La jeune femme de 32 ans a été frappée au visage par un individu puis traitée de «sale p*te», mercredi 7 mai.
La vidéo de l’agression de la streameuse sud-coréenne Yoo Yoon-jin, plus connue sous le nom de Jinnytty et suivie par plus d’un million de personnes sur Twitch, est devenue virale sur les réseaux sociaux ces dernières heures.
Alors qu’elle était en plein direct à Toulouse pour montrer la ville à ses abonnés, la jeune femme de 32 ans a été violemment frappée au visage puis insultée mercredi 7 mai. «Tu veux quoi sale p*te ? Casse-toi de là !», s’exclame son agresseur, que l’on voit arriver dans le champ de la caméra coiffé d’une casquette et juché sur une trottinette.
https://twitter.com/i/status/1920578854499828077
Contacté par Le Figaro, le procureur de la République de Toulouse, David Charmatz, nous indique «avoir saisi la direction interdépartementale de la police nationale de Haute-Garonne (DIPN31) d’une demande d’enquête sur ces faits sous la qualification de violences éventuellement aggravées par leur caractère raciste si l’exploitation de la bande-son permet bien de caractériser les termes “sale Chinoise” repris par les médias, et d’outrage sexiste puisque les termes “sale p*te” ressortent, eux, très clairement de celle-ci».
Le Figaro
La vidéo de l’agression de la streameuse sud-coréenne Yoo Yoon-jin, plus connue sous le nom de Jinnytty et suivie par plus d’un million de personnes sur Twitch, est devenue virale sur les réseaux sociaux ces dernières heures.
Alors qu’elle était en plein direct à Toulouse pour montrer la ville à ses abonnés, la jeune femme de 32 ans a été violemment frappée au visage puis insultée mercredi 7 mai. «Tu veux quoi sale p*te ? Casse-toi de là !», s’exclame son agresseur, que l’on voit arriver dans le champ de la caméra coiffé d’une casquette et juché sur une trottinette.
https://twitter.com/i/status/1920578854499828077
Contacté par Le Figaro, le procureur de la République de Toulouse, David Charmatz, nous indique «avoir saisi la direction interdépartementale de la police nationale de Haute-Garonne (DIPN31) d’une demande d’enquête sur ces faits sous la qualification de violences éventuellement aggravées par leur caractère raciste si l’exploitation de la bande-son permet bien de caractériser les termes “sale Chinoise” repris par les médias, et d’outrage sexiste puisque les termes “sale p*te” ressortent, eux, très clairement de celle-ci».
Le Figaro
Commentaire