Wafa de Newpress nous propose une petite virée à Larbâa Nath Irathen (ex-Fort-National), une ville de la haute Kabylie qui mérite d'être visitée pour sa riche histoire et culture mais aussi pour ses magnifiques paysages naturels.
Je salue et rends hommage à toutes ces adorables femmes qui gardent le sourire malgré la dureté de la vie.
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- Reportage Photo : http://www.newpressphoto.com/Newpres...17/planche.htm
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Larbaâ Nath Irathen, à quelque trente kilomètres de Tizi-Ouzou. Cette ville, dont on dit que tous les accès qui y mènent sont forcément des montées, est connue pour être une farouche résistante à travers les âges. L'armée française a eu tout le mal du monde à franchir les quelques kilomètres qui la séparait de la ville ; il lui aura fallu dix ans pour venir à bout de la résistance farouche de Fadhma N'Soumer et ses vaillants guerriers. Le France y bâtit alors un fort, d'où son nom Fort National.
Durant les années du terrorisme sanglant, Larbaâ Nath Irathen fut parmi les premières régions à s'armer pour se défendre contre les hordes sauvages. Les premiers groupes d'autodéfense y furent constitués et toute la région fut épargnée. Larbaâ Nath Irathen signifie littéralement "Le mercredi des lions", le marché hebdomadaire s'y tenant tous les mercredis. Cette ville a donné de grands hommes à la Révolution de Novembre, à l'instar du très renommé Abane Ramdane.
Connue pour ses hivers rudes, Larbaâ Nath Irathen, une fois blottie sous la banquise, ressemble à s'y méprendre au Alpes suisses. D'ailleurs, expliquent certains sociologues, c'est cette ressemblance qui a donné lieu à une grande vague d'émigration vers la France depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, où les gens de Larbaâ ont réussi à s'intégrer assez facilement.
Par Wafa de Newpress.
Je salue et rends hommage à toutes ces adorables femmes qui gardent le sourire malgré la dureté de la vie.
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- Reportage Photo : http://www.newpressphoto.com/Newpres...17/planche.htm
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Larbaâ Nath Irathen, à quelque trente kilomètres de Tizi-Ouzou. Cette ville, dont on dit que tous les accès qui y mènent sont forcément des montées, est connue pour être une farouche résistante à travers les âges. L'armée française a eu tout le mal du monde à franchir les quelques kilomètres qui la séparait de la ville ; il lui aura fallu dix ans pour venir à bout de la résistance farouche de Fadhma N'Soumer et ses vaillants guerriers. Le France y bâtit alors un fort, d'où son nom Fort National.
Durant les années du terrorisme sanglant, Larbaâ Nath Irathen fut parmi les premières régions à s'armer pour se défendre contre les hordes sauvages. Les premiers groupes d'autodéfense y furent constitués et toute la région fut épargnée. Larbaâ Nath Irathen signifie littéralement "Le mercredi des lions", le marché hebdomadaire s'y tenant tous les mercredis. Cette ville a donné de grands hommes à la Révolution de Novembre, à l'instar du très renommé Abane Ramdane.
Connue pour ses hivers rudes, Larbaâ Nath Irathen, une fois blottie sous la banquise, ressemble à s'y méprendre au Alpes suisses. D'ailleurs, expliquent certains sociologues, c'est cette ressemblance qui a donné lieu à une grande vague d'émigration vers la France depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, où les gens de Larbaâ ont réussi à s'intégrer assez facilement.
Par Wafa de Newpress.
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