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  • #16
    la dernière ,servez vous ,elle est encore chaude .

    Trois terroristes déchiquetés par leur bombe.

    Mmmmmmmmmmmmm !
    5 693e acte. 7 481e scène. Le public — c'est-à-dire nous — sommes parqués dans la salle, la tête surmontée d’un bonnet d’âne. Sur la scène, eux. C'est-à-dire… eux ! Et dans cette scène faisant elle-même partie d’un acte prémédité, ils vont tenter de faire ce qu’ils ont déjà essayé de faire dans les scènes et les actes précédents. C'est-à-dire nous prendre pour des buses. L’ex-second rôle, Abdelaziz 2, entre sur scène aux trois coups… de force. La barbe taillée au sabre pas très clair, la pastille en avant et l’œil inquiet vissé sur une meute de dobermans assis au premier rang, il lance sa tirade : «Dans le cas où Abdelaziz 1er n’est pas convaincu, nous ferons tout pour le convaincre ! Wallah ! Juré promis !» Applaudissements dans les premiers rangs. Les dobs apprécient. Derrière, dans les travées, fou rire du public. C'est-à-dire nous ! Et oui ! Rideau ! Fin de la scène. Fin de l’acte. Hou ! Hou ! Fuera ! Remboursez ! Chiqué ! Même au catch, ils n’auraient pas osé les mecs ! Qui Abdelaziz 2 compte-t-il berner ? Les dobermans, peutêtre. Et encore, j’ai des doutes. Nous, ça m’étonnerait ! Convaincre Abdelaziz 1er de se représenter pour un 3e festival du vaudeville ? Le dire, l’affirmer, c’est comme tenter de convaincre un accroc aux crèmes glacées de manger une «Häagen Dazs» offerte, mise sous son nez gratuitement par un glacier généreux. Le dire, l’affirmer, c’est comme essayer de convaincre un collectionneur de disques de Brel d’accepter un enregistrement studio de la chanson Amsterdam, un truc théoriquement introuvable, puisque jamais fait. Le dire, l’affirmer, c’est comme tenter de convaincre Benbouzid qu’il figurera dans le prochain gouvernement remanié. Ça ne sert à rien ! Car tous sont déjà convaincus. Le bouffeur de glaces. Le collectionneur de disques. Benbouzid. Et bien évidemment, Abdelaziz 2. Je ne vous parle pas du degré d’intensité de la conviction chez Abdelaziz 1er. Mais si tout ce beau monde est convaincu, il faut aussi qu’ils sachent que nous – c'est-à-dire nous — sommes autant sinon plus convaincus qu’eux. Convaincus qu’il nous faudra encore longtemps fumer du thé pour rester éveillés à ce cauchemar qui continue.
    H. L.

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    • #17
      sinon ,y' a cet article d'el moujahid pour les nostalgique et les ventripotent .

      A la veille du Ramadhan et des rentrées scolaire et universitaire, ce sont des nouvelles rassurantes pour la population, car peu de pays au monde se préoccupent de tous ces aspects. L’effort ainsi consacré en faveur de la population par l’Algérie est exemplaire et démontre la consistance de son modèle social.

      Le dernier Conseil de gouvernement a examiné d’importants dossiers qui concernent deux volets, l’un à caractère économique et financier et l’autre à caractère social. Ces dossiers seront examinés, à leur tour, par le Conseil des ministres, présidé par le Chef de l’Etat qui aura ainsi à donner des orientations ou des instructions.

      Ces derniers concernent le projet de la loi de finances, pour l’année 2009, et la question du pouvoir d’achat. Ainsi, l’Algérie aborde la rentrée avec confiance et sérénité et adresse, par là même, un message clair sur sa bonne santé économique et financière, d’une part, et sa stabilité sociale, d’autre part. Justement, en accordant toute l’importance requise au pouvoir d’achat, les pouvoirs publics démontrent ainsi leur préoccupation d’assurer aux citoyens des conditions de vie dignes. A toutes fins utiles, la loi de finances complémentaire a consacré 1.000 milliards de dinars à l'action sociale de l’Etat dont 250 milliards de dinars uniquement au soutien des prix. A la veille du Ramadhan et des rentrées scolaire et universitaire, ce sont des nouvelles rassurantes pour la population, car peu de pays au monde se préoccupent de tous ces aspects. L’effort ainsi consacré en faveur de la population par l’Algérie est exemplaire et démontre la consistance de son modèle social. Celui-ci se caractérise par une certaine équité dont la finalité est de réduire les inégalités, d’une part et d’assurer la cohésion sociale, d’autre part.

