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Crash du Boeing 787 d’Air India : L’un des pilotes a coupé le carburant…

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  • Crash du Boeing 787 d’Air India : L’un des pilotes a coupé le carburant…

    Crash du Boeing 787 d’Air India : L’un des pilotes a coupé le carburant… "C’est un suicide ou un acte volontaire inconscient" pour cet ancien pilote


    Le premier rapport préliminaire sur le crash du Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie aérienne Air India ne laisse pas de place au doute pour les experts.

    L’examen des boîtes noires de l’appareil commence à donner de premières explications au crash du Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie aérienne Air India qui s’est écrasé et a fait 260 morts en Inde le mois dernier.

    Selon un premier rapport, les interrupteurs d’alimentation en carburant de l’appareil ont basculé presque simultanément de la position "marche" à la position "coupure" trois secondes après le décollage.

    Les moteurs ont alors été privés de carburant et l’avion a immédiatement commencé à perdre en puissance de poussée et à chuter, selon le rapport publié samedi par les enquêteurs indiens. L’enregistreur de voix du cockpit permet d’entendre l’un des pilotes demander à l’autre pourquoi il a coupé le carburant. "L’autre pilote a répondu qu’il ne l’avait pas fait", selon le rapport.

    Le rapport ne précise pas qui, du commandant de bord ou du copilote, a prononcé ces paroles et a transmis le message "Mayday, Mayday, Mayday" juste avant que l’avion ne s’écrase.

    Pour l’ancien pilote de ligne et président d’Aviation sans frontières, Gérard Feldzer, il n’y a pas de doute, il s’agit d’un acte volontaire.


    Un geste isolé "inconcevable"


    Sur franceinfo, ce samedi 12 juillet, il a évoqué une manipulation "pas très difficile" à faire avec un accès possible pour les deux pilotes. Pour lui, "c’est vraiment un geste volontaire". "Ce n’est pas un interrupteur que vous basculez" sans faire exprès. "Il y a une petite manipulation à faire : tirer vers le haut, aller vers le bas, etc", explique l’ancien pilote de ligne. "Donc il faut vraiment le faire et c’est d’autant plus inconcevable qu’en matière d’aviation on travaille en équipage, c’est-à-dire que le moindre geste, on demande, on regarde le copilote ou le commandant de bord, et on lui dit : 'Est-ce que tu es d’accord ?' C’est ce qu’on appelle un 'cross-check', c’est permanent, c’est le b.a.-ba de la conduite en équipage. On le fait en simulateur, tout le temps", assure-t-il.


    "La thèse du suicide ou de l’acte volontaire, en tous les cas, est avérée aujourd’hui", déclarait encore Gérard Feldzer. "Ou alors ça peut être un acte volontaire mais inconscient comme lorsque l’on fait AVC".

    Mais l’ancien pilote écarte la thèse de la panne des deux moteurs. "C’est excessivement rare puisqu’on a une panne de moteur pour 350 000 à 400 000 heures de vol, donc avoir les deux qui tombent en même temps, c’est quasiment impossible".


    Pour rappel, le vol AI-171 d’Air India parti d’Ahmedabad en Inde pour Londres le 12 juin s’est crashé peu de temps après le décollage avec 230 passagers à bord (169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et 1 Canadien) et 12 membres d’équipage. Un seul passager a survécu au crash qui a également fait 19 morts au sol.


    L’Indépendant. Fr

  • #2
    Le pilote aurait pu choisir de mettre fin à ses jours autrement, chez lui ou en se pendant, ou encore en sautant par la fenêtre de sa chambre d’hôtel de luxe payée par la compagnie, plutôt que de mettre en danger la vie de dizaines de passagers innocents.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      Le pilote aurait pu choisir de mettre fin à ses jours autrement, chez lui ou en se pendant,
      Il voulait son petit quart d'heure de "gloire"...passer à la télé !

