des informations precieuses sur le Guir en territoire algerientrouvées dans un blog algerien.
La plaine d'Abadla est traversée sur toute sa longueur par l'Oued Guir, l'un de plus important fleuve du pays, qui le partage en deux parties hydrauliquement indépendantes les zones du rive gauche et les zones de la rive droite
la sortie du plateau crétacé du chebket mannounat, il devient le principe fertilisant de cette vaste plaine quaternaire en s’y attardant et on la pénétrant de ses multiples bras
La vallée s’étale sur une longueur plus de 300 kilomètres et atteint aussi au Sud d’Abadla 30 kilomètres de large, elle est dominé à l’ouest par une immense hamada et à l’est par des plateaux tabulaires (gara).Il reçoit à droite au sud de la plaine son influent l’oued Bechar dont la cours semble moins long qui ne dépasse pas les 200 Km.
Plus au sud, le Guir s’unit avec la Zousfana à Igli pour former l’Oued Saoura qui bénéficie d’un alimentation hors domaine désertique, grâce à sa branche supérieure,l’Oued Guir,dont le haut bassin versant draine l’extrémité orientale du Haut Atlas marocain.
Ses crues inspirent des sentiments contradictoires : à la fois la crainte pour les violentes dévastations possibles qu'elles peuvent causer aux biens et aux hommes mais font par contre l'objet d'invocations incantatoires pour les bienfaits qu'elles apportent à l'agriculture et par voie de conséquence pour leurs apports à la vie dans cette contrée aride.
D'aucuns pensent que le Guir serait le plus grand oued d'Afrique du Nord, non seulement par la puissance de son débit mais aussi par sa longueur.
Le Guir ne coule plus ici que par intermittence lors des crues qui, d’une façon générale, viennent trois fois par an : en automne (octobre, novembre), au printemps (mars, avril) et en été (juin). Mais les eaux chlorurées apportées par l’oued Bouanane et Zelmou peuvent saturer çà et là le sol qui, l’été se blanchit d’efflorescences salines; il va sans dire que cette salure nuit grandement à la flore, n’y laissant pousser que des plantes à chameaux.
La plaine d'Abadla est traversée sur toute sa longueur par l'Oued Guir, l'un de plus important fleuve du pays, qui le partage en deux parties hydrauliquement indépendantes les zones du rive gauche et les zones de la rive droite
la sortie du plateau crétacé du chebket mannounat, il devient le principe fertilisant de cette vaste plaine quaternaire en s’y attardant et on la pénétrant de ses multiples bras
La vallée s’étale sur une longueur plus de 300 kilomètres et atteint aussi au Sud d’Abadla 30 kilomètres de large, elle est dominé à l’ouest par une immense hamada et à l’est par des plateaux tabulaires (gara).Il reçoit à droite au sud de la plaine son influent l’oued Bechar dont la cours semble moins long qui ne dépasse pas les 200 Km.
Plus au sud, le Guir s’unit avec la Zousfana à Igli pour former l’Oued Saoura qui bénéficie d’un alimentation hors domaine désertique, grâce à sa branche supérieure,l’Oued Guir,dont le haut bassin versant draine l’extrémité orientale du Haut Atlas marocain.
Ses crues inspirent des sentiments contradictoires : à la fois la crainte pour les violentes dévastations possibles qu'elles peuvent causer aux biens et aux hommes mais font par contre l'objet d'invocations incantatoires pour les bienfaits qu'elles apportent à l'agriculture et par voie de conséquence pour leurs apports à la vie dans cette contrée aride.
D'aucuns pensent que le Guir serait le plus grand oued d'Afrique du Nord, non seulement par la puissance de son débit mais aussi par sa longueur.
Le Guir ne coule plus ici que par intermittence lors des crues qui, d’une façon générale, viennent trois fois par an : en automne (octobre, novembre), au printemps (mars, avril) et en été (juin). Mais les eaux chlorurées apportées par l’oued Bouanane et Zelmou peuvent saturer çà et là le sol qui, l’été se blanchit d’efflorescences salines; il va sans dire que cette salure nuit grandement à la flore, n’y laissant pousser que des plantes à chameaux.

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