À tous ceux qui se sentent solidaires avec cet homme : il est essentiel de rappeler certains faits fondamentaux, loin des émotions instantanées et de la propagande émotionnelle relayée massivement.
Amir DZ n’est pas un opposant politique, il est un opérateur idéologique. Il ne construit aucune pensée, ne propose aucun projet de société, ne défend aucune vision claire et cohérente pour l’Algérie. Ce qu’il incarne, c’est une entreprise de déstabilisation méthodique, une stratégie de fragmentation sociale fondée sur la rumeur, le chantage, la haine ciblée, et l’exploitation de la colère populaire.
Il se présente comme un résistant, mais agit comme un relais d’officines étrangères – financé, ou du moins soutenu, par des réseaux bien connus, dont l’objectif historique a toujours été d’encourager et d’affaiblir toute construction républicaine ou nationale. Paradoxalement, il vit dans une démocratie laïque dont il utilise tous les outils pour appeler à l’instauration d’un régime théocratique autoritaire dans son pays d’origine. Il y a là une incohérence flagrante, révélatrice de son opportunisme moral et idéologique.
Mais ce n’est là que la surface d’un mécanisme plus vaste et plus inquiétant. Car ce prétendu “opposant” a construit toute sa notoriété sur une entreprise systématique de violation de la vie privée. Ce qu’il présente comme de l’“information” n’a rien à voir avec le journalisme ni avec un quelconque devoir de vérité. Il s’agit, en réalité, d’une entreprise de délation organisée. Avec une constance méthodique, il diffuse des contenus volés ou obtenus illégalement : images intimes, conversations privées, vidéos personnelles, dont la seule finalité est de nuire, d’humilier et de salir. Il s’attaque indistinctement aux figures du pouvoir, aux opposants qui échappent à son contrôle, ou à de simples citoyens, anonymes, coupables à ses yeux d’exister autrement que selon ses dogmes.
En publiant les photos les plus personnelles de ses adversaires — qu’ils soient en short, en décolleté, ou dans une attitude jugée « libérée » — il s’érige en juge moral, brandissant l'accusation d’apostasie ou de trahison des « valeurs du peuple » comme un glaive. Pourtant, lui-même vit dans une société occidentale laïque, où il bénéficie pleinement des libertés qu’il refuse aux autres.
L’affaire récente de son “kidnapping” n’est qu’un épisode supplémentaire d’un récit mal ficelé. Aucune trace d’agression, aucun message clair, aucune revendication. Il aurait été « enlevé », puis relâché sans qu’aucune question ne lui soit posée ? Même dans les scénarios les plus élémentaires, ce récit manque de cohérence. Cela ressemble davantage à une opération de communication montée de toutes pièces, pour se repositionner au centre de l’attention, se victimiser, et continuer à mobiliser ses partisans sur la base de l’émotion plutôt que de la raison.
Quant aux poursuites judiciaires, elles ne relèvent pas d’une répression politique, mais d’une affaire pénale sérieuse : atteinte à la vie privée, diffamation, usurpation, chantage... Toutes ces accusations relèvent du droit commun. Il n’est pas poursuivi pour avoir exprimé une opinion politique. Il est poursuivi pour des actes qui violent la loi, et qui porteraient atteinte à n’importe quel citoyen, quelle que soit son opinion.
Ce n’est pas pour son opinion politique que ce personnage doit rendre des comptes, mais pour ses pratiques illégales et destructrices. La France, en tant qu'État de droit, devrait se montrer cohérente avec ses principes et cesser d’offrir une tribune à un individu dont les actes s’opposent frontalement aux valeurs démocratiques qu’elle prétend défendre. Protéger la liberté d’expression ne signifie pas fermer les yeux sur la violence numérique, la diffamation ciblée et la destruction des vies privées.
Malcolm X disait : « L’homme le plus dangereux est celui qui a bâti sa réputation sur le mensonge et la peur. »
Par Nassim bagdadi
Amir DZ n’est pas un opposant politique, il est un opérateur idéologique. Il ne construit aucune pensée, ne propose aucun projet de société, ne défend aucune vision claire et cohérente pour l’Algérie. Ce qu’il incarne, c’est une entreprise de déstabilisation méthodique, une stratégie de fragmentation sociale fondée sur la rumeur, le chantage, la haine ciblée, et l’exploitation de la colère populaire.
Il se présente comme un résistant, mais agit comme un relais d’officines étrangères – financé, ou du moins soutenu, par des réseaux bien connus, dont l’objectif historique a toujours été d’encourager et d’affaiblir toute construction républicaine ou nationale. Paradoxalement, il vit dans une démocratie laïque dont il utilise tous les outils pour appeler à l’instauration d’un régime théocratique autoritaire dans son pays d’origine. Il y a là une incohérence flagrante, révélatrice de son opportunisme moral et idéologique.
Mais ce n’est là que la surface d’un mécanisme plus vaste et plus inquiétant. Car ce prétendu “opposant” a construit toute sa notoriété sur une entreprise systématique de violation de la vie privée. Ce qu’il présente comme de l’“information” n’a rien à voir avec le journalisme ni avec un quelconque devoir de vérité. Il s’agit, en réalité, d’une entreprise de délation organisée. Avec une constance méthodique, il diffuse des contenus volés ou obtenus illégalement : images intimes, conversations privées, vidéos personnelles, dont la seule finalité est de nuire, d’humilier et de salir. Il s’attaque indistinctement aux figures du pouvoir, aux opposants qui échappent à son contrôle, ou à de simples citoyens, anonymes, coupables à ses yeux d’exister autrement que selon ses dogmes.
En publiant les photos les plus personnelles de ses adversaires — qu’ils soient en short, en décolleté, ou dans une attitude jugée « libérée » — il s’érige en juge moral, brandissant l'accusation d’apostasie ou de trahison des « valeurs du peuple » comme un glaive. Pourtant, lui-même vit dans une société occidentale laïque, où il bénéficie pleinement des libertés qu’il refuse aux autres.
L’affaire récente de son “kidnapping” n’est qu’un épisode supplémentaire d’un récit mal ficelé. Aucune trace d’agression, aucun message clair, aucune revendication. Il aurait été « enlevé », puis relâché sans qu’aucune question ne lui soit posée ? Même dans les scénarios les plus élémentaires, ce récit manque de cohérence. Cela ressemble davantage à une opération de communication montée de toutes pièces, pour se repositionner au centre de l’attention, se victimiser, et continuer à mobiliser ses partisans sur la base de l’émotion plutôt que de la raison.
Quant aux poursuites judiciaires, elles ne relèvent pas d’une répression politique, mais d’une affaire pénale sérieuse : atteinte à la vie privée, diffamation, usurpation, chantage... Toutes ces accusations relèvent du droit commun. Il n’est pas poursuivi pour avoir exprimé une opinion politique. Il est poursuivi pour des actes qui violent la loi, et qui porteraient atteinte à n’importe quel citoyen, quelle que soit son opinion.
Ce n’est pas pour son opinion politique que ce personnage doit rendre des comptes, mais pour ses pratiques illégales et destructrices. La France, en tant qu'État de droit, devrait se montrer cohérente avec ses principes et cesser d’offrir une tribune à un individu dont les actes s’opposent frontalement aux valeurs démocratiques qu’elle prétend défendre. Protéger la liberté d’expression ne signifie pas fermer les yeux sur la violence numérique, la diffamation ciblée et la destruction des vies privées.
Malcolm X disait : « L’homme le plus dangereux est celui qui a bâti sa réputation sur le mensonge et la peur. »
Par Nassim bagdadi
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