation de 18,6 % par rapport à 2021-2022).
Lire aussi : Éducation. Visas étudiants : quand les portes se ferment
Les programmes d’études permettant de passer un semestre ou une année à l’étranger ne sont certes pas une nouveauté pour les étudiants américains, mais ils sont désormais de plus en plus nombreux à poursuivre leur cursus en Europe jusqu’à l’obtention d’un diplôme de deuxième cycle, note également Business Insider.
Courrier expat
Les études supérieures valent-elles la peine de s’endetter pour des décennies ? Beaucoup d’étudiants américains estiment que les frais de scolarité exigés par les universités américaines sont beaucoup trop élevés. Raison pour laquelle ils sont de plus en plus nombreux à préférer poursuivre leurs études à l’étranger – et l’Europe est leur destination préférée, rapporte le site Business Insider.
Aux États-Unis, une année d’études dans une université publique coûte en moyenne 28 297 dollars par an, soit environ 113 188 dollars pour un diplôme décroché en quatre ans.
Dans les universités privées, les frais de scolarité sont beaucoup plus élevés : jusqu’à 65 990 dollars l’année pour l’Université Pepperdine de Malibu, en Californie.
Lire aussi : Universités. Vaut-il mieux étudier au Canada ou aux États-Unis ?
Selon l’Institute of International Education (IIE), qui publie chaque année à New York le rapport “Open Doors” sur la mobilité étudiante depuis et vers les États-Unis, le nombre d’étudiants américains ayant effectué un séjour d’études à l’étranger en 2022-2023 a augmenté de 49 % par rapport à l’année précédente (affectée par la pandémie de Covid-19) pour atteindre un total de 280 716 étudiants.
L’Europe reste le continent qui attire le plus grand nombre d’étudiants américains, constate l’IIE : 64 % de ceux qui poursuivent des études à l’étranger ont choisi l’an dernier de s’inscrire dans une université européenne. L’Italie en a accueilli le plus fort contingent (41 840), suivie par le Royaume-Uni (35 018), l’Espagne (32 648) et la France (17 096, un chiffre en augmentation de 18,6 % par rapport à 2021-2022).
Lire aussi : Éducation. Visas étudiants : quand les portes se ferment
Les programmes d’études permettant de passer un semestre ou une année à l’étranger ne sont certes pas une nouveauté pour les étudiants américains, mais ils sont désormais de plus en plus nombreux à poursuivre leur cursus en Europe jusqu’à l’obtention d’un diplôme de deuxième cycle, note également Business Insider.
Courrier expat
Commentaire