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      • #4
        L'hypothèse trop simple du suicide arrange Boeing.

        "S'il y avait un suicide, on aurait plutôt entendu une affirmation telle que « c'est toi qui a coupé ? Oui, c'est moi qui ai coupé, » puis il aurait poussé les manettes vers le bas pour aller au tapis. Donc, si on part sur l'idée que c'est une action dans le cockpit qui a entraîné le crash, à mon avis, c'est une erreur involontaire qui aurait été provoquée par l'un des deux pilotes, potentiellement après une perte de conscience de quelques secondes. C'est pour cela qu'il y a des suivis médicaux très approfondis sur les pilotes. Encore une fois, pour l'instant, nous nous basons sur des suppositions qui seront peut-être fausses, mais les premiers éléments contenus dans le rapport nous orientent vers cette option." rfi


        Par contre pour le terro Andreas Lubitz le copilote qui a scratché son avion au pied des Alpes françaises tuant 150 personnes; là, c'était une attaque suicide. La boite noire avait bien enregistré la terreur.
        Dernière modification par panshir, 12 juillet 2025, 19h38.

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        • #5
          je pense que les pilotes de tous les pays du monde doivent être astreints à un contrôle psychique strict biannuel au moins
          Dernière modification par ACAPULCO, 12 juillet 2025, 20h39.
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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          • #6
            L’un des pilotes a coupé le carburant…
            Normalement les commandes de vol gérés par programmation interdisent ( bloquent ) les fausses manœuvres , il est inconcevable que l'ordinateur de bord ait obtempéré à la manœuvre de coupure de l'alimentation en carburant pendant tout le trajet du vol.

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            • #7
              L'hypothèse trop simple du suicide arrange Boeing.
              Voilà, Boeing ne va pas accepter une anomalie dans ses avions !

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              • #8
                Pour l’ancien pilote de ligne et président d’Aviation sans frontières, Gérard Feldzer, il n’y a pas de doute, il s’agit d’un acte volontaire

                Un geste isolé "inconcevable"

                Sur franceinfo, Ce samedi 12 juillet, il a évoqué une manipulation "pas très difficile" à faire avec un accès possible pour les deux pilotes. Pour lui, "c’est vraiment un geste volontaire". "Ce n’est pas un interrupteur que vous basculez" sans faire exprès. "Il y a une petite manipulation à faire : tirer vers le haut, aller vers le bas, etc", explique l’ancien pilote de ligne. "Donc il faut vraiment le faire et c’est d’autant plus inconcevable qu’en matière d’aviation on travaille en équipage, ,




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                • #9
                  Il faut simplement enseigner à tous les pilotes que le suicide est "haram" !
                  « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                  • #10
                    shultist776

                    Normalement les commandes de vol gérés par programmation interdisent ( bloquent ) les fausses manœuvres
                    Certaines fausses manoeuvres seulement, principalement celles mettant la machine en dehors de son domaine de vol (vitesse, inclinaison, etc...)
                    Mais les interrupteurs d'alimentation en carburant restent manoeuvrables pour répondre à une urgence sur un des moteurs (panne, incendie).
                    C'est pour cette raison que ces commandes sont conçues de façon à na pas pouvoir être activées par hasard.

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                    • #11
                      alibigoud

                      Pour l’arrêt du carburant en cas d'incendie d'un moteur ne serait-il pas automatisé ?

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                      • #12
                        Pour l’arrêt du carburant en cas d'incendie d'un moteur ne serait-il pas automatisé ?
                        Parce que la gestion d'une panne, même grave, reste de la compétence de l'équipage.
                        L'assistance au pilotage fournie par l'ordinateur de bord n'est qu'une aide et ne se substitue pas au pilote.
                        D'ailleurs en cas de panne affectant certains paramètres de vol, le pilote automatique cesse de fonctionner et une alarme avertit le pilote qu'il doit reprendre la machine à la main, comme au bon vieux temps.

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