Selon des témoins qui ont tenu à nous rendre visite à la rédaction, des vendeurs à la criée proposent cet effet vestimentaire à 100 DA l’unité. A lire une réclame estampillée sur le devant du tee-shirt, ce produit a été confectionné à l’occasion d’une «journée de solidarité avec Israël». C’est du moins ce qui ressort du texte en anglais qui dit: «2006/Israël Solidarity Day». Sur le dos de ce tee-shirt, on peut lire le nom des sponsors, à leur tête la Jewich Federation, en français la Fédération juive, ou encore la Jewich United Fund of Metropolitan Chicago, qui signifie : Fond juif de la métropole de Chicago, ville américaine située au bord des grands lacs. Un autre financier s’est impliqué aussi dans cette campagne, à savoir la Hyatt Regency Chicago, chaîne hôtelière internationale.
Comment se fait-il qu’un si grossier support de promotion du sionisme atterrisse sur un marché algérien, dans un pays radicalement opposé à la spoliation de la Palestine par Israël ? La vente de ce «tee-shirt empoisonné» est-elle innocente, par le truchement d’un vêtement véhiculant un message politique dissimulé derrière une langue étrangère, l’anglais, non parlée par la grande masse des commerçants ou grossistes en habillement ? Ou bien l’introduction de ce produit de propagande passive est-elle délibérée ?
Si c’était le cas, il serait certainement intéressant pour nos autorités de remonter la filière qui s’est livrée à la provocation et de rappeler à l’ordre les services concernés par le contrôle de l’activité commerciale sur ce marché. Car la vigilance et la révolte de ces citoyens qui ont tenu à ramener vers notre rédaction un échantillon de ce «chiffon de l’offense» (propos tenus par le groupe de citoyens) prouve que ce tee-shirt peut être assimilé à un produit à retirer de la vente. Le drapeau de l’Etat sioniste figurant sur ce même tee-shirt a en effet alerté nos braves citoyens sur le caractère subversif de l’habit. Décidément la mondialisation, sans un haut sens de l’intérêt national, expose notre pays à toutes sortes de coup bas.
source : Le Jeune Indépendant
Comment se fait-il qu’un si grossier support de promotion du sionisme atterrisse sur un marché algérien, dans un pays radicalement opposé à la spoliation de la Palestine par Israël ? La vente de ce «tee-shirt empoisonné» est-elle innocente, par le truchement d’un vêtement véhiculant un message politique dissimulé derrière une langue étrangère, l’anglais, non parlée par la grande masse des commerçants ou grossistes en habillement ? Ou bien l’introduction de ce produit de propagande passive est-elle délibérée ?
Si c’était le cas, il serait certainement intéressant pour nos autorités de remonter la filière qui s’est livrée à la provocation et de rappeler à l’ordre les services concernés par le contrôle de l’activité commerciale sur ce marché. Car la vigilance et la révolte de ces citoyens qui ont tenu à ramener vers notre rédaction un échantillon de ce «chiffon de l’offense» (propos tenus par le groupe de citoyens) prouve que ce tee-shirt peut être assimilé à un produit à retirer de la vente. Le drapeau de l’Etat sioniste figurant sur ce même tee-shirt a en effet alerté nos braves citoyens sur le caractère subversif de l’habit. Décidément la mondialisation, sans un haut sens de l’intérêt national, expose notre pays à toutes sortes de coup bas.
source : Le Jeune Indépendant
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