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L’accès au financement en Algérie reste difficile

lundi 3 mars 2008, par Kahina

La difficulté d’accès aux financements bancaires en Algérie pénalise les entreprises qu’elles soient algériennes ou étrangères.

L’accès au financement en Algérie reste difficile.

Selon l’expert économique algérien, Abdelmalek Serraï, a révélé qu’environs 20 entreprises étrangères qui activent en Algérie, n’ont perçu aucune somme d’argent, certaines depuis quatre ans, à cause de problèmes administratifs, liés aux garanties exigées par les banques, et dont les modalités de payement n’ont pas été fixées, ce qui a conduit à la faillite d’un grand nombre d’entreprises étrangères.

Une source gouvernementale a révélé que le ministre des Finances, Karim Djoudi, va soumettre le projet de révision de la loi sur les transactions publiques, demain, au Conseil de gouvernement, en proposant d’élever le seuil de la valeur des transactions publiques en Algérie, étudiées par les commissions de wilaya, de 250 millions de centimes à 400 millions de centimes, avec l’obligation d’insérer l’emploi de la main d’œuvre algérienne dans les cahiers des charges. Conformément au décret en vigueur, les commission wilayales étudient et décident des transactions publiques, dont la valeur ne dépasse pas 250 millions de centimes. Chaque transaction publique qui dépasse ce seuil est soumise à la Commission nationale des transactions publiques.

Synthèse de Kahina, www.algerie-dz.com
D’après El Khabar