bjr je vous livre un exellent ecrit sur ma ville setif ,
premiere partie
’antique sitifis vit au rythme de la saison estivale. Même si elle ne possède pas une vue sur mer, la capitale des hauts-plateaux représente pour les émigrés, et les gens du Sud, notamment, une destination touristique de premier choix. Le climat, la position géographique, l’air, le rapport qualité-prix de la vie, le dynamisme de la cité où l’on peut faire des affaires à l’achat de produits de consommation, sont les principaux atouts de Sétif, un carrefour entre différentes régions.
L’afflux des visiteurs a donné une autre impulsion à l’activité de la cité bondée de monde à longueur de journée. La circulation routière est impossible, au centre-ville les bouchons font désormais partie du quotidien des automobilistes lesquels prennent leur mal en patience. Ce fait renseigne sur l’augmentation de la population qui fait le bonheur de bon nombre de commerces. L’activité hôtelière connaît un certain dynamisme d’autant que de nombreux établissements ont ouvert leurs portes, affichant le plus souvent « complet ». « Mais, même si les hôtels poussent comme des champignons à Sétif, le déficit en nombre de lits reste important.
Avec le dynamisme de son université et de ses opérateurs économiques, la ville est différente de celles de l’intérieur du pays. L’ouverture de l’aéroport qui fonctionne à plein régime lui a, en outre, conféré un autre statut », souligne un hôtelier du centre-ville, n’ayant, au passage, pas omis de placarder au niveau de la réception le fameux « complet ». Le déficit a été, dans une certaine mesure, résorbé par la location des appartements, une habitude des habitants qui s’incruste dans les habitudes de la cité, à destination des citoyens de Biskra, Ouargla, Touggourt et de bon nombre d’autres localités du Sud. Comparativement aux prix pratiqués au littoral, à Sétif, il est facile de s’offrir un bel appartement meublé à 50 000 DA par mois. « Située à 100 km de la mer, Sétif, où il fait bon de vivre, offre toutes les commodités d’une ville touristique. En plus de sa situation géographique, la cité possède d’innombrables autres atouts, faisant d’elle, la destination de prédilection des gens du Sud », dira un citoyen de Touggourt estimant que la vie n’est pas chère à Sétif, où l’on peut aussi faire des emplettes.
Humer l’air de Aïn El Fouara, faire une virée au parc d’attraction qui mérite, d’ailleurs, un bien meilleur sort, flâner dans les souks et à travers les rues et artères, assister à la dense activité artistique ou profiter des bienfaits des stations thermales de la région, ce sont là les principales activités des vacanciers, qui prennent, en outre, du plaisir à s’attabler dans l’un des restaurent syriens faisant recette du coté des hauts-plateaux sétifiens animés de jour comme de nuit. « l’hospitalité des sétifiens qui sont des gens spontanés, la beauté d’un site édénique ne lui manquant que les eaux bleues, donnent à Sétif, un charme particulier », dira, un cadre venu de Biskra qui trouve, dit-il, un plaisir fou à s’oxygéner sur les hauteurs des monts Megress (plus de 1400m d’altitude) situés à une vingtaine de kilomètres de Sétif. « Faire un tour à Megress est la meilleure thérapie pour les citoyens en quête d’air pur. » La virée en montagne est le passe-temps favori de petites familles adeptes de la nature à l’état pur », précise notre interlocuteur, un adepte des stations thermales, tout en ajoutant : « J’imagine mal un séjour à Sétif sans une virée dans l’une des stations thermales de Hammam Soukhna, Guergour ou Hammam Ouled Yelles où le privé a beaucoup investi. avec une bonne campagne médiatique, la région peut facilement devenir un pôle de développement du tourisme thermal, la nouvelle option des grands tours opérateurs. »
premiere partie
’antique sitifis vit au rythme de la saison estivale. Même si elle ne possède pas une vue sur mer, la capitale des hauts-plateaux représente pour les émigrés, et les gens du Sud, notamment, une destination touristique de premier choix. Le climat, la position géographique, l’air, le rapport qualité-prix de la vie, le dynamisme de la cité où l’on peut faire des affaires à l’achat de produits de consommation, sont les principaux atouts de Sétif, un carrefour entre différentes régions.
L’afflux des visiteurs a donné une autre impulsion à l’activité de la cité bondée de monde à longueur de journée. La circulation routière est impossible, au centre-ville les bouchons font désormais partie du quotidien des automobilistes lesquels prennent leur mal en patience. Ce fait renseigne sur l’augmentation de la population qui fait le bonheur de bon nombre de commerces. L’activité hôtelière connaît un certain dynamisme d’autant que de nombreux établissements ont ouvert leurs portes, affichant le plus souvent « complet ». « Mais, même si les hôtels poussent comme des champignons à Sétif, le déficit en nombre de lits reste important.
Avec le dynamisme de son université et de ses opérateurs économiques, la ville est différente de celles de l’intérieur du pays. L’ouverture de l’aéroport qui fonctionne à plein régime lui a, en outre, conféré un autre statut », souligne un hôtelier du centre-ville, n’ayant, au passage, pas omis de placarder au niveau de la réception le fameux « complet ». Le déficit a été, dans une certaine mesure, résorbé par la location des appartements, une habitude des habitants qui s’incruste dans les habitudes de la cité, à destination des citoyens de Biskra, Ouargla, Touggourt et de bon nombre d’autres localités du Sud. Comparativement aux prix pratiqués au littoral, à Sétif, il est facile de s’offrir un bel appartement meublé à 50 000 DA par mois. « Située à 100 km de la mer, Sétif, où il fait bon de vivre, offre toutes les commodités d’une ville touristique. En plus de sa situation géographique, la cité possède d’innombrables autres atouts, faisant d’elle, la destination de prédilection des gens du Sud », dira un citoyen de Touggourt estimant que la vie n’est pas chère à Sétif, où l’on peut aussi faire des emplettes.
Humer l’air de Aïn El Fouara, faire une virée au parc d’attraction qui mérite, d’ailleurs, un bien meilleur sort, flâner dans les souks et à travers les rues et artères, assister à la dense activité artistique ou profiter des bienfaits des stations thermales de la région, ce sont là les principales activités des vacanciers, qui prennent, en outre, du plaisir à s’attabler dans l’un des restaurent syriens faisant recette du coté des hauts-plateaux sétifiens animés de jour comme de nuit. « l’hospitalité des sétifiens qui sont des gens spontanés, la beauté d’un site édénique ne lui manquant que les eaux bleues, donnent à Sétif, un charme particulier », dira, un cadre venu de Biskra qui trouve, dit-il, un plaisir fou à s’oxygéner sur les hauteurs des monts Megress (plus de 1400m d’altitude) situés à une vingtaine de kilomètres de Sétif. « Faire un tour à Megress est la meilleure thérapie pour les citoyens en quête d’air pur. » La virée en montagne est le passe-temps favori de petites familles adeptes de la nature à l’état pur », précise notre interlocuteur, un adepte des stations thermales, tout en ajoutant : « J’imagine mal un séjour à Sétif sans une virée dans l’une des stations thermales de Hammam Soukhna, Guergour ou Hammam Ouled Yelles où le privé a beaucoup investi. avec une bonne campagne médiatique, la région peut facilement devenir un pôle de développement du tourisme thermal, la nouvelle option des grands tours opérateurs. »
Commentaire