      En concrétisant ces objectifs, l’Algérie renforce sa stabilité et se donne les moyens d’une croissance économique saine et durable.
      L’autre volet débattu par le Conseil de gouvernement concerne le projet de la loi de finances. Son importance sur le plan économique et financier est considérable. D’abord, c’est un signal fort à l’adresse de la communauté internationale dans la mesure où il est prévu un budget d’équipement très élevé. Ainsi, les projets en cours, ou en voie de lancement, seront assurés d’être financés intégralement. Cet effort démontre la capacité financière de l’Algérie et constitue donc un atout pour attirer les IDE.

      En effet, après la décision du gouvernement relative à la participation de l’Algérie à hauteur de 51 % dans les projets d’investissements, notre pays, à travers les investissements publics, devra être encore plus attractif. A cela, il faut y ajouter une donnée fondamentale, à savoir que le budget est en excédent. Cela veut dire que tous les projets seront financés sans générer le moindre déficit. Enfin, le cadre macro économique présente des “clignotants” verts, ce qui confirme la bonne santé économique et financière du pays, au moment où l’économie mondiale, en général, et les pays développés, en particulier, présentent des signes de récession.

      L’Algérie poursuit donc la réalisation de ses objectifs économiques et sociaux pour consolider son développement durable. Depuis le lancement du PSRE, elle s’est dotée d’une stratégie et d’une visibilité pour franchir des étapes qualitatives afin de figurer dans le peloton des pays émergents.

      Saïd T.

      ps :l'auteur ,n'ose méme pas mettre son nom ,a t'on peure de dire la bonne vérité !!!

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      • #18
        Algérie. Confirmation de l’information qui circulait déjà
        ces derniers jours : début demain à l’aube d’une grève
        monstre. Le débrayage devrait durer…

        … 30 jours !
        Le parallèle est saisissant. Au moment où plus de deux cents jeunes Algériennes et Algériens, entre mineurs et fraîchement majeurs, tentaient de s’évader du pays en barque, en flottille de barque, l’UNJA, l’organisation officiellement chargée des problèmes de jeunesse, se crêpait le chignon et menait une bataille «homérique» autour d’un sujet ô combien capital : faut-il oui ou non garder l’actuel secrétaire général de cette organisation et si non, qui pour succéder à Mohamed Madani ? Appréciez au passage cette qualité indiscutable de l’UNJA. Elle est en phase avec le quotidien des jeunes. Eux se jettent en mer par désespoir et «leur» organisation s’étripe pour un siège, el koursi ! Bon Dieu ! Lorsque qu’on fait de la rigueur son credo, d’entrée de jeu comme cela a été annoncé avec l’installation d’Ouyahia, on doit être en mesure de demander des comptes à une organisation dont l’intitulé exhibe bien en évidence le mot «jeunesse» et qui est incapable de proposer le bout du bout du soupçon d’une solution à la galère des harraga. Qu’il s’appelle Mohamed, Saïd, Kaddour ou Saliha, il doit être possible, normalement, de convoquer le patron de l’UNJA pour lui poser cette simple question : M’sieur, l’Etat algérien vous finance pour vous occuper des problèmes de jeunesse. Et plus il vous finance, plus les jeunes fuient ce pays. Nous voudrions des explications ! Bien sûr, ce genre d’auditions est valable pour un tas d’autres organisations dont on se demande si elles ont encore une activité en rapport avec leur intitulé générique. Mais chut ! Ne dérangeons surtout pas ces messieurs de la «Mounadhama el djamaâouia», ces fonctionnaires de la jeunesse dans leur fort intéressant débat sur le sort de l’actuel SG. C’est tellement plus captivant que de prêter l’oreille aux grondements des flots et aux nuées d’oiseaux qui se partagent, avec les poissons, les cadavres d’enfants. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
        H. L.